Re: [Découvertes] de nouveaux gisements de pétrole
Publié : 08 avr. 2015, 18:47
http://www.ifpenergiesnouvelles.fr/cont ... oleGaz.pdfPanorama 2015 IFP, le point sur
Nouvelles découvertes de pétrole et de gaz conventionnels
Site dédié à la fin de l'âge du pétrole
http://www.oleocene.org/phpBB3/
http://www.ifpenergiesnouvelles.fr/cont ... oleGaz.pdfPanorama 2015 IFP, le point sur
Nouvelles découvertes de pétrole et de gaz conventionnels
http://www.agenceecofin.com/exploration ... eychelloisJOGMEC et PetroSeychelles ont 2 ans de plus pour évaluer le potentiel seychellois
Agence Ecofin 02 mars 2016
Hier, la Japan Oil, Gas and Metals National Corporation (JOGMEC) a signé avec PetroSeychelles une extension de l'accord conjoint d'enquêtes géologiques et géophysiques portant sur l’évaluation du potentiel en hydrocarbures de l’archipel.
En effet, la compagnie japonaise menait conjointement avec PetroSeychelles des activités de collecte de données sismiques au large depuis le 30 août 2013 qui ont pris fin le 29 février 2016. Des enquêtes supplémentaires ayant été jugées nécessaires par le gouvernement, les deux compagnies se sont ainsi accordées pour prolonger la licence d’exploitation en cours pour deux années supplémentaires.
Les responsables des deux compagnies se sont dits heureux de cette prolongation opportune qui pourrait conduire à la découverte de nouvelles ressources en hydrocarbures aux Seychelles.
Afin de garantir l'approvisionnement en énergie au Japon, JOGMEC continuera à rechercher des potentiels d'hydrocarbures par des études géologiques et géophysiques. Ce qui permettra aussi de créer des opportunités d'affaires pour les entreprises japonaises, souligne Offshore Energy Today.
Il est clair que avec la politique antinucléaire actuelle, avec la prise de conscience que le renouvelable est un placébo, le secteur pétrolier est un placement sûr.L'exploration pétrolière n'a plus les retours sur investissement de jadis, mais elle reste monstrueusement rentable!
http://www.lesechos.fr/industrie-servic ... 001457.phpLes découvertes de pétrole n’ont jamais été aussi faibles depuis... 1952
ANNE FEITZ Les Echos le 26/05/2016
L’an dernier, les compagnies pétrolières et gazières n’ont trouvé que l’équivalent d’à peine un mois de consommation de la planète.
Les découvertes conventionnelles de pétrole et de gaz sont tombées au plus bas depuis 1952. Selon une nouvelle analyse publiée cette semaine par le cabinet IHS, les compagnies pétrolières n'ont trouvé que 12 milliards de barils équivalent pétrole de réserves récupérables l'an dernier.
Un chiffre en baisse de 20 % par rapport aux 15 milliards de barils découverts en 2014, selon Wood Mackenzie - et très loin des 47 milliards de 2010. « C'est à peine l'équivalent d'un mois de consommation mondiale », commentent les analystes de Morgan Stanley. Ces chiffres concernent toutefois seulement les hydrocarbures conventionnels, hors donc le pétrole et le gaz de schiste américains.
Une industrie en crise
Ils n'en sont pas moins symptomatiques de la crise que traverse l'industrie. La chute des prix du baril, dont les cours ont chuté de 60 % depuis mi-juin 2014, a conduit les compagnies à tailler dans leurs investissements, notamment d'exploration. « Ce sont traditionnellement les premières dépenses à être coupées », rappelle Geoffroy Hureau, à l'IFP EN. Selon l'Institut français, les investissements d'exploration dans le monde, qui étaient passées de 50 à 100 milliards de dollars entre 2010 et 2013, sont tombés à 82 milliards en 2015. Et les budgets devraient encore baisser cette année. Mais toute activité n'a pas cessé. Chez Total, par exemple, 1,5 milliard de dollars sont encore consacrés au forage de puits d'exploration. Comme les prix des services pétroliers ont fortement baissé depuis deux ans, un tel budget permet de forer « quasiment autant de puits qu'auparavant », relève un expert. Selon IHS, le nombre de puits conventionnels forés en 2015, en dehors de l'Amérique du Nord, est tombé à 4.300 en 2015, contre 5.200 en 2014.
Gisement gazier géant au large de l'Egypte
Les faibles volumes découverts sont aussi le reflet des difficultés accrues à trouver de nouveaux gisements, alors que les champs les plus faciles d'accès ont déjà été trouvés. En 2015, seule la découverte par ENI d'un gisement gazier géant au large de l'Egypte a marqué les esprits, avec des réserves estimées à 5,1 milliards de barils. Les autres, de plus petite taille, ont concerné des gisements gaziers en Mauritanie, en Tanzanie ou au Congo, ou de pétrole en Chine, dans le Golfe du Mexique ou en Guyane. En 2016, seules quelques découvertes ont été annoncées, au large de la Birmanie ou de l'Angola par exemple. « Il faudra voir aussi à quel coûts ces gisements pourront être développés », rappelle Geoffroy Hureau. Selon IHS, l'activité d'exploration a été particulièrement faible dans l'offshore très profond, avec une baisse du nombre de puits de 40 % en 2015.
« Cette baisse des volumes découverts va créer un trou dans les portefeuilles des compagnies et finalement avoir un impact négatif sur la production », relève Leta Smith, chez IHS. Et ce, « plus probablement dans les 5 à 10 ans, le délai type entre la découverte et la première production », poursuit-elle. Un « trou » qui, selon l'IHS, ne sera pas compensé par le pétrole de schiste américain ; celui-ci restera compris entre 10 et 15 % de la production totale de pétrole en 2040. « Le marché aura encore besoin de pétrole conventionnel», conclut l'IHS.
Les deux mon capitaine. On a bien vu que les investissements ont chutés à la suite des cours mais la tendance de fonds de baisse des découvertes était là même au moment ou les investissements étaient au plus haut. On peut supposer que les prix feront à nouveau le yo-yo lorsque les prix remonteront (probablement de façon brutale) puis de nouveau descendront quand les nouveaux investissements produiront leurs effet. On a un cycle de 15-20 ans environ dirait-on. Reste à savoir si dans 20 ans la production se sera assez diversifié pour que la consommation puisse se maintenir.phyvette a écrit :Reste a démontrer ce qui est de cause géologie : les resserves a découvrir s'épuisent donc on trouve moins.
Ou ce qui est de la volonté de dépenser des sous en recherche : si on ne cherche plus à coup de milliards on ne risque pas de trouver.
http://www.lemonde.fr/economie/article/ ... E4oLV66.99Du pétrole découvert en Alaska
Peut-être un petit eldorado pour les pétroliers, sûrement un nouveau combat pour les écologistes. La compagnie texane Caelus Energy a annoncé, mardi 4 octobre, la découverte d’un énorme gisement d’or noir dans une région reculée d’Alaska à l’écosystème particulièrement fragile. Entre 6 milliards et 10 milliards de barils – dont 1,8 milliard à 2,4 milliards récupérables – dormiraient dans les eaux peu profondes de Smith Bay, à 500 kilomètres au nord du cercle polaire, dans une zone où les compagnies s’avancent avec d’infinies précautions. Ce qui doublera presque les réserves prouvées de cet Etat (2,86 milliards de barils en 2014) et constituera la plus grande découverte de brut en Alaska depuis celle de Prudhoe Bay en 1967 (14 milliards de barils).
http://lachute.over-blog.com/2016/10/alaska-bresil.htmlRapporté sur une exploitation de 40 ans, cela fait au maximum, 60 millions de barils par an. Et peut être 200 000/jour. Oui, c'est intéressant. On a de quoi remplir un briquet.
Pendant ce temps là, le gisement précédent, qui produit encore 450 000 barils/ jour, continuera de décroitre...
Donc, on peut être content, on aura remplacé un gisement qui a produit 2 000 000 de barils/ jour, par un, qui, peut être, en produira 200 000.