Pétrole au KOWEIT
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Pétrole au KOWEIT
Pétrole - Les réserves du Koweït sont à diviser par deux
LONDRES, 20 janvier (Reuters) - Les réserves de pétrole de l'Opep sont inférieures de moitié aux estimations officielles, selon des documents internes au pays consultés par la lettre d'information Petroleum Intelligence Weekly (PIW).
"PIW a appris de certaines sources que les réserves pétrolières effectives du Koweït, qui sont officiellement déclarées à 99 milliards de barils, soit près de 10% du total mondial, sont nettement inférieures, selon des documents koweïtiens internes", lit-on dans la lettre datée de vendredi.
L'hebdomadaire affirme que selon des données diffusées au sein de la Kuwait Oil Co (KOC), le bras prospection de la société publique Kuwait Petroleum Corp, les réserves restantes prouvées et non prouvées du pays sont d'environ 48 milliards de barils.
L'information a accentué la hausse des cours du pétrole. Le Brent de la mer du Nord gagnait un moment deux dollars à Londres, pour toucher 67,24 dollars, son plus haut niveau depuis début septembre.
PIW précise que les chiffres officiels publics de l'émirat ne font pas la distinction entre réserves prouvées, probables et possibles.
Mais, indiquent les rédacteurs de la lettre, les données que nous avons vues montrent que sur les 48 milliards de barils restants, seulement 24 milliards sont pour l'instant véritablement des réserves prouvées, dont 15 milliards dans le principal gisement du pays, Burgan.
LONDRES, 20 janvier (Reuters) - Les réserves de pétrole de l'Opep sont inférieures de moitié aux estimations officielles, selon des documents internes au pays consultés par la lettre d'information Petroleum Intelligence Weekly (PIW).
"PIW a appris de certaines sources que les réserves pétrolières effectives du Koweït, qui sont officiellement déclarées à 99 milliards de barils, soit près de 10% du total mondial, sont nettement inférieures, selon des documents koweïtiens internes", lit-on dans la lettre datée de vendredi.
L'hebdomadaire affirme que selon des données diffusées au sein de la Kuwait Oil Co (KOC), le bras prospection de la société publique Kuwait Petroleum Corp, les réserves restantes prouvées et non prouvées du pays sont d'environ 48 milliards de barils.
L'information a accentué la hausse des cours du pétrole. Le Brent de la mer du Nord gagnait un moment deux dollars à Londres, pour toucher 67,24 dollars, son plus haut niveau depuis début septembre.
PIW précise que les chiffres officiels publics de l'émirat ne font pas la distinction entre réserves prouvées, probables et possibles.
Mais, indiquent les rédacteurs de la lettre, les données que nous avons vues montrent que sur les 48 milliards de barils restants, seulement 24 milliards sont pour l'instant véritablement des réserves prouvées, dont 15 milliards dans le principal gisement du pays, Burgan.
- MadMax
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On m'a dit de reposter ici, mais c'est la même info ???Le cours du pétrole poursuit sa remontée
Mise en ligne 20/01/2006 16h51
ARGENT
Les cours du pétrole ont poursuivi leur remontée vendredi, le marché craignant que l'évolution des dossiers iranien et nigérian ne vienne perturber les approvisionnements mondiaux en brut, selon Reuters.
En fin de séance, une information de la lettre Petroleum Intelligence Weekly selon laquelle les réserves pétrolières du Koweït seraient inférieures de moitié aux chiffres officiels, a renforcé le mouvement haussier.
Le prix du pétrole brut pour livraison en février a franchi la barre des 68$US pour finir en hausse de 1,52$ ou 2,3% à 68,35$, son plus haut niveau de clôture depuis le 1er septembre. Il a même touché 68,80$US en séance, son plus haut depuis le 2 septembre, se rapprochant de son record historique du 30 août, juste en dessous de 71$US.
À Londres, le contrat pour livraison en mars sur le Brent de mer du Nord a fini à 66,43$US, en hausse de 1,20% ou 1,8%, se rapprochant là aussi de son record historique de 68,89$US, inscrit le 30 août dernier lors du passage de l'ouragan Katrina.
Le marché craint notamment qu'en cas de sanctions économiques contre les ambitions nucléaires de l'Iran, le pays ne réponde par une baisse de ses approvisionnements pétroliers. L'Iran, quatrième exportateur mondial de brut, a déjà commencé à transférer des avoirs détenus à l'étranger en prévisions d'éventuelles sanctions de l'ONU. `
En outre, l'Iran a annoncé vendredi qu'il demanderait une baisse d'un million de barils par jour de la production de l'Opep à partir d'avril au motif qu'il y aurait un excédent de deux millions de barils par jour sur les marchés.
Au Nigeria, où la production a diminué de 220 000 barils par jour, le Mouvement pour l'émancipation du delta du Niger a menacé de reprendre sous peu ses attaques contre l'industrie du pétrole. Le groupe retient déjà en otage quatre employés de compagnies pétrolières.
- Sylvain
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Bien vu Nik
C'est confirmé par cette source.
C'est un coup de tonnerre qui s'abat sur les marché pétrolier. Entre 1984 et 1989, les pays de l'OPEP ont augmenté très subitement leurs réserves déclarées.

Beaucoup de monde supposaient que ces augmentations étaient bidons ; faîtes pour augmenter les quotas de production de chaque pays (plus un pays de l'OPEP déclare de réserves, plus il a le droit de produire de pétrole).
La question de la véracité des réserves des pays de l'OPEP est maintenant posée sur la place publique.
Les pays de l'OPEP vont subir une pression internationale formidable pour que leurs réserves soient estimées par des observateurs indépendants. Si ils refusent, le doute subsitera.
Toute la civilisation pétro-occidentale risque de réaliser très rapidement qu'elle a vraiment un gros, très gros problème avec le pétrole.
Ce vendredi 20 janvier 2006 a des chances de figurer dans les livres d'histoire de nos enfants.
Déplacé dans Actualités, et passage en post-it.
C'est confirmé par cette source.
C'est un coup de tonnerre qui s'abat sur les marché pétrolier. Entre 1984 et 1989, les pays de l'OPEP ont augmenté très subitement leurs réserves déclarées.

Beaucoup de monde supposaient que ces augmentations étaient bidons ; faîtes pour augmenter les quotas de production de chaque pays (plus un pays de l'OPEP déclare de réserves, plus il a le droit de produire de pétrole).
La question de la véracité des réserves des pays de l'OPEP est maintenant posée sur la place publique.
Les pays de l'OPEP vont subir une pression internationale formidable pour que leurs réserves soient estimées par des observateurs indépendants. Si ils refusent, le doute subsitera.
Toute la civilisation pétro-occidentale risque de réaliser très rapidement qu'elle a vraiment un gros, très gros problème avec le pétrole.
Ce vendredi 20 janvier 2006 a des chances de figurer dans les livres d'histoire de nos enfants.
Déplacé dans Actualités, et passage en post-it.
Dernière modification par Sylvain le 07 mars 2006, 11:57, modifié 1 fois.
- mahiahi
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Moi qui n'arrive plus à dormir, me voici réveillé
Tiens, en allant sur le forum "Maurel & Prom" de Boursorama (http://www.boursorama.com/forum/file_me ... ole=1rPMAU), je vois un membre nommé "peakoil"...
Serait-ce l'un des oléocènistes?

Tiens, en allant sur le forum "Maurel & Prom" de Boursorama (http://www.boursorama.com/forum/file_me ... ole=1rPMAU), je vois un membre nommé "peakoil"...
Serait-ce l'un des oléocènistes?
C'est quand tout semble perdu qu'il ne faut douter de rien
Dieu se rit des hommes déplorant les effets dont ils chérissent les causes
Défiez-vous des cosmopolites allant chercher loin dans leurs livres des devoirs qu'ils dédaignent remplir autour d'eux
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- GillesH38
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- Localisation : Berceau de la Houille Blanche !
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mais si on extrapole ça à tout l'OPEP, ça fait plus que 30 AVEC LA CONSOMMATION ACTUELLE, ce qui signifie qu'avec les propres scénarios absurdes de croissance de l'AIE, on n'a plus une goutte de pétrole dans 25 ans à la louche . Quelqu'un à le no de portable d'Olivier Appert, faudrait quand même le mettre au courant non?