en tout cas pour l'iran et l'algerie, je ne crois pas qu'il raffine pour les autres. et en ce qui concerne les pays proche peninsule, je serai curieux de connaitre l'évolution de la consommation "deflaté du raffinement pour autrui".
la tendance est sans doute la même.
mêm si les problematiques sont differentes, il me semble qu'il y a un mvmt de fond vers plus de democratie et donc une repartition plus large dans l'économie.
et ce n'est pas immoral de parler de ce probleme ,il ne nous vole pas ce petrole ,"les enfants du nabab avec sa tribu au ritz" ils se développe ,c'est different, et cela va vite, l'image du nabab n'étant plus obsolete, elle est fausse.
c'est d'ailleurs le theme du dernier livre de todd, le rv des civilisations? on en parle moins que son precedent ,la fin de l'empire.
cette note positive a donc bien un retentissement.dans le cas de l'iran oe de l'algerie, il s'agit de plus de pays relativement peuplé.
donc cette vision democratique justifie une certaine subvention du prix au delà des schemas écolo et de marché.ils peuvent se le permettre dans la mesure ou leur reserve de change sont telles qu'ils n'ont pas la pression du fmi.
donc le shema par le prixqu'on vendrait au plus riche n'est pas exacte, amha.
egypte idem
pour la malaisie ,idem
pour le vietnam , non musulman cité, c'est la mêm chose.

dans 1984, la novlangue; mais surtout la double pensée: la guerre c'est la paix, la liberté c'est l'esclavage, l'ignorance c'est la force, l'hcq c'est hautement toxique