Le transport du Gaz (gazoduc et GNL)

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Message par mehdiclean » 19 déc. 2005, 14:43

merci pour les infos tiennel ;-)
maintenant l'autre question évidemment est celle de la sécurité de ces méthaniers, si jamais il prenait à un pays doté de nombreaux sous-marins, de s'énerver...
ce qu'il y a de terrible quand on cherche la vérité... c'est qu'on la trouve !

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energy_isere
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Message par energy_isere » 19 déc. 2005, 14:50

Sylvain a écrit :La carte européenne ci-dessus comporte une erreur : le terminal méthanier de Montoir-de-Bretagne est mal localisé.
Correction :
Donc si le terminal péte à Montoir de Bretagne tu sera au premiéres loges ? :oops: Plus de modérateur ?

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Message par Tiennel » 19 déc. 2005, 16:14

mehdiclean a écrit :maintenant l'autre question évidemment est celle de la sécurité de ces méthaniers, si jamais il prenait à un pays doté de nombreaux sous-marins, de s'énerver...
Quand on sait que le futur gazier des USA passe forcément par un approvisionnement maritime, voilà qui donne beaucoup d'intérêt à ces brèves passées quasi-inaperçues en 2005 :
Téhéran a lancé officiellement la construction de son premier sous-marin "Made in Iran"
La Russie va fournir des missiles aux sous-marins iraniens
L’Iran entame la production de torpilles
Et l'Iran possède déjà 3 sous-marins de fabrication russe...
Mais comme ce fil parle plutôt du prix du gaz en France, je propose que la suite de cette discussion se fasse sur le "nucléaire" iranien - "nucléaire" qui pourrait en fait représenter le dispositif militaro-industriel iranien tout entier

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Sylvain
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Message par Sylvain » 19 déc. 2005, 17:56

energy_isere a écrit :Donc si le terminal péte à Montoir de Bretagne tu sera au premiéres loges ? Plus de modérateur ?
Désolé de faire du hors-sujet :oops:

Le bassin de la Basse-Loire est une zone hyper-industrialisée. 5 sites industriels sont classés SEVESO à proximité de chez moi :
  • 1 - Le terminal Méthanier Gaz de France (à Montoir)
    2 - Le dépôt de gaz liquéfié Antargaz (à Donges)
    3 - L'usine de fabrication d’engrais Yara France (anciennement "Hydro Agri France") (à Montoir)
    4 - Le centre de stockage d’engrais Cérégrain Distribution (à Montoir)
    5 - La raffinerie de pétrole Total (à Donges)
Du gaz, de l'engrais, du pétrole ... 3 produits explosifs concentrés géographiquement. Ajoutés à cela les navires pétroliers et méthaniers qui viennent décharger leurs cargaisons.
Prière d'éteindre vos cigarettes.

Pour répondre à Energy_isere : si une explosion ou un attentat a lieu dans le bassin de Basse Loire, votre modérateur se retrouvera en orbite du côté d'Alpha du Centaure. Je prie le ciel pour que nous n'ayons jamais un accident de type AZF par chez nous, une réaction en chaîne arrive si vite.
J'espère vraiment que Ben Laden ne lit pas le forum ...

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lionstone
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Message par lionstone » 21 déc. 2005, 18:54

http://www.lactualite.com/economie/arti ... 74054_5640

Récemment, la demande accrue d’un combustible fossile moins polluant que le pétrole et le charbon a suscité une multitude de projets semblables aux quatre coins de la planète. Principalement en Amérique du Nord, de loin le plus gros consommateur de gaz naturel — environ 29% de la consommation mondiale! Cinq terminaux méthaniers (Lusby, dans le Maryland, Everett, dans le Massachusetts, Elba Island, en Géorgie, Lake Charles et golfe du Mexique, en Louisiane) assurent déjà 2% de l’approvisionnement aux États-Unis. Une quarantaine de projets y sont à l’étude. Au Canada, sur les sept déposés, seulement deux ont été approuvés: celui d’Irving, au Nouveau-Brunswick, et celui de la société texane Anadarko, en Nouvelle-Écosse.

Car il y a de l’eau dans le gaz. D’un bout à l’autre du continent, l’installation de terminaux méthaniers provoque des levées de boucliers. Aux États-Unis, sur la côte Est seulement, sept projets ont jusqu’ici été rejetés. Au nom de la préservation des lieux naturels, mais surtout de la sécurité. Depuis les attentats du 11 septembre 2001, les Américains craignent tous les moyens de transport susceptibles d’être détournés par des terroristes. L’ex-patron de la lutte antiterroriste, Richard A. Clarke, a même recommandé l’aménagement de terminaux en mer!

Ainsi, chaque entrée d’un méthanier dans le port de Boston prend désormais l’allure d’un film catastrophe: la circulation maritime est interrompue, les policiers ont l’ordre de tirer sur toute embarcation louche, les pompiers sont aux aguets pendant qu’un hélicoptère survole la rivière Charles. Une opération de 50 000 dollars américains.

À l’état liquide — à –160°C —, le gaz est inoffensif: il est presque à la pression atmosphérique. Rien à voir avec du butane en bouteille. Sauf que le GNL devient hautement inflammable lorsqu’il se réchauffe et que sa concentration dans l’air se situe entre 5% et 15%. Le nuage qu’il forme alors peut parcourir plusieurs kilomètres avant de se dissiper. Et peut, au passage, exploser ou s’enflammer au contact de la moindre source de combustion.

Dans un rapport datant de 2004, ABS Consulting, multinationale américaine spécialisée notamment dans la gestion de chantiers industrialo-portuaires, précisait qu’«il n’existe aucun modèle théorique» permettant de prédire le comportement du GNL en cas de déversement en mer. Lors des audiences du BAPE sur le premier projet de Gros-Cacouna, en 1981, le ministère de l’Environnement du Canada a fait observer que «lorsque le GNL entre en contact avec l’eau, des explosions sans flamme peuvent en résulter. Le nuage de vapeur produit par le GNL est très inflammable et, lorsqu’une partie de ce nuage prend feu, le feu peut se propager alors sur toute l’étendue du nuage jusqu’à la source de gaz.»

«On n’a recensé aucun incident majeur impliquant un méthanier au cours des 40 dernières années», réplique le président de Rabaska, Glen Kelly. L’accident le plus tragique remonte à 1944. L’explosion d’un méthanier avait fait 128 morts à Cleveland, en Ohio, et dévasté tout un quartier. «Les méthaniers comportent aujourd’hui une double coque en acier qu’aucun kamikaze ne saurait percer, dit Glen Kelly. Quant aux réservoirs cryogéniques du port, ils reposent sur des bassins capables de contenir, en cas de fuite, tout le gaz liquide susceptible de s’échapper et de se consumer.»

Deux incidents récents ont cependant alimenté les craintes des opposants. L’an dernier, l’explosion de trois unités de liquéfaction, au complexe gazier de Skikda, en Algérie, a fait 27 victimes. Fin août, 11 personnes ont perdu la vie à Kalakama, au Nigeria, dans l’explosion d’une conduite cryogénique souterraine — identique à celle qui passerait sous la route 132 à Lévis, entre le terminal et les réservoirs installés en plein champ.

Rabaska s’en tient aux normes fixées par l’Association canadienne de normalisation (ACNOR): un périmètre de sécurité minimal de 350 m. «C’est insuffisant», soutient Gaston Cadrin, professeur de géographie à la retraite et président du Groupe d’initiatives et de recherches appliquées au milieu. Cet organisme, actif à Lévis depuis 1983, est l’un des opposants à l’installation d’un port méthanier à Lévis. Même le groupe norvégien Det Norske Veritas, qui a réalisé les études d’Énergie Cacouna et de Rabaska, reconnaît que, dans un rayon de 1,3 km, la seule chaleur dégagée par la combustion du GNL atteint cinq kilowatts par mètre carré et peut causer des brûlures au deuxième degré en moins de 30 secondes. Or, il s’agit d’une norme acceptable pour l’ACNOR! (La sensation du soleil de juillet sur la peau équivaut à un kilowatt par mètre carré.)

Gaston Cadrin rappelle les conclusions de James A. Fay, spécialiste de la dispersion des gaz du MIT et ex-président du conseil de l’Autorité portuaire du Massachusetts. Les promoteurs limitent leur hypothèse à une fuite de 1 000 m3, alors qu’une cargaison sera d’au moins 160 000 m3. L’ACNOR «ne tient pas compte du scénario du pire», écrit le professeur dans un avis, en 2004. Selon lui, le périmètre de sécurité devrait s’étendre à six kilomètres!

«Les Français ont aménagé leurs terminaux méthaniers dans des zones industrielles, précise Gaston Cadrin. Le terminal de Montoir, en Bretagne, est à 2 km des zones habitées, celui de Fos-Tonkin, à 7; celui de Fos-Cavaou, sur la Méditerranée, sera à 3,2 km.»
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Message par Sylvain » 21 déc. 2005, 19:14

Le terminal de Montoir, en Bretagne
Non non non.
La commune s'appelle "Montoir-de-Bretagne", mais elle n'est pas en Bretagne, elle est dans les Pays-de-la-Loire.

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Message par energy_isere » 21 déc. 2005, 20:04

lionstone a écrit : «On n’a recensé aucun incident majeur impliquant un méthanier au cours des 40 dernières années», réplique le président de Rabaska, Glen Kelly. L’accident le plus tragique remonte à 1944. L’explosion d’un méthanier avait fait 128 morts à Cleveland, en Ohio, et dévasté tout un quartier. «Les méthaniers comportent aujourd’hui une double coque en acier qu’aucun kamikaze ne saurait percer, dit Glen Kelly. Quant aux réservoirs cryogéniques du port, ils reposent sur des bassins capables de contenir, en cas de fuite, tout le gaz liquide susceptible de s’échapper et de se consumer.»
Lionstone, merci pour ce précieux document. 8-)

Donc il y a déja eu l'explosion d'un méthanier, en remontant à 1944.

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Message par lionstone » 23 déc. 2005, 12:09

http://www.european-security.com/index.php?id=5174

Des pirates se sont emparés d'un méthanier indonésien dans le détroit de Malacca et dans les mêmes eaux, c'est un remorqueur japonais qui a été attaqué.
Long de mille kilomètres, le détroit de Malacca qui borde la Malaisie, Singapour et l'Indonésie, est emprunté, chaque année, par quelque 50.000 navires transportant près d'un tiers des marchandises et environ 15% de l'approvisionnement en pétrole de la planète.
Avec une augmentation de 65% des actes de piraterie dans cette région - selon le Bureau maritime international - les experts en sécurité portuaire se demandent si nous ne sommes pas en train d'assister à une sorte de grande répétition d'un probable 11 septembre maritime.
Le méthanier, dernièrement piraté, est le type de bateau idéal compte-tenu de sa grande taille et de son faible tirant d'eau pour mener des opérations contre les grands ports et raffineries de la région.
Singapour est concerné au premier chef, de même que la Malaisie, l'Indonésie, les Philippines et même la Thaïlande, dont les responsables de la sécurité interrogent le continuum qui n'est plus à démontrer entre l'islamisme local, le banditisme et la piraterie en pleine recrudescence.
Cette islamo-piraterie pourrait - selon ces mêmes experts - se transformer en terrorisme maritime; une nouvelle menace qui appelle, d'ores et déjà, des réponses d'un nouveau type, dont des patrouilles communes en haute mer.

Des pirates s'emparent d'un tanker dans le détroit de Malacca


KUALA LUMPUR, 14 mars (AMI) - Un gang de pirates s'est emparé d'un méthanier pendant le weekend dans le détroit de Malacca puis a abandonné le navire et son équipage en gardant deux otages, ravivant la crainte d'un attentat terroriste dans une des principales artères maritimes mondiales.
Selon le Centre sur la piraterie du Bureau maritime international, l'attaque a été menée samedi par quelque 35 pirates armés de mitrailleuses et lance-roquettes. Ils ont ensuite laissé repartir le bateau, qui avait fait le plein de sa cargaison de gaz, mais gardé deux marins en otages.
Ils réclament une rançon en échange de la libération du capitaine et de l'ingénieur en chef, a déclaré lundi le responsable régional du Centre sur la piraterie du Bureau maritime international, Noel Choong.
Le MT Tri Samudra, un tanker indonésien de 1.289 tonnes, transportait du méthane entre les îles de Bornéo et Sumatra lorsqu'il a été attaqué, a dit M. Choong. Le bateau, privé de son capitaine et de l'ingénieur, est parvenu à Dumai, sur Sumatra, dimanche, avec le reste de l'équipage.
Selon M. Choong, le propriétaire du bateau estime que les pirates appartiennent au Mouvement Aceh libre (GAM), la rébellion de la province indonésienne d'Aceh, dans le nord de Sumatra.
Les propriétaires, qu'il n'a pas nommés, ont adressé un rapport au centre sous la rubrique "attaque de pirates/terrorisme", a ajouté le responsable.
"S'il s'agit d'une attaque terroriste, cela aura des conséquences graves pour la sécurité des ports de la région. Il semble que les pirates deviennent plus audacieux et passent des attaques habituelles à proximité des côtes aux attaques en haute mer et en direction des eaux malaisiennes", a-t-il dit à l'AFP.
Les eaux indonésiennes sont les plus infestées de pirates au monde, selon le Bureau maritime international. La piraterie est particulièrement active dans le détroit de Malacca, qui sépare l'Indonésie de la Malaisie et Singapour, et par où transite un tiers du commerce mondial.
Des pirates ont déjà attaqué des bateaux transportant des produits chimiques dans les eaux indonésiennes, soulignant la vulnérabilité de ces bombes flottantes qui pourraient tomber entre les mains de "terroristes de la mer".
Un spécialiste du transport maritime a noté à propos du méthanier que "ce type de bateau est idéal pour des actions terroristes à cause de sa taille et de son faible tiran d'eau. Il peut être dirigé vers de nombreuses cibles, dont des ports et des raffineries, et provoquer des explosions".
La Malaisie a annoncé vendredi un renforcement de la sécurité dans le détroit de Malacca avec une surveillance radar de 24H/24 pour déjouer les actes de terrorisme et la piraterie.
Le vice-premier ministre Najib Razak a ajouté qu'une agence maritime gouvernementale serait opérationnelle d'ici la fin de l'année dans la voie d'eau, longue, de 960 km par où transitent 50.000 bateaux par an, un tiers du commerce mondial et la moitié de l'approvisionnement en pétrole.
L'Indonésie, Singapour et la Malaisie ont commencé l'an dernier à coordonner des patrouilles dans le détroit après les craintes de détournement de bateau par des terroristes.
P. Mukundan, directeur du Bureau maritime international, avait déclaré l'an dernier à l'AFP que l'alerte avait été provoquée par des informations selon lesquelles des hommes armés avaient détourné un tanker pendant quelques heures et appris à le manoeuvrer avant de s'en aller.
L'incident avait été interprété comme la préparation possible d'une version maritime des attentats du 9 septembre aux Etats-Unis. Mais Mukundan avait déclaré que les informations étaient fausses.
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Message par energy_isere » 23 déc. 2005, 12:26

Effrayant ces informations !

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Message par mahiahi » 23 déc. 2005, 13:15

lionstone a écrit : Singapour est concerné au premier chef, de même que la Malaisie, l'Indonésie, les Philippines et même la Thaïlande, dont les responsables de la sécurité interrogent le continuum qui n'est plus à démontrer entre l'islamisme local, le banditisme et la piraterie en pleine recrudescence.
Dommage, j'aurais bien aimé qu'on me le démontre :twisted:
lionstone a écrit : Cette islamo-piraterie pourrait - selon ces mêmes experts - se transformer en terrorisme maritime; une nouvelle menace qui appelle, d'ores et déjà, des réponses d'un nouveau type, dont des patrouilles communes en haute mer.
Prochaine intervention pour sauver la démocratie, la paix mondiale et les petits enfants, le détroit de Malaca?
C'est quand tout semble perdu qu'il ne faut douter de rien
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Défiez-vous des cosmopolites allant chercher loin dans leurs livres des devoirs qu'ils dédaignent remplir autour d'eux

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Message par greenchris » 23 déc. 2005, 13:18

Quel est le rapport avec le prix du gaz en France ?

C'est très interessant, mais je le verrai mieux dans Geopolitique, on y a déja parlé de Malaca, non ?
Le charbon et le gaz prendront sa place (temporairement).
Dans l'ordre, Sobriété, Efficacité et enfin Renouvelables (negawatt).
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Message par mahiahi » 23 déc. 2005, 13:20

Je suis d'accord
C'est quand tout semble perdu qu'il ne faut douter de rien
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Message par phylippe » 23 déc. 2005, 13:49

greenchris a écrit :Quel est le rapport avec le prix du gaz en France ?

C'est très interessant, mais je le verrai mieux dans Geopolitique, on y a déja parlé de Malaca, non ?
Oui, mais dans "les grandes manœuvres". Il n'a pas sa place là non plus. On crée un nouveaux sujet sur la sécurité des transports de gaz?
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Message par Sylvain » 23 déc. 2005, 13:55

La majeur partie de la discussion porte sur le transport du gaz et me semble avoir sa place ici.

Ceci étant dit, Il y a une petite (pour l'instant) partie à connotation "géopolitique". Phylippe, je te laisse déplacer la fin de cette discussion dans un nouveau sujet "Sécurité des transports de gaz" ?

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Message par phylippe » 23 déc. 2005, 14:19

Bof, bof. Je préfererai le déplacer en entier dans Géopolitique alors. Ce sujet me parait homogène. Mais on y parle du transport du gaz et des risques qui y sont lié. Inévitablement, ça a une consonnance géopolitique. Je vois plutôt la catégorie Energie réservée au solutions (réelle ou rêvée) au PPP.
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