[Acteurs] Le secteur parapétrolier

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Ce truc est capable de soulever la tour Eiffel!!

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o.o

Ce truc est capable de soulever la tour Eiffel!!

oui, la tour Eiffel fait 7 300 tonnes ''nue'' (la charpente métallique), Toute équipée c'est dans les 10 000 tonnes.

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Halliburton va supprimer encore 5.000 emplois

25 fev 2016 Reuters / Capital

Le groupe américain de services pétroliers Halliburton va encore supprimer 5.000 emplois, soit 8% de ses effectifs, en réponse à la baisse des cours du brut, a déclaré jeudi sa porte-parole Emily Mir à Reuters.

La chute de plus de 70% des cours de l'or noir depuis la mi-2014 a entraîné de lourdes restructurations dans le secteur parapétrolier, y compris chez le numéro un mondial Schlumberger.

Halliburton, le numéro deux mondial du secteur, a annoncé en 2014 un projet de fusion avec Baker Hughes, le numéro trois. L'opération, d'un montant de 35 milliards de dollars (32 milliards d'euros), a reçu le feu vert des actionnaires des deux sociétés mais est toujours en attente des décisions des autorités de la concurrence aux Etats-Unis et en Europe.

Halliburton a déjà réduit ses effectifs d'un quart depuis 2014 en supprimant près de 22.000 emplois. Le groupe de Houston comptait environ 65.000 salariés dans le monde à fin 2015 contre plus de 80.000 un an plus tôt, selon des avis financiers.

Schlumberger de son côté s'est séparé de 10.000 salariés au dernier trimestre 2015, portant le total de ses suppressions d'emplois depuis novembre 2014 à 34.000, soit 26% de ses effectifs.

http://www.capital.fr/bourse/actualites ... is-1105468

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CGG : des résultats 2015 encore plus mauvais qu’attendu

Publié le 03/03/2016 lemarin.fr

Le groupe parapétrolier français CGG a creusé l’an dernier ses pertes nettes, qui ont atteint 1,4 milliard de dollars. C’est 26 % de plus qu’en 2014, et pire encore que ce qu’attendait le consensus d’analystes réalisé par Bloomberg News.

Du fait de conditions de marché toujours difficiles et d’un périmètre d’activité réduit, le chiffre d’affaires a reculé de 32 % en 2015, s’établissant à 2,1 milliards de dollars, a annoncé le 3 mars le groupe parapétrolier français. Le résultat opérationnel est tombé à 19 millions, contre encore 242 millions en 2014.

Des charges non récurrentes de 1,2 milliard de dollars ont plombé le résultat net. Leur montant est lié pour 969 millions de dollars à des dépréciations. Il est aussi dû, pour 208 millions, aux coûts du plan de transformation, surtout liés à des licenciements.

Les effectifs du groupe n’étaient plus que de 7 353 personnes fin 2015. C’est 15 % de moins qu’à fin 2014 et un tiers de moins qu’à fin 2013.

« L’année 2016 restera difficile »

La baisse des coûts passe aussi par la réduction de la flotte, que CGG prévoit de ramener à cinq navires d’ici à la fin du premier trimestre. Fin 2015, la flotte comptait huit navires, contre 13 fin 2014 et 18 fin 2013. Le groupe a ainsi réduit ses coûts de 64 % en marine depuis la fin 2013.

Les mesures d’économies portent aussi sur les frais généraux, qui ont diminué de 54 % depuis la fin 2013, et sur les investissements du groupe, divisés par deux (à 415 millions de dollars) sur la seule année 2015.

Mais CGG ne semble pas au bout de ses peines. « L’année 2016 restera difficile, avec un début d’année très dégradé », a prévenu son directeur général, Jean-Georges Malcor.

http://www.lemarin.fr/secteurs-activite ... -quattendu

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Bourbon prend livraison de son plus puissant AHTS

Publié le 04/03/2016 lemarin.fr

Bourbon offshore a pris livraison d’un nouveau navire, le Bourbon Arctic, construit par Vard. Avec une capacité de traction de 280 tonnes, il s’agit du navire AHTS (ravitailleur remorqueur releveur d’ancre) le plus puissant de sa flotte.


Doté d’une coque renforcée Ice 1A, le Bourbon Arctic est à même d’opérer en zones arctiques et en particulier dans l’offshore très profond. (Photo : Bourbon offshore)

http://www.lemarin.fr/secteurs-activite ... ssant-ahts

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Bourbon s'attend à un point bas du cycle cette année

10/03/2016 Boursier.com

Dans un contexte toujours compliqué pour les sociétés de services à l'industrie pétrolière, les résultats de Bourbon ont glissé dans le rouge en 2015, avec une perte nette part du groupe de -76,6 millions d'euros.

La société avait déjà publié il y a quelques semaines un chiffre d'affaires 2015 de 1,44 milliard d'euros, en progression de 1,1% en données publiées mais en contraction de -8,6% à taux de change constants. L'EBITDAR ajusté a cependant progressé de 7,5% à 547,7 ME, soit une marge de 38,1% contre 35,9% en 2014. L'EBITDA ajusté chute en revanche de -19,2% à 371,3 ME et l'EBIT ajusté de -54,5% à 66,1 ME. La perte nette s'explique par la baisse des résultats et par des pertes de change latentes. En dépit de la dégradation des comptes, le cash-flow libre est resté positif à 90 ME. Le consensus tablait sur un EBIT de 31,2 ME et sur une perte nette de -69,2 ME.

Malgré tout, Bourbon va proposer à ses actionnaires le versement d'un dividende de 1 euro par action. « Le positionnement unique de sa flotte standardisée et les efforts de réduction de coûts ont permis une augmentation de la marge opérationnelle de 2,2 points », explique le directeur général Christian Lefèvre, en référence à la hausse de l'EBITDAR.

Le groupe continue à s'adapter

Bourbon s'attend cette année à un point bas du cycle de la demande de navires offshore avec un léger rebond au cours du deuxième semestre, principalement dans les activités de maintenance des installations pétrolières et de maintien de la production des champs existants. Les efforts sur les coûts seront par conséquent poursuivis. Le groupe continuera à désarmer jusqu'à 20% de sa flotte "Supply" sans perspective commerciale à moyen terme afin de réduire ses coûts opérationnels. Le management vise cette année une baisse modérée du chiffre d'affaires et une légère diminution de la marge opérationnelle (EBITDAR ajusté/chiffre d'affaires) par rapport à 2015.

En outre, Bourbon arrive à la fin de son plan d'investissement et s'attend à prendre livraison de 3 navires supply et 4 crew boats en 2016. Le groupe prévoit, de ce fait, une augmentation sensible du free cash-flow par rapport à 2015.

http://www.boursier.com/actions/actuali ... 9.html?rss

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Bourbon affiche un virage stratégique vers le gaz
Le président, Jacques de Chateauvieux, reprend les commandes du groupe.

VERONIQUE LE BILLON Les Echos 30/03 À 07:00

Est-ce un nouveau virage stratégique ou une opération prioritairement financière ? Mardi, le groupe de services maritimes parapétrolier Bourbon a indiqué avoir « décidé d'acquérir les activités du leader mondial du transport de l'éthane, disposant d'une part de marché de plus de 50 % dans un marché attendu en forte croissance ».

En l'occurrence, Bourbon va acheter ces activités, valorisées 320 millions de dollars (avec une dette de 389 millions de dollars) à son actionnaire majoritaire, Jaccar Holdings. Bourbon va ainsi acquérir une flotte de 17 navires dédiés au transport de gaz, l'affréteur Evergas et 80 % de JHW, une société chinoise d'ingénierie de navires et de gestion de la construction de méga-tanks. Pour financer cette opération, Bourbon va bénéficier d'un coup de pouce de Jaccar Holdings, qui va lui accorder un crédit vendeur de 100 millions de dollars sans intérêt sur trois ans. Un crédit relais pour le solde est également envisagé.

Car Bourbon ne conservera pas ses bateaux nouvellement acquis. Comme il l'avait fait pour ses navires opérant dans le secteur du pétrole et du gaz offshore pour réduire son endettement, le groupe « procédera, une fois l'acquisition devenue définitive, à la revente de 80 % de la propriété des navires qu'il aura pris en location coque nue pour un minimum de dix ans », a indiqué le groupe présidé par Jacques de Chateauvieux, à l'occasion de la présentation, mardi, du plan « Bourbon beyond Bourbon ». Et son holding familial Jaccar Holdings pourrait être l'un des investisseurs. « Nous ne l'excluons pas », a indiqué celui qui, au passage, devrait également reprendre la direction générale de Bourbon, rebaptisé Bourbon Corporation. « Il nous est apparu que l'intégration de ces nouvelles activités serait favorisée par mon implication », a justifié Jacques de Chateauvieux. L'actuel directeur général, Christian Lefèvre, deviendrait directeur général délégué.

Miser sur l'éthane

Sur le fond, le nouveau plan stratégique de Bourbon a pour ambition, dans une conjoncture pétrolière déprimée, de « donner une deuxième jambe à Bourbon ». Alors que toutes les majors pétrolières coupent dans leurs coûts, Bourbon a encaissé l'an dernier une perte nette de 77 millions d'euros, pour un chiffre d'affaires ajusté de 1,4 milliard d'euros (-8,6 % à taux de changes constants), avec plus de 500 navires et quelque 11.000 salariés. Le groupe a en ligne de mire le marché du gaz de schiste américain, et en particulier l'éthane, qui commence une carrière à l'exportation vers les usines pétrochimiques européennes, sud-américaines ou asiatiques.

Bourbon estime ainsi autour de 20 millions de tonnes la quantité annuelle d'éthane qui pourrait s'exporter des Etats-Unis à l'horizon 2022-2025, nécessitant « 80 navires ». Avec, selon Jacques de Chateauvieux, une activité moins risquée qu'aujourd'hui. « Les clients sont liés par des contrats de long terme de dix à quinze ans, les navires sont uniques, et les crackers des usines pétrochimiques sont construits pour vingt-cinq ans, donc si les bateaux ne livrent pas, c'est comme si le sang ne coulait pas dans l'organisme », a-t-il défendu.

http://www.lesechos.fr/industrie-servic ... 210178.php

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Baker Hughes : La Justice US va empêcher la fusion Halliburton/Baker Hughes-sce

05/04/2016

Le département américain de la Justice va intenter une action en justice dès cette semaine pour empêcher Halliburton de racheter Baker Hughes, une opération qui regrouperait les numéros deux et trois des services pétroliers, apprend-on d'une source proche du dossier.

Les deux sociétés de envisageaient des cessions d'actifs pour sauver la transaction, qui a été annoncée en novembre 2014.

Halliburton a refusé de commenter.

Le projet de fusion, une transaction de 35 milliards de dollars (31 milliards d'euros) préoccupe les autorités de la concurrence de plusieurs pays, les deux entreprises ayant des activités qui se chevauchent aux Etats-Unis, en Asie et en Europe. La Commission européenne a suspendu le 21 mars, pour la deuxième fois, l'examen de cette opération. (Diane Bartz, Juliette Rouillon pour le service français)

http://www.zonebourse.com/BAKER-HUGHES- ... -22124981/

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Offshore : les commandes de plates-formes fixes en baisse

Publié le 14/04/2016 lemarin.fr


Seules 42 plates-formes pétrolières fixes ont été commandées dans le monde en 2015, selon les données de Clarksons Research. Il y en avait eu 96 en 2014, un chiffre déjà divisé par deux par rapport à 2013 !

http://www.lemarin.fr/secteurs-activite ... -en-baisse

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Vidéo : des robots serpents hanteront bientôt nos océans

Julien Bergounhoux Usine Nouvellele 24 avril 2016

Vidéo Insolite Les abords des plates-formes pétrolières seront bientôt sillonnés par des serpents robots. Pas de panique cependant, ils auront pour tâche de surveiller les équipements sous-marins et d'en assurer la maintenance en lieu et place des véhicules humains, plus coûteux et moins pratiques.

Des serpents robotiques maraudant les mers, ce n'est pas forcément très rassurant de prime abord. Pourtant, ces robots sont là pour nous rendre service en inspectant les infrastructures maritimes plus efficacement et à moindre coût.


L'entreprise Kongsberg Maritime s'est associée à la spin-off Eelume, fondée par des scientifiques issus de l'Université norvégienne de sciences et de technologie, pour développer ces robots d'inspection et d'intervention légère en milieu marin. Les infrastructures qui servent à tester le fonctionnement des robots sont fournies par la compagnie pétrolière Statoil pour en valider l'utilisation en conditions réelles.

Pourquoi avoir choisi cette forme ? Tout simplement parce qu'elle permet des déplacements très efficaces, simplement par le mouvement d'ondulation pour économiser de l'énergie, ou avec des petits propulseurs pour gagner en vitesse. La flexibilité du robot lui permet en outre de se faufiler sans souci entre les tuyaux et dans des espaces étroits, qui sont habituellement très difficiles d'accès.


Ses missions ? Faire de l'inspection visuelle, nettoyer des équipements ou ajuster des valves. Ces tâches représentent la grande majorité du travail à effectuer au fond des eaux, pour lesquelles ces robots remplaceront les lourdes interventions actuelles qui emploient des véhicules pilotés, typiquement très coûteuses et complexes à mettre en oeuvre.

avec les vidéos : http://www.usine-digitale.fr/article/vi ... ns.N387908

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suite de ce post du 05 Avril 2016 viewtopic.php?p=388537#p388537

Halliburton et Baker Hughes renoncent à créer un nouveau géant des services pétroliers

AFP le 02/05/2016

Faute de pouvoir vaincre l'opposition des autorités de la concurrence, les groupes américains de services pétroliers Halliburton et Baker Hughes ont renoncé dimanche à leur projet de fusion à plusieurs dizaines de milliards.

"Les difficultés pour obtenir les autorisations réglementaires restantes et les conditions générales du secteur, qui ont gravement endommagé les raisons économiques de la transaction, ont conduit à la conclusion que l'abandon était la meilleure chose à faire", a indiqué Dave Lesar, le PDG de Halliburton, cité dans un communiqué commun des deux sociétés.

"C'était une transaction mondiale, extrêmement complexe, et en fin de compte on n'a pas pu trouver de solution pour satisfaire les inquiétudes des régulateurs sur la concurrence, à la fois aux Etats-Unis et à l'étranger", a commenté de son côté le PDG de Baker Hughes, Martin Craighead.

L'accord de fusion annoncé fin 2014 prévoyait que Halliburton achète Baker Hughes pour 34,6 milliards de dollars.

Halliburton comptait toutefois s'acquitter d'une partie de la somme avec ses propres actions, qui se sont depuis dépréciées. Sur la base du cours de clôture de vendredi soir, Baker Hughes n'aurait plus été valorisé qu'à 28,6 milliards de dollars.

Halliburton va finalement lui verser à la place, d'ici le 4 mai, une indemnité d'annulation de 3,5 milliards de dollars, comme le prévoyait leur contrat.

Halliburton et Baker Hughes sont spécialisés dans les services liés au forage ou à la construction des puits et plateformes de pétrole.

- Craintes pour les prix de l'énergie -

Ils sont respectivement numéros deux et trois mondiaux des services pétroliers, et leur fusion leur aurait potentiellement permis de détrôner l'actuel numéro un, le franco-américain Schlumberger: Halliburton et Baker Hughes ont réalisé un chiffre d'affaires cumulé de 39,37 milliards de dollars l'an dernier, contre 35,48 milliards pour Schlumberger.

Le rapprochement visait à réagir à la crise provoquée par la chute des cours de l'or noir, qui pousse les grands groupes pétroliers à réduire leurs investissements et à faire pression sur leurs sous-traitants comme Halliburton et Baker Hughes pour qu'ils baissent leurs tarifs.

En augmentant sa taille, Halliburton pouvait espérer se retrouver dans une meilleure position dans ses négociations commerciales avec les groupes pétroliers.

Plusieurs régulateurs se sont toutefois inquiétés de l'émergence d'un duopole qui contrôlerait la plus grosse part du marché, et d'un manque de concurrence risquant à terme de surenchérir les prix de l'énergie.

Les deux groupes avaient tenté de les amadouer en promettant des milliards de dollars de cessions d'actifs après leur mariage, sans succès.

Après plusieurs mois de tractations avec les deux groupes, les services antitrust du département américain de la justice (DoJ) avaient finalement lancé début avril une procédure judiciaire pour faire bloquer une fusion qui selon eux "éliminerait une concurrence essentielle, déséquilibrerait le marché de l'énergie et nuirait aux consommateurs américains".

La Commission européenne avait pour sa part ouvert depuis janvier une enquête approfondie sur cette opération.

"La transaction soulevait des inquiétudes en terme de concurrence sur un très grand nombre de marchés", a commenté lundi dans un communiqué la commissaire européenne à la Concurrence, Margrethe Vestager, en disant prendre acte du renoncement. Elle a précisé que la Commission avait mené ses investigations en étroite coopération avec le DoJ mais aussi avec les autorités de régulation du Brésil et d'Australie.

"La décision des entreprises d'abandonner cette transaction --qui aurait laissé beaucoup de marchés de services pour les champs pétroliers aux mains d'un duopole-- est une victoire pour l'économie américaine et pour tous les Américains", s'est félicitée dimanche la ministre fédérale de la Justice, Loretta Lynch, dans un communiqué.

"Très peu de choses sont aussi importantes pour notre économie que le pétrole et le gaz", a rappelé son adjoint David Gelfand, qui travaille pour les services antitrust du DoJ. "Mais la fusion entre Halliburton et Baker Hughes aurait augmenté les prix, réduit la production et diminué l'innovation sur au moins 23 produits et services pour les champs pétroliers cruciaux pour l'approvisionnement en énergie de la nation."

http://www.boursorama.com/actualites/ha ... 0823c5b6e6

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Sismique : l’heure du rétablissement n’a pas encore sonné pour CGG

Publié le 03/05/2016 lemarin.fr

Le spécialiste français de la sismique CGG a fait part le 3 mai d’une perte nette de 130 millions de dollars au premier trimestre, contre une perte de 55 millions un an plus tôt.

http://www.lemarin.fr/secteurs-activite ... e-pour-cgg

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Technip et l'américain FMC officialisent leur mariage

Astrid Gouzik Usine Nouvelle le 19/05/2016

Le français Technip et l'américain FMC Technologies ont annoncé, ce jeudi 19 mai, un projet de fusion qui donnera naissance à un nouveau spécialiste des équipements pétroliers et gaziers d'une capitalisation boursière proche de 13 milliards de dollars. La nouvelle entité sera domiciliée au Royaume-Uni.

"Une nouvelle approche pour redéfinir la production et la transformation du pétrole et du gaz". C'est ainsi que Technip, le fleuron industriel français, annonce sa fusion avec l'américain FMC. Selon leur projet, pour lequel les deux groupes ont signé un protocole d'accord, les actionnaires de Technip recevront deux actions de la nouvelle société pour chaque action Technip détenue tandis que les actionnaires de FMC Technologies recevront une action pour chaque action détenue.

Les actionnaires des deux sociétés détiendront respectivement environ 50% du capital du nouveau groupe, ont précisé les groupes dans un communiqué commun. La fusion a été approuvée à l'unanimité par les administrateurs des conseils des deux sociétés. La réalisation effective de la fusion est prévue pour début 2017, sous réserve notamment de l'approbation des actionnaires de Technip et de FMC Technologies.

Bpifrance Participations et IFPEN, actionnaires de Technip, soutiennent en outre l'opération.

Des gains d'efficacité

Le nouveau groupe, nommé TechnipFMC, prévoit de réaliser des synergies de coûts avant impôt d'environ 200 millions de dollars en 2018 et des synergies de coûts estimées à au moins 400 millions de dollars en année pleine en 2019 et les années suivantes. Elles s'ajoutent aux plans de réduction des coûts déjà annoncés respectivement par chacun des groupes.

Thierry Pilenko, PDG de Technip, sera président exécutif du conseil d'administration de la nouvelle société tandis que Doug Pferdehirt, actuellement à la tête de FMC Technologies, occupera le poste de directeur général. Les sièges opérationnels seront situés à Paris (France) et à Houston (Etats-Unis). Mais la nouvelle société sera domicilée au Royaume-Uni, indique le groupe dans le communiqué.

Avec plus de 49 000 salariés répartis dans plus de 45 pays, le chiffre d'affaires combiné 2015 de TechnipFMC s'élève à près de 20 milliards de dollars pour un Ebitda combiné 2015 d’environ 2,4 milliards de dollars. Au 31 mars, les deux sociétés réunies avaient un carnet de commandes combiné d'environ 20 milliards de dollars.

http://www.usinenouvelle.com/article/te ... ge.N392142

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Technip remporte un contrat majeur dans l’offshore libyen

Publié le 31/05/2016 lemarin.fr

Technip a obtenu un contrat pour développer la phase II du champ gazier Bahr Essalam, dans l’offshore libyen, ont fait savoir le 31 mai le groupe parapétrolier et le ministère français des Affaires étrangères.

L’annonce de ce contrat d’un montant compris entre 500 millions et 1 milliard de dollars a été faite à l’occasion de la visite à Paris de Moustapha Sanallah, président de la compagnie étatique libyenne Noc.

http://www.lemarin.fr/secteurs-activite ... ore-libyen

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Sismique : nouveau record mondial pour PGS

Publié le 10/06/2016 lemarin.fr

Pour sa première mission, le nouveau navire Ramform Tethys de PGS s’est distingué en tirant au total 129,6 km de streamers pour réaliser une étude sismique 3D de haute densité. C’est la plus grande longueur de streamers jamais tirée par un seul navire, a souligné le 8 juin le spécialiste norvégien de la sismique.


En tirant au total 129,6 km de streamers, le « Ranform Tethys » de PGS a établi un nouveau record mondial. (Photo : PGS)

http://www.lemarin.fr/secteurs-activite ... l-pour-pgs