Un energie 2022 a la francaise...

Pour info mon voisin revient du japon ..il m a confirmé la decheance medicale lié a fukushima..les japonais sont plus petits, ont les yeux bridé et le tein jaunâtre..c es terrible

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… ou utiliser les batteries d’un parc de voiture électrique, ou la flexibilité du stockage géothermique, ou un parc de serveur avec des taches asynchrones, etc. Sur le principe tu as raison qu’un kwh nucléaire facilite la gestion du réseau et donc a plus de valeur économique qu’un kwh solaire ou éolien, mais si ton calcul correspond au pire scenario alors les chances sont que le portrait sera biaisé dans le sens contraire.Silenius a écrit : ↑11 févr. 2022, 14:27Pour 1 kWc de pv en janvier, il faudrait installer 6 kWc a 1000 euros (grande centrale en pv au sol) plus x kW.h de batteries (132 E le kW.h en 2021 ) pour le stockage nocturne, plus des turbines a gaz en cas de plusieurs jours d'intemperies.
soit 6000 + 20x132 + turbines soit pres de 10000 euros.
Et le prix du stockage des déchets nuke, et le prix du démantèlement, et le prix du prochain accident majeur en France, et le prix de la survellance et de la sécurité des centrales nuke, et le prix de vente du kWh nuke bradé quand personne n'en veut, et les dépassements de budget d'un futrur EPR2 dontg personne n'a jamais vu les plans, ni vu construit, ni vu fonctionner ...energy_isere a écrit : ↑11 févr. 2022, 08:52On peut rappeler le prix par KWc installé en solaire PV la nuit ?
et le kWh photovoltaique produit en masse par tous les panneaux en même temps, les après-midis ensoleillés, injectés alors que "personne" n'en veut non plus
C’est aussi la seule technologie qui alimente le soleil, dont il serait suicidaire de se passer dans le monde d’aujourd’hui. Tant qu’a faire des amalgames ridicules, fait les des deux côtés.
https://www.greenpeace.fr/espace-presse ... nucleaire/“S’engager sur la construction de 6 voire 14 EPR à deux mois de l’élection présidentielle est totalement insensé ! Alors que l’avenir de l’EPR de Flamanville reste incertain, ces premiers réacteurs, s’ils sont un jour construits, ne rentreront pas en service avant 2040 au mieux, avec un coût exorbitant [1]. Une décision unilatérale, un calendrier aberrant, un financement absent, le tout sur une technologie incertaine, voilà le résumé de cette annonce irresponsable” commente Nicolas Nace, chargé de campagne transition énergétique à Greenpeace France.
“Quant aux déclarations sur les renouvelables et les économies d’énergie, quel crédit accorder aux paroles du président ? La France est le seul pays d’Europe à ne pas remplir ses propres objectifs en matière de développement des énergies renouvelables tandis que le gouvernement n’a pas tenu ses engagements en matière de rénovation thermique.
A l’heure de l’urgence environnementale et climatique, Emmanuel Macron achève de manière tragique un quinquennat d’inaction environnementale en misant sur une énergie obsolète et dangereuse, à contre-courant de l’histoire et des tendances internationales.” poursuit-il.
Pour mémoire, l’EPR de Flamanville (France) est en projet depuis le début des années 2000 et en chantier depuis 2007. Initialement, sa mise en service commerciale était prévue en 2012 (la dernière annonce de retard prévoit un démarrage en 2024 au plus tôt). Son coût a été multiplié par 6 (passant de 3 à plus de 19 milliards d’euros selon une évaluation de la Cour des comptes).
Et le coût d' un accident nucléaire ? Avec des centrales vieillissantes ayant dépassé leur durée de vie .energy_isere a écrit : ↑11 févr. 2022, 08:52On peut rappeler le prix par KWc installé en solaire PV la nuit ?
https://www.actu-environnement.com/ae/n ... 38940.php4En novembre, la Commission de recherche et d'information indépendantes sur la radioactivité (Criirad) avait annoncé avoir reçu des informations selon lesquelles les problèmes rencontrés sur le réacteur chinois seraient liés à la conception du réacteur. Elle évoquait « une mauvaise répartition du flux hydraulique [dans la cuve] et, par voie de conséquence, des vibrations très importantes sur les assemblages [de combustibles] ». Aujourd'hui, l'ASN étaye cette hypothèse.
« Il y a manifestement un écart entre ce que y a été modélisé et la réalité », explique Julien Collet, directeur général adjoint de l'Autorité. EDF étudie encore les données à sa disposition et devrait fournir un dossier plus complet à l'ASN, courant février.
En l'occurrence, les premières indications indiquent que la circulation de l'eau dans le cœur crée des turbulences à l'origine de frottements entre certains combustibles et le cœur et entre certains combustibles voisins. Ces frottements entraînent une usure à l'origine des pertes d'étanchéité des gaines de combustible constatées.
Renforcer les grilles de maintien des combustibles
Pour y remédier, EDF envisage de renforcer le maintien des crayons pour éviter que les vibrations constatées dans certaines parties du cœur n'affectent les combustibles. La lame des grilles assurant le maintien du combustible serait renforcée pour mieux résister au phénomène. La Criirad avait évoqué une usure anormale de certaines de ces grilles conduisant à « [la perte] de plaquettes côté réflecteur neutronique ».
Plus tôt, ce mois-ci, EDF avait expliqué envisager aussi de revoir la rotation des combustibles dans le cœur pour réduire les risques supportés par les plus exposés à cette usure. Cette option est envisageable, confirme l'ASN. Mais il faudra alors revoir l'approvisionnement en combustible.
Pour rappel, l'EPR numéro 1 de Taishan, le premier réacteur nucléaire de ce type à être entré en service, est à l'arrêt depuis juillet 2021, après un an et demi de fonctionnement. Cet arrêt imprévu fait suite à la détection d'une concentration anormale de gaz rares dans le circuit primaire causée par des ruptures de gaines de combustible.
Les optimistes diront qu'e c'est normal pour un prototype!C'est sans fin, un peu comme Flamanville en France. Quand le 21 décembre dernier, le réacteur nucléaire EPR d'Olkiluoto-3 en Finlande démarrait pour la première fois après seize ans de chantier et douze ans de retard sur la date de mise en service prévue initialement, l'électricien finlandais TVO, l'exploitant, pensait bien voir le bout du tunnel. Patatras. Le réacteur construit par le consortium Areva-Siemens continue de lui jouer des tours. Ce jeudi en effet, la direction a annoncé qu'elle reportait d'un mois la production d'électricité. Elle commencera fin février et non en janvier comme prévu. Une mise en service normale n'est plus attendue en juin mais en juillet 2022.
"Le début de la production d'électricité est reporté car la nécessité de faire des modifications a été observée pendant la phase de production test", a indiqué TVO dans un communiqué, en prédisant que des "modifications devaient être apportées à l'automatisation de l'unité concernant les fonctions de contrôle".
Des mesures correctives ont déjà été engagées.
Cette annonce intervient trois semaines après celle concernant un énième retard de l'EPR de Flamanville, censé démarrer en 2023.