
MEXICO CITY, May 4 (Reuters) - Mexico's state oil monopoly Pemex expects to borrow another $6.3 billion this year to fund its capital investments and refinance existing debts, company executives said on Tuesday. (Reporting by Robert Campbell)
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MEXICO CITY, May 4 (Reuters) - Mexico's state oil monopoly Pemex expects to borrow another $6.3 billion this year to fund its capital investments and refinance existing debts, company executives said on Tuesday. (Reporting by Robert Campbell)
http://www.boursorama.com/infos/actuali ... dab4d91066Pétrole : marée noire ou pas, le Mexique va forer en eaux profondes
Les pompiers rangent leurs tuyaux, et les fausses victimes de l'incendie sont emmenées sur des brancards, à la fin de cet exercice de sécurité sur la plateforme de forage Ku-S, à 40 km de la côte de la péninsule du Yucatan, à l'extrême sud-est du Mexique.
On est loin de la Louisiane, à l'autre bout du golfe du Mexique, mais la catastrophe provoquée par l'explosion de la plateforme Deepwater Horizon de la compagnie BP (11 morts, plus de 4 millions de barils écoulés avant le colmatage de la fuite à 1.500 mètres de profondeur) a poussé partout à renforcer les précautions antimarée noire.
Ici en particulier: le Mexique, à la recherche de nouveaux gisements pétroliers pour relancer sa production en baisse, prépare des forages en eaux profondes, bien au-delà de ses expériences actuelles.
Ku-S, sur le gisement Ku Maloob Zaap, ne plonge qu'à 60 mètres. Loin des 500 mètres où commencent les forages considérés comme profonds, et encore davantage des 2.600 mètres où la compagnie nationale Pemex (Petroleos Mexicanos) compte s'aventurer au printemps 2011.
Elle espère y trouver jusqu'à 53 milliards de barils de réserves, 55 ans de la production totale actuelle.
Le Mexique reste l'un des principaux producteurs mondiaux de pétrole, qui assure 40% de son budget national. Mais sa production a fondu, passant de 3,3 millions de barils/jour en 2004 à 2,6 millions l'an dernier, avec le tarissement de son gisement historique, Cantarell.
Ku-S est devenue la référence-sécurité de Pemex, qui y multiplie les expérimentations, et le directeur de la plateforme, Francisco Contreras, y écarte tout risque de catastrophe du style Deepwater Horizon.
"Tous les risques sont mesurés, tous les systèmes sont automatiques", explique-t-il en montrant trois alarmes complémentaires, qui coupent le flux de brut en cas de fuite.
"Nous allons doubler notre capacité de forages à grande profondeur d'ici à l'an prochain", affirme le directeur de l'exploration et des opérations de Pemex, Carlos Morales Gil.
Mais Pemex est un peu seule, face à cette technologie nouvelle pour elle.
Malgré l'insistance du président Felipe Calderon, la réforme de la compagnie nationale votée fin 2008 ne lui permet toujours pas de s'associer à des partenaires étrangers.
Ce manque d'expérience accroît le danger, avertit l'expert indépendant David Shields, auteur de plusieurs ouvrages sur Pemex.
Pemex devrait "suspendre pour quelque temps ses projets en eaux profondes", conseille-t-il, car elle "n'en a pas l'expérience" et parce que la législation la contraint à "absorber tous les risques".
"S'il y a quelque chose à apprendre de la marée noire de BP, c'est simplement qu'aucune technologie n'est totalement sûre, et qu'aucune technologie ne sert en cas d'explosion et d'écoulement", insiste-t-il.
Avec les écologistes qui prônent le recours aux énergies renouvelables, Alejandro Olivera, océanologue de Greenpeace Mexique, va plus loin: "il ne faut plus forer en eaux profondes".
"Tant qu'on s'en tiendra à ce genre de technologie, selon toute probabilité on aura des marées noires", martèle-t-il.
Le Mexique en a connu une importante, en 1979, un déversement de plus de 500 tonnes de brut ( erreur inside !). Il a fallu neuf mois pour le contrôler, sur le puits Iztoc, à quelques kilomètres de Ku-S.
Mais Pemex a tranché: en novembre, la première de trois nouvelles plateformes d'exploration semi-submersibles sera installée dans le sud du golfe, sur un site à 940 de profondeur.
Une fois le personnel "familiarisé avec la technologie", elle sera transférée sur le puits Maximino, à 28 km de la frontière maritime des Etats-Unis, pour forer à 2.600 mètres, record national de profondeur.
http://www.enerzine.com/10/10245+cggver ... rine+.htmlCGGVeritas reçoit un gros contrat de sismique marine
CGGVeritas a annoncé lundi l'attribution par Pemex pour un montant de plus de 150 millions de dollars, d’une extension au contrat actuel pour étendre à 18 000 km² un programme d’acquisition marine « wide-azimuth » dans les eaux mexicaines du Golfe du Mexique.
Ce projet, qui au total représente plus de 200 millions de dollars, constitue la première étude contractuelle « wide azimuth » d'une telle ampleur en Amérique Latine et l'une des plus importantes jamais réalisée au monde. Elle est prévue de démarrer en Octobre 2010 et durer environ 300 jours. CGGVeritas mobilisera deux de ses navires 3D, le Viking Vanquish et son nouveau navire X-Bow® Oceanic Vega pour réaliser cet important programme. Deux bateaux sources y seront aussi associés.
"Nous nous réjouissons de l’attribution de cette importante étude wide-azimuth qui s’inscrit dans la continuité de l’excellente collaboration entre Pemex et CGGVeritas, déjà bien établie, en particulier sur le programme marine pluriannuel que nous réalisons actuellement.
C’est un savoir faire unique et une technologie de pointe que nous apporterons à Pemex sur ce nouveau programme, avec d’une part nos bateaux de haut de gamme équipés de streamers solides Sentinel et de systèmes de positionnement Nautilus, et d’autre part nos plus récents programmes de traitement et d’imagerie. Cette attribution confirme la position de premier rang de CGGVeritas et sa capacité à répondre aux besoins technologiques croissants de l’industrie sismique de haut de gamme " a commenté Jean-Georges Malcor, Directeur Général de CGGVeritas.
(src : CGGVeritas)
http://www.reuters.com/article/2011/03/ ... 8720110301Mexico launches auction for oil field contracts
MEXICO CITY, March 1 (Reuters) - Mexico's state oil company
kicked off its first-ever auction of oil field operating
contracts on Tuesday with executives saying they hoped to have
private partners playing a major role in the industry by the
end of the decade. Mexico will award contracts to reactivate and operate three
small oil fields to private companies this summer in a bid to
bring private capital and expertise into the industry to
reverse a worrying decline in oil output.Pemex officials said representatives from 120
companies attended the conference, reflecting the wide interest
of international oil companies in gaining access to Mexico,
whose oil industry has been restricted to a state monopoly for
more than 70 years. Mexico, the world's number 7 oil producer, lost nearly a
quarter of its output capacity between 2004-2009 due to the
rapid aging of its oil fields and a lack of investment in
exploration for new deposits. Although output has stabilized around 2.5 million barrels
per day, a renewed decline in production could well force
Mexico to become a net importer of oil. Mexico relies on oil revenues to fund around a third of its
government budget and two debt rating agencies downgraded the
country in late 2009, citing its heavy reliance on the
declining oil industry and a lack of political will to broaden
the tax base. The first round offers only three small oil fields with
relatively little oil, but Pemex officials say the potential of
the areas, which were discovered before Mexico found its giant
offshore oil fields, has not yet been fully exploited. "Why are we doing this? We haven't had enough (resources)
to go back to these fields that have huge potential," Pemex
Chief Executive Juan Jose Suarez said at a press conference.
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http://af.reuters.com/article/energyOil ... 1920110404Mexico's Pemex discovers new oil, gas deposit
MEXICO CITY, April 4 (Reuters)
Mexico's state oil company
Pemex on Monday said it has discovered a new deposit along the
southern Gulf coast where an exploratory well is now producing
3,700 barrels of oil per day. The first well, located 6.2 miles (10 kilometers) from the
city of Comalcalco in Tabasco state, is also producing 8
million cubic feet of gas a day. The well will allow Pemex to increase production
in the region and adds value to nearby areas that are seen to
have similar conditions, the company said in a statement. It will also increase Pemex's understanding of the area's
geology where there are potentially more oil-bearing
structures. Mexico, the world's No.7 oil producer neglected exploration
for years but has been forced to step up efforts since 2004 as
the natural decline of its aging giant oil fields threatens the
stability of government finances, which are heavily dependent
on oil revenues. Mexico's state oil company Pemex last year drilled the
fewest wells since 2001 to search of new crude and natural gas
reservoirs, raising doubts over its drive to sustain production
as major fields age.
On sait pourquoi? Je me demande si le Mexique (enfin, son secteur pétrolier) n'essaie pas de compenser au maximum avec ce qu'il a autour de Cantarell... et donc ne prépare pas une déplétion rude!Raminagrobis a écrit : Ironie : la production du mexique en dehors de Cantarell a augmenté de presque 1 Mb/j en six ans, c'est plus que la croissance de n'importe quel autre pays producteur, même le Brésil
C'est clair : le pétrole est majeur dans le budget mexicain. Bien sur le mexique est un pays relativement développé, avec une économie diversifiée, le pétrole ne pèse pas aussi lourd dans son PIB que pour les pays du golfe par exemple. Mais le truc, c'est qu'une grande partie de l'argent du pétrole va directement dans les caisses de l'état. L'argent reversé par la Pemex à l'état représente encore le tiers du budget fédéral mexicain. Mais plus pour longtemps...mahiahi a écrit :On sait pourquoi? Je me demande si le Mexique (enfin, son secteur pétrolier) n'essaie pas de compenser au maximum avec ce qu'il a autour de Cantarell... et donc ne prépare pas une déplétion rude!Raminagrobis a écrit : Ironie : la production du mexique en dehors de Cantarell a augmenté de presque 1 Mb/j en six ans, c'est plus que la croissance de n'importe quel autre pays producteur, même le Brésil