nucleaire japonais

[Remundo]

L'avantage, c'est que les mecs de Greenpeace ne peuvent pas s'enchaîner dans l'eau... enfin dès fois qu'ils aient envie...

[energy_isere]

L'avantage, c'est que les mecs de Greenpeace ne peuvent pas s'enchaîner dans l'eau... enfin dès fois qu'ils aient envie...

Et bien pourtant il semblerait que le milieu aquatique n' ai pas réussi à Greenpeace.

4 blessés à bord de l'Esperanza

Mer eet marine 09/04/2010

Un exercice d'interception de navire s'est, apparemment, mal terminé sur le navire amiral de Greenpeace. Mardi soir, l'Esperanza a été contraint de gagner Cherbourg avec quatre blessés à bord. Pris en charge par les pompiers, les activistes ont été transférés vers l'hôpital, l'un d'eux souffrant d'une fracture. Montés à bord d'une embarcation rapide, ils auraient violemment heurté la coque de l'Esperanza au cours de l'exercice.
A partir de ce navire, Greenpeace mène régulièrement des actions, notamment contre l'exportation de « déchets nucléaires » par voie maritime. Armé depuis 2002 par l'organisation, l'Esperanza mesure 72 mètres et peut attendre la vitesse de 16 noeuds. Il fait partie d'une série de 14 navires de lutte contre les incendies construits par entre 1983 et 1987 en Pologne pour le compte de l'ex-URSS.


L'Esperanza, navire amiral de Greenpeace

http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=112917

Dans le milieu footeux, on appelerai pas ca marquer contre son camps ?

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en revanche la cargaison de MOX est bien partie vers le Japon.

Cherbourg : Le Pacific Heron appareille avec un chargement de Mox

09 Avril 2010

Le Pacific Heron, de la société Pacific Nuclear Transport Limited (PNTL), a appareillé hier de Cherbourg. Arrivé dans la nuit de mercredi à jeudi dans le port normand, le navire, battant pavillon britannique, a chargé une cargaison de Mox fournie par Areva. Ce combustible nucléaire, contenant du plutonium, est destiné à des centrales japonaises de dernière génération, capables d'utiliser ce produit.
A Cherbourg, le chargement s'est fait sous la surveillance, très étroite, des autorités françaises. Durant son trajet vers l'Asie, le Pacific Heron sera protégé par des commandos britanniques et par un autre navire de PNTL, le Pacific Pintail. Greenpeace, qui dénonce l'exportation de matériaux nucléaires, s'était vue interdire toute action entravant le chargement par le tribunal des référés de Cherbourg.

http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=112918

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Le Japon redémarre son réacteur à neutrons rapides

Le 23 avril 2010 Usine Nouvelle

Après quatorze ans d'interruption, le réacteur à neutrons rapides japonais redémarre. Un prototype qui servira de laboratoire aux réacteurs d'après-demain, pour la filière nucléaire de la planète.

« L'annonce officielle est attendue dans les prochains jours, pour un redémarrage prévu, a priori, en mai », indique le quotidien Les Echos. Le réacteur de Monju, arrêté en 1995 peu après sa mise en route du fait d’un accident, reprend du service. Le coût total du redémarrage de ce projet est estimé à 7,2 milliards d'euros.

A l’origine de l’accident passé, une fuite de sodium. En effet, le sodium liquide peut s'enflammer au contact de l'air et générer une explosion au contact de l'eau. C'est ce qui s'est produit en décembre 1995, gelant pour plus d’une décennie les essais sur ce prototype à neutrons rapide.

D’une puissance de 246 MW, il s’agit du premier réacteur de ce type construit par Mitsubishi, qui a fait le choix du refroidissement au sodium. « Dans les réacteurs actuels, un matériau léger, de l’eau par exemple, ralentit la vitesse des neutrons », explique Bertrand Barré, conseiller scientifique d'Areva, « Le principe de la génération 4 est au contraire de ne pas ralentir les neutrons » afin de pouvoir brûler beaucoup plus d’uranium. Un procédé qui a l’avantage de limiter les déchets finaux. Plutôt que d’être refroidi à l’eau, le réacteur peut donc être refroidi au plomb fondu, comme l’étudient les Russes, ou bien au sodium, ou encore au gaz.

En le relançant, Tokyo marque sa volonté de rester un fournisseur de premier plan. Le Japon permet aussi à la filière nucléaire dans son ensemble de bénéficier de son retour d’expérience, pour peaufiner les réacteurs de quatrième génération. Ces derniers doivent déferler sur le globe en 2040, une fois les choix technologiques affinés. Le Forum international génération IV (Argentine, Brésil, Canada, Chine, Corée du Sud et du Nord, Russie, France, Japon, Afrique du Sud, Suisse, Royaume-Uni, Etats-Unis et UE) a retenu 6 technologies. En France, le CEA mise en particulier sur les réacteurs rapides refroidis au sodium, déjà étudiés avec Phénix et Superphénix.

http://www.usinenouvelle.com/article/le ... es.N130352

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Japon : le démarrage d'une usine de retraitement nucléaire reporté de 2 ans

La société Japan Nuclear Fuel (JNFL) a annoncé vendredi un énième report, de deux ans, du démarrage de l'usine de retraitement de déchets nucléaires construite au Japon avec le groupe français Areva, pour tenter de résoudre les difficultés liées aux procédés finaux ultra-complexes.

http://www.boursorama.com/infos/actuali ... cbe6ffb3a7

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Le Japon produit de l'électricité avec le MOX d'Areva

La centrale nucléaire de Takahama, exploitée par l'électricien japonais KANSAI, a débuté vendredi 21 janvier sa production d'électricité à partir de combustibles MOX fournis par Areva Melox.
Suite au contrat signé en 2008*, une première livraison d'assemblages combustibles avait eu lieu en juin 2010, une seconde est prévue en 2011.

La fabrication de combustibles MOX par Areva contribue au programme de recyclage des combustibles nucléaires japonais au travers des contrats signés depuis plus de 15 ans avec les électriciens japonais : TEPCO, KANSAI, CHUBU, KYUSHU, SHIKOKU, EPDC, CHUGOKU et HOKKAIDO.

Le chargement des assemblages MOX dans le cœur du réacteur n°3 de la centrale de Takahama avait été réalisé en décembre 2010. Ces combustibles, fabriqués en 2009 à l'usine de Melox dans le Gard (France), contiennent du plutonium de recyclage provenant des combustibles usés traités par l'usine Areva de La Hague.

« Ce quatrième chargement de combustibles recyclés MOX par Kansai, marque la réussite d'un partenariat long terme avec les électriciens japonais » a déclaré Jean-Pierre Gros, Directeur des activités recyclage d'Areva.

Depuis 1995, l'usine de Melox fabrique des assemblages de combustible MOX destinés aux centrales de nombreux pays dont l'Allemagne, les Etats-Unis, la France, le Japon et la Suisse. Fabriqué avec des oxydes d'uranium et de plutonium, le combustible MOX est une solution de recyclage du plutonium extrait des combustibles usés.

Avec 1 700 tonnes de métal lourd produites à ce jour, Melox est le numéro un mondial de la fabrication de combustibles MOX. En France, 21 réacteurs, fournissant plus de 10 % de l'électricité nucléaire, utilisent du MOX. Au Japon, 4 réacteurs sont actuellement chargés de combustibles MOX : Genkai exploité par Kyushu, Ikata exploité par Shikoku, Fukushima-Daiichi exploité par Tepco et Takahama exploité par Kansai.


* Contrat signé entre Melox SA, chargée de la fabrication du combustible MOX, et NFI, chargé de la conception du combustible pour le compte de l'électricien.

http://www.enerzine.com/2/11230+le-japo ... reva+.html

[krolik]

http://www.nuklearforum.ch/ebarticle.ph ... 6487550462

Japon: remise en service de Hamaoka 5

04.02.2011

L'électricien japonais Chubu Electric Power Co. a remis en service la tranche nucléaire de Hamaoka 5 au bout d'un arrêt de 18 mois.
Le 11 août 2009, un séisme de magnitude 6,5 avait déclenché l'arrêt d'urgence des tranches 4 (1092 MW, BWR) et 5 (1212 MW, ABWR) de la centrale nucléaire de Hamaoka. La tranche 3 (1056 MW, BWR) était, à ce moment-là, arrêtée pour des travaux d'inspection programmés, tandis que les tranches 1 et 2 avaient été mises hors service à titre définitif le 31 janvier 2009. L'épicentre avait été enregistré à 23 km de profondeur dans la baie de Suruga, au nord-ouest de Tokyo, à quelque 85 km de la centrale. Selon l'agence Nisa (Nuclear and Industrial Safety Agency), les accélérations maximales au sol étaient restées en dessous de la limite de dimensionnement de 582 gals.

Chubu a remis en service les unités 3 et 4 dès le mois d'octobre 2009, après avoir effectué des contrôles sismiques. Selon le Jaif (Japan Atomic Industrial Forum), le séisme avait eu un impact plus important sur la tranche 5, de sorte que celle-ci n'a pu être recouplée au réseau que le 25 janvier 2011, après le feu vert des autorités. Au cours des 18 mois qu'a duré l'arrêt, l'électricien a procédé à des vérifications de la sûreté technique et remplacé les turbines basses pression qui présentaient des défauts de vibration depuis 2006.

Les autorités japonaises avaient exigé dès 2006 un contrôle de la sûreté sismique de toutes les installations nucléaires, soit encore avant le séisme du 16 juillet 2007 qui avait touché la centrale de Kashiwazaki-Kariwa de la Tepco (Tokyo Electric Power Co.) au-delà des limites de dimensionnement. Ce programme de contrôle est devenu la priorité absolue après le tremblement de terre du 16 juillet 2007.

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Séisme au Japon : 11 réacteurs nucléaires arrêtés

Le séisme survenu au Japon dont le bilan dépasse désormais les 1000 morts a affecté quatre centrales nucléaires comprenant onze réacteurs.

Ces centrales nucléaires se situent sur la côte orientale de l’île d’Honshu : Onagawa, Fukushima Daiichi et Fukushima Daini, Tokai et Higashidori. (carte ci-contre, cliquer pour agrandir, les quatre centrales les ronds oranges et rouges signalent le départ d'ondes sismiques et montrent le rectangle de 500 km sur 150 qui a bougé).

Onze réacteurs en fonctionnement se sont mis à l’arrêt automatiquement, par la chûte des barres de contrôle dès la survenue du séisme, selon les règles en vigueur. La cellule de crise de l’autorité de sûreté nucléaire japonaise a été activée immédiatement après le séisme. Aucun rejet radioactif dans l’environnement n’a jusqu’à présent été signalé par les services de surveillance radiologique.

Un départ de feu a été signalé dans un bâtiment non nucléaire (celui où se trouvent les turbines) dans la centrale d’Onagawa. Il a été maitrisé quelques heures plus tard, affirme l’autorité de sûreté.

Autour de la centrale de Fukushima-Daiichi (photo à droite), le gouverneur a demandé, à titre de précaution, l’évacuation des habitants dans un rayon de trois kilomètres autour de l’installation, et une mise à l’abri des populations dans un rayon de trois à dix kilomètres. Une décision liée à une difficulté à assurer le refroidissement d'un des six réacteurs à la suite d’une défaillance d’un générateur de secours.

L’US Air Force a envoyé d’urgence au Japon un avion, peut-être un super gros porteur pour acheminer un générateur diesel de secours.

Ce n'est pas la première fois qu'un séisme a des conséquences importantes sur les centrales nucléaires japonaises. En juillet 2007, un séisme de magnitude 6,6 s’est produit à proximité immédiate de la centrale nucléaire de Kashiwazaki-Kariwa (située sur la côte ouest de l’île d’Honshu). La route passant à côté de la centrale s'était ouverte sous le choc du séisme, d'intensité supérieure à celle escomptée par les géologues japonais pour le dimensionnement des système antisismique. Les réacteurs de la centrale, à l'arrêt comme en fonctionnement, avaient toutefois bien réagi, les sûretés automatiques les mettant en sécurité.

http://sciences.blogs.liberation.fr/hom ... 9s.html#tp

[energy_isere]

Japon: petite fuite radioactive possible dans une centrale nucléaire

TOKYO 11 Mars 2011

Une petite fuite radioactive pourrait survenir dans une centrale nucléaire de la préfecture de Fukushima (nord-est du Japon) durement frappée par le séisme au Japon, a prévenu samedi le ministre de l'Industrie, Banri Kaieda, cité par les agences de presse japonaises.

Les autorités nippones s'apprétaient en effet à relâcher de la vapeur radioactive pour faire retomber la pression qui s'est élevée dans un réacteur de la centrale nucléaire n°1 de Fukushima, a précisé l'agence Kyodo.

Peu avant, un porte-parole de la compagnie exploitante du site, Tokyo Electric Power, avait reconnu que la pression montait à l'intérieur de l'un des réacteurs.

"La pression a augmenté dans le caisson et nous essayons de gérer la situation", a-t-il indiqué.

Six mille habitants d'une zone de trois kilomètres de rayon autour de la centrale ont été appelés à évacuer par le gouverneur de la région.

Les autorités ont d'abord annoncé que les eaux de refroidissement de l'installation nucléaire avaient baissé à un niveau inquiétant, puis le gouvernement avait affirmé vers 16h30 GMT que la situation était "sous contrôle".

Des troupes des Forces d'auto-défense (le nom de l'armée japonaise) en tenue de protection nucléaire (NBC) ont toutefois été dépêchées sur les lieux pour vérifier la situation.

L'armée de l'air américaine a en outre remis du liquide de refroidissement à une centrale nucléaire japonaise, a annoncé la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton, sans préciser de quelle installation il s'agissait.

"L'une des centrales (japonaises) a subi une forte pression depuis le tremblement de terre et n'avait pas assez de liquide de refroidissement. Les avions de l'US Air Force ont pu lui en délivrer", a expliqué Mme Clinton.

http://www.romandie.com/ats/news/110311 ... 9dehk2.asp

[Yves]

Craintes de pénurie d'électricité au Japon après le séisme

La paralysie de la plus puissante centrale nucléaire du Japon, endommagée lundi par un violent séisme, fait craindre une possible pénurie d'électricité durant l'été à Tokyo. Vendredi 20 juillet, le gouvernement japonais a exhorté les industriels à économiser l'énergie pendant les heures de pointe.

Selon la presse japonaise, la centrale de Kashiwazaki-Kariwa (8 212 mégawatts), une des plus grosses du monde, qui alimente en électricité la mégalopole de Tokyo (20 millions d'habitants), pourrait cesser toute activité pendant au moins un an en raison des importants dommages causés par le séisme.

Très pauvre en ressources naturelles, le Japon dépend à 35 % du nucléaire pour son électricité

[energy_isere]

Une histoire incroyable !
Le Japon à un réseau electrique divisé en deux avec au Nord Est du 50 Hertz (ou est Tokyo) et au Sud Ouest du 60 Hz.
Avec des convertisseur de puissance entre les deux (pas de simple transformateur, bien sur).
Ca va pas aider au rétablissement des problémes electriques du pays.

Divided Transmission Grid May Complicate Recovery

By David Lammers

Any full recovery for Japan’s semiconductor industry will have to deal with Japan’s bifurcated power transmission network. In the eastern half of the country, including metropolitan Tokyo, power is sent at 50 hertz, while in the western half, where many of the larger chip fabs are located, electricity moves along transmission lines at 60 Hz.

There is a limited amount of conversion capability to transfer power from the western half, which often has a surplus of power, to the eastern half, which includes the 25 million people who live in the world’s most-populated metropolitan area: Tokyo.

Power transmission is further complicated by the presence of nine different electric power companies, which have agreements to share power in times of surplus or need. In the case of the stricken Fukushima Daiichi (No. 1) nuclear power facility, owned by Tokyo Electric Power Co. (TEPCO), the power generated there does not serve the nearby towns and cities of northeast Japan, known as the Tohoku region. Power from TEPCO moves down to greater Tokyo, while it is Tohoku Electric Power Co. which provides power to cities near the quake-ravaged area: Sendai, Fukushima, Aizu-Wakamatsu, and others.

..........

http://semimd.com/blog/2011/03/18/divid ... -recovery/

[Remundo]

tiens, je croyais que tout était en 60 Hz au Japon...

En effet, les convertisseurs de fréquence de grosses puissances, ça n'est pas du matos qui coure les rues...

ça promet du blackout

[energy_isere]

ah ben il est bien placé lui aussi tiens !

http://wikimapia.org/1959006/Monju-Nuclear-Power-Plant

déjà qu'il a pas l'air commode même sans tsunami ...

8 décembre 1995, réacteur Monju : d'intenses vibrations du circuit secondaire de refroidissement causent la rupture d'une sonde thermométrique, permettant la fuite de plusieurs centaines de kg de sodium. Le sodium s'enflammant au contact de l'air, un intense incendie survient, sans pour autant déclencher immédiatement d'alarme ni d'arrêt d'urgence. Le réacteur est arrêté manuellement 90 minutes après le début de la fuite4.

ouais ben rien d'inquiétant quoi ... c'est pas une petite fuite de quelques centaines de kg de sodium à cause d'une simple sonde thermométrique qui va les empêcher de dormir quand même ...

l' emplacement du surgenerateur de Monju au Japon.
Dans Google Map taper Tsuruga, Fukui Prefecture, Japan puis remonter la cote vers l' Ouest.

Au moins en cas de Tsunami annoncé les employés pourront se refugier sur la colline derriére.

[Remundo]

Départ d'un convoi de MOX (plutonium) de Cherbourg pour le Japon :

AFP le 08/04/2010

Un convoi de 15 tonnes de combustible MOX, mélange de plutonium et d'uranium, a quitté jeudi Cherbourg pour le Japon, selon le groupe nucléaire Areva.

Si ça se trouve, une partie de cette saloperie est en train de chauffer dans le Fukushima Daiichi n°3 et qui l'a mis totalement hors contrôle...

Je crois que les Japonais vont annuler leur prochaine commande de MOX

[energy_isere]

Vous en auriez douté ?

Tepco ne versera pas de dividende

Tokyo Electric Power (Tepco) ne versera pas de dividendes pour l'exercice 2010 ainsi que pour l'exercice 2011, en raison des lourdes pertes causées par la crise nucléaire de la centrale de Fukushima-Daiichi, rapporte lundi le Nikkei. Selon le journal, c'est la première fois que Tepco renonce à verser un dividende annuel, exception faite de l'année de sa création en 1951. Des fuites radioactives émanent de la centrale depuis le violent séisme qui a frappé le Japon le mois dernier.

http://www.europe1.fr/International/Tep ... de-495359/