https://www.rigzone.com/news/eu_still_r ... 8-article/EU Still Relies on Russia for a Fifth of Its Gas Needs: Official Q3 Report
by Jov Onsat|Rigzone Staff | Monday, December 23, 2024
Twenty percent or 12.7 billion cubic meters (448.5 billion cubic feet) of natural gas imported into the European Union in the third quarter came from Russia, up two percentage points from the previous quarter and five percentage points against the third quarter of 2023, the European Commission has reported.
The increase comes as the EU prepares for the expected end this month of the transit agreement allowing the export of Russian gas to the EU via Ukraine.
However, compared to the first quarter of 2021, before the Russia-Ukraine war broke out, the figure marks a 64 percent fall in the Russian share of EU gas imports, according to the Commission’s quarterly gas market report.
The 27-member EU imported 64 billion cubic meters of gas in July–September 2024, down eight percent quarter-on-quarter and six percent year-on-year. Of the total, pipeline gas accounted for 67 percent and liquefied natural gas (LNG) declined to 33 percent, said the report on the Commission’s website.
Russia accounted for 20 percent of gas imported by the EU via pipeline in the third quarter. Norway continued to be the EU’s top pipeline gas supplier with a share of 47 percent, followed by North Africa (16 percent). The United Kingdom was the EU’s fourth-biggest pipeline gas source accounting for 11 percent, while Azerbaijan came fifth with six percent.
Compared to the second quarter, the pipeline figures showed Russia’s share rose from 17 percent while the share of the others in the top four sources in the second quarter — Norway, North Africa and Azerbaijan — declined in the third quarter. Besides the increase in Russia’s share in terms of percentage, this decrease in the others’ share was absorbed by the United Kingdom, which displaced Azerbaijan as the EU’s fourth-biggest supplier.
For LNG, Russia also accounted for 20 percent, while the United States remained the EU’s biggest source accounting for 40 percent. Qatar came third accounting for 12 percent.
European gas spot prices — based on the virtual trading platform Title Transfer Facility — averaged EUR 35.4 ($37) per megawatt hour (mWh) in the third quarter. That is seven percent higher than the same quarter in 2023 and 11 percent higher than the prior quarter in 2024. However, compared to historic peaks in the third quarter of 2022, the average spot price in the third quarter of 2024 represents an 82 percent decrease.
“In the third quarter, prices continued to rise throughout July and August continuing the rising trend observed already in the second quarter”, the report noted. “The average monthly price was 32.2 EUR/MWh in July and 37.8 EUR/MWh in August, when they peaked at 39.3 EUR/MWh on 8 August following Ukraine incursion into Russian territory in the Kursk region on 6 August and threatening to cut gas flows through the only remaining entry point of Russian gas into Ukraine at the Sudzha interconnection.
“As gas flows continued at the usual rate despite the continuation of the conflict, European gas markets calmed down and prices declined to a monthly average of 36.2 EUR/MWh in September”.
Crise du Gaz en Europe
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Re: Crise du Gaz en Europe
Pour préparer la fin du transit de gaz via l'Ukraine, Robert Fico est parti à Moscou rencontrer Poutine.
De son côté, la Moldavie voit arriver là simple pénurie,. Alors qu'en face, anciennement en son sein, la Transnistrie dispose également de centrales électriques : un nouveau conflit n'est pas à exclure.
De son côté, la Moldavie voit arriver là simple pénurie,. Alors qu'en face, anciennement en son sein, la Transnistrie dispose également de centrales électriques : un nouveau conflit n'est pas à exclure.
C'est quand tout semble perdu qu'il ne faut douter de rien
Dieu se rit des hommes déplorant les effets dont ils chérissent les causes
Défiez-vous des cosmopolites allant chercher loin dans leurs livres des devoirs qu'ils dédaignent remplir autour d'eux
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Re: Crise du Gaz en Europe
https://www.connaissancedesenergies.org ... ine-241231Fin du transit du gaz russe à l'Europe via l'Ukraine
AFP le 31 décembre 2024
La Moldavie a déjà commencé à éteindre ses lumières, la Slovaquie menace l'Ukraine de représailles: l'annonce par Kiev de la fin du transit du gaz russe sur son territoire sème le trouble en Europe de l'Est.
Aucune livraison n'est prévue mercredi 1er janvier, selon des données publiées mardi par l'opérateur ukrainien GTSOU, actant l'expiration d'un contrat établi en 2019 entre la compagnie Naftogaz et le géant russe Gazprom.
Dans ce contexte, le cours du gaz européen a atteint la barre symbolique des 50 euros le mégawattheure, une première depuis plus d'un an.
Si la dépendance du continent s'est nettement réduite depuis le début de la guerre en Ukraine, les Etats situés à l'Est continuent à s'approvisionner fortement auprès de Moscou.
Une manne que le président Volodymyr Zelensky veut tarir en cessant d'acheminer le gaz en provenance de Russie.
Cet itinéraire représente près d'un tiers du gaz russe vendu à l'Europe, détaille Phuc-Vinh Nguyen, chef du Centre énergie de l'Institut Jacques Delors.
Le reste est acheminé par le gazoduc TurkStream et son prolongement, Balkan Stream, sous la mer Noire, vers la Bulgarie, la Serbie et la Hongrie, ou par cargaisons de gaz naturel liquéfié (GNL).
- "Chantage énergétique" en Moldavie -
C'est en Moldavie que la situation est la plus critique: cette ex-république soviétique a déclaré l'état d'urgence après l'échec des négociations avec Gazprom, qui invoque un différend financier et refuse d'envisager d'autres routes à ce stade.
Dans la capitale Chisinau, où la plupart des illuminations de Noël vont être éteintes, des habitants confient leur "peur".
"C'est terrible, personne ne sait ce qui va se passer. J'ai acheté des bougies et un générateur", dit à l'AFP Cristina, une étudiante de 21 ans qui a refusé de donner son nom de famille.
Le groupe russe a déjà arrêté une grande partie de ses livraisons après le début de la guerre en Ukraine et n'alimentait plus jusqu'ici que la région séparatiste prorusse de Transdnistrie. Mais sa centrale thermique permet toujours de fournir 70% de l'électricité consommée par tout le pays, l'un des plus pauvres d'Europe.
"Le Kremlin a une nouvelle fois recours au chantage énergétique afin d'influer sur les élections législatives de 2025 et de fragiliser notre trajectoire européenne", a réagi la présidente Maia Sandu, réélue en novembre après un scrutin assombri par des accusations d'ingérences russes.
Aux habitants de Transdnistrie, qui vont se retrouver sans chauffage en plein hiver, elle a proposé "une aide humanitaire" mais les autorités locales ont refusé, espérant une résolution rapide du conflit.
Selon Alexandru Flenchea, un ex-responsable gouvernemental spécialiste de cette région, "la Transdnistrie n'est rien d'autre qu'un dommage collatéral" dans la stratégie de déstabilisation mise en oeuvre par la Russie.
En utilisant "l'arme géopolitique du gaz", Vladimir Poutine "mène un travail de sape, il nourrit le ressentiment de la population pour faire en sorte d'infléchir le soutien à l'Ukraine et semer les graines de discorde au niveau européen", confirme Phuc-Vinh Nguyen.
Le gouvernement moldave a annoncé des mesures drastiques pour réduire la consommation d'électricité, notamment en limitant les éclairages des bâtiments publics ou encore l'usage des ascenseurs, et a l'intention d'acheter l'électricité manquante auprès de la Roumanie voisine.
- L'UE "préparée", la Slovaquie indignée -
L'Union européenne se montre elle sereine, alors que les quelque 14 milliards de m3 transitant annuellement via l'Ukraine représentent seulement 5% de ses importations totales de gaz.
"Le flux doit être stoppé au 1er janvier et l'UE y est préparée", a déclaré mardi la Commission à l'AFP. Elle invoque des infrastructures européennes capables de transporter du gaz non-russe "par d'autres voies".
Dans un rapport publié mi-décembre, Bruxelles jugeait "l'impact limité".
Après la décision en décembre de l'Autriche de résilier son contrat de long terme avec Gazprom, seule la Slovaquie est affectée.
Son dirigeant Robert Fico crie au scandale et s'est rendu à Moscou pour rencontrer Vladimir Poutine.
"Accepter la décision unilatérale du président ukrainien est totalement irrationnel et erroné", a-t-il plaidé dans une lettre à Bruxelles, dénonçant "un impact financier majeur".
En guise de représailles, le Premier ministre slovaque a menacé d'interrompre l'approvisionnement en électricité dont le pays en guerre a besoin face aux bombardements de ses infrastructures énergétiques.
La Hongrie voisine, elle aussi restée proche du Kremlin, reçoit l'essentiel de ses importations de gaz russe via TurkStream et la décision de Kiev ne la touchera que marginalement.
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Re: Crise du Gaz en Europe
https://www.connaissancedesenergies.org ... eil-25020707 fevrier 2025
Vers 20H00 GMT, le contrat à terme du TTF néerlandais, considéré comme la référence européenne du gaz naturel, gagnait 2,24%, à 55,72 euros le mégawattheure (MWh).
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Re: Crise du Gaz en Europe
https://www.connaissancedesenergies.org ... ole-25021010 fev 2025
..................
Prix du gaz européen au plus haut depuis février 2023
Les acteurs du marché pétrolier "suivront de près les annonces faites par le département du Trésor américain au cours des prochaines semaines", explique Giovanni Stauvono d'UBS. Selon l'analyste "les exportations de pétrole brut iranien pourraient être quelque peu perturbées au cours des prochains mois".
Par ailleurs, le prix du gaz naturel européen s'échange à son niveau le plus élevé depuis février 2023, en raison d'une baisse des réserves européennes. Le contrat à terme du TTF néerlandais, considéré comme la référence européenne du gaz naturel, gagne près de 4,53%, à 58,250 euros le mégawattheure (MWh).
Cela veut dire que l'équivalent d'un baril de pétrole brut en gaz naturel TTF "se négocie au-dessus de 100 dollars" et contribue à soutenir la demande pour des barils de Brent (comparativement moins chers), indique Bjarne Schieldrop.
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Re: Crise du Gaz en Europe
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... d7e2ba78e7La France, première porte d'entrée européenne du gaz naturel liquéfié russe
AFP •18/02/2025
La France, un des pays européens les mieux dotés en terminaux de gaz naturel liquéfié (GNL), a augmenté de 81 % ses importations de GNL russe entre 2023 et 2024 et versé 2,68 milliards d'euros à la Russie, rapporte le centre de réflexion IEEFA mardi.
La France pèse autant dans les importations de GNL parce qu'elle exploite notamment cinq terminaux de regazéification, décrypte Ana Maria Jaller-Makarewicz, analyste à l'Institute for Energy Economics and Financial Analysis.
"On ne sait pas ensuite où va le GNL, il est possiblement exporté en Allemagne", pays qui ne comptait aucun terminal avant 2022 et dont la capacité d'import reste deux fois inférieure à celle de la France.
Le terminal de Dunkerque a, par exemple, réceptionné 27% des importations européennes de GNL russe l'année dernière. 85% des importations de GNL russe en Europe arrivent par la France, l'Espagne et la Belgique.
L'Union européenne s'est tournée vers le GNL en remplacement du gaz qui était transporté par gazoducs, dont la plupart ont fermé depuis la guerre en Ukraine. Transporté par navires sous forme liquide, il nécessite d'être déchargé dans des ports, regazéifié puis injecté dans le réseau européen de gaz.
Ana Maria Jaller-Makarewicz a agrégé plusieurs données en accès libre et reconstitué les origines de l'approvisionnement français en GNL: un tiers est russe, un tiers est américain et 17 % vient d'Algérie.
La forte dépendance au GNL russe complique l'objectif de la Commission européenne de viser une sortie du gaz russe sur le continent à l'horizon 2027.
"Il faut donc poursuivre la réduction de la demande en gaz", soutient l'analyste.
Mais cette réduction, engagée pendant la crise inflationniste de 2022, marque le pas. La France a réduit sa consommation de 20% mais depuis 2024, la demande ne baisse plus.
"Certaines mesures d'efficacité énergétique ont été relâchées", telles que l'isolation des bâtiments pour limiter la consommation de gaz durant cet hiver froid, explique Ana Maria Jaller-Makarewicz.
Les industriels, eux, se préparent en tous cas à pouvoir recevoir de plus en plus de GNL. Des terminaux méthaniers décidés depuis la crise sont toujours en train d'être construits, notamment en Allemagne.
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Re: Crise du Gaz en Europe
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 73514bc0a8Prix en hausse et stocks bas : nouvelles tensions sur le gaz en Europe
Boursorama avec Media Services •19/03/2025
Trois ans après une crise énergétique sans précédent, l'Europe n'est pas encore sortie du tunnel: avec des réserves de gaz très basses en fin d'hiver, le spectre de coûteuses tensions d'approvisionnement ressurgit sur fond de craintes pour l'industrie étranglée par les prix de l'énergie. "Les systèmes énergétiques européens sont confrontés à une année difficile, car le continent sort de cet hiver avec des niveaux de stockage de gaz inférieurs à la moyenne", ce qui pousse les prix à la hausse, a mis en garde l'Agence internationale de l'énergie (AIE) dans une note fin février. Essentiels pour la sécurité énergétique, les stocks couvrent encore 30% de la consommation hivernale gazière de l'UE, selon la Commission européenne.
Hiver plus froid
Au 16 mars, au niveau européen, ils n'étaient plus remplis qu'à 34%, contre 60% en 2024 à la même époque. En France, leur niveau est tombé à 21%.
Les Européens ont davantage puisé cet hiver dans leur réserves que lors des deux années ayant suivi l'invasion russe de l'Ukraine en février 2022. Les raisons: un hiver plus froid, l'arrêt du transit de gaz russe en Ukraine fin 2024 (même s'il ne représentait que 5% du volume consommé en Europe), et une production solaire et éolienne en berne au cours de la première quinzaine de novembre, ce qui a alors dopé la demande de gaz de 80% par rapport à 2023 pour faire tourner les centrales électriques.
Résultat, les opérateurs ont préféré "soutirer" du gaz plutôt que de compter sur les importations, en recul de 6% en 2024, alors que les prix repartaient à la hausse fin 2024 et début 2025.
Craintes sur les prix
Depuis la guerre en Ukraine, l'UE impose un objectif de remplissage de ses réserves à 90% au 1er novembre avec des paliers intermédiaires, des obligations critiquées par certains pays qui craignent des hausses de prix, même si la Commission a promis de la souplesse.
De fait, il faudra "des arrivées de gaz beaucoup plus importantes qu'au cours des deux années précédentes, ce qui augmentera l'appel de l'Europe aux marchés mondiaux du GNL", souligne l'AIE dans sa note.
Ce gaz liquide transporté par bateau est très convoité en Asie ainsi qu'en Europe, qui a dû compenser, depuis le début de la guerre en Ukraine en 2022, le manque de gaz russe, historiquement acheminé vers l'Ouest via des gazoducs terrestres. Dans l'Union européenne, le GNL a fourni 34% de la demande de gaz en 2024, après 40% en 2023, selon le think tank IEEFA.
L'été prochain pourrait donc être marqué par une course au gaz pour ravitailler les stocks avant l'hiver, souligne l'AIE. De quoi accentuer la volatilité des prix et poser des défis supplémentaires pour la "compétitivité" de l'industrie européenne.
Depuis 2022, les prix du gaz pour les consommateurs industriels en Europe sont en moyenne 30% plus élevés qu'en Chine et cinq fois plus qu'aux États-Unis, selon l'AIE.
Vers une détente après 2026 ?
La croissance de l'offre mondiale de GNL devrait s'accélérer, passant de +1,5% en 2024 à +5% en 2025, mais la progression compensera seulement en partie l'arrêt du transit de gaz russe par l'Ukraine, souligne l'AIE. Le marché du gaz restera donc tendu en 2025.
Alors que les prix moyens du gaz étaient redescendus à 34 euros du mégawattheure (MWh) sur les marchés de gros en 2024, ils sont attendus autour de 45 euros du MWh en 2025, presque deux fois plus qu'avant la crise énergétique. Le gestionnaire français du réseau de transport de gaz NaTran anticipe qu'ils redescendront à 27 euros du MWh en 2028, grâce à une offre plus abondante.
"Nous prévoyons que d'importants volumes de GNL commenceront à être mis en service après 2026", ce qui "exercera une pression à la baisse sur les prix", indique à l'AFP Angelina Valavina, directrice des ressources naturelles et des matières premières Europe Moyen-Orient Afrique chez Fitch Ratings.
Sans attendre cette "énorme vague" de GNL venue notamment des Etats-Unis et du Qatar, les Européens devront encore fournir des efforts de sobriété et d'efficacité énergétique, diversifier leurs approvisionnements en gaz, et multiplier les sources de flexibilité des réseaux électriques (aujourd'hui assurée par les centrales à gaz), souligne l'AIE.
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Re: Crise du Gaz en Europe
imaginez un peu le carnage si on avait un hivers type hivers 1954.....
moins vite, moins loin, moins souvent: le transport post PO
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Re: Crise du Gaz en Europe
Bossuet a écrit :Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences dont ils chérissent les causes
C'est quand tout semble perdu qu'il ne faut douter de rien
Dieu se rit des hommes déplorant les effets dont ils chérissent les causes
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