[Uranium] Ressources, production et consommation mondiale

[energy_isere]

Australie : production d'uranium va doubler en 4 ans ?

blogfinance le 13 Mai 2011

[energy_isere]

en rapport avec le post qui précede.

Les Australiens disent que le désastre de Fukushima n' infléchira pas le demande d' Uranium.
Les dépenses d 'exploration sont en hausse.

Le pays est en discussion avec l' Arabie Saoudite pour le minerai. (L' Arabie Saoudite veux construire des centrales nukes)

Australia says Fukushima disaster won't curb uranium demand

Jun 8, 2011 Reuters

Australia said the Fukushima nuclear disaster in Japan would not curb the world's appetite for uranium and predicted its exports will continue to rise as its develops more mines.

Spending on exploration in Australia to find more uranium is expected to rise by more than third this year, Australia's minister for mines, Martin Ferguson, said in a speech to geologists on Thursday.

Ferguson also said Australia was in discussions with the United Arab Emirates on a bilateral nuclear safeguards agreement that could potentially open up a new market for Australia's uranium.

"What Fukushima will not do is change the fundamental drivers, increasing population and increasing demand for energy, behind the desire by some nations for more nuclear power," Ferguson said.

He said he was "confident the recent expansion we have seen in uranium mining, driven by increased global demand, will continue."

http://www.reuters.com/article/2011/06/ ... 1V20110609

[krolik]

La fin des vieux stocks stratégiques..qui en fait étaient classés "déchets".
J'ai suivi de très près ces problèmes dans les années 90-96
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L'Ukraine se débarrasse de ses stocks d'uranium enrichi

KIEV, Ukraine, June 9, 2011 /PRNewswire/

Le Premier ministre ukrainien, Mykola Azarov, a annoncé aujourd'hui que l'Ukraine a atteint presque tous ses objectifs en ce qui concerne le retrait de l'uranium enrichi du territoire national. En avril 2010, le Président de l'Ukraine, Viktor Yanukovych, a pris l'engagement de se débarrasser de l'uranium enrichi restant en échange de l'assistance technique et financière des États-Unis pour ce projet.
"L'Ukraine a presque rempli ses obligations visant à retirer l'uranium enrichi," a déclaré Mykola Azarov à l'issue de sa réunion avec le Directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique, Yukiya Amano. Le Premier ministre pense que cette réussite représente la contribution de l'Ukraine à la sécurité nucléaire internationale.
La quantité totale de matières nucléaires exportée depuis l'Ukraine en 2010 s'élève à 106 kg. En échange de l'uranium enrichi, les institutions de recherche ukrainiennes ont reçu de l'uranium faiblement enrichi destiné à la recherche, ainsi qu'un soutien financier pour d'autres projets scientifiques. L'uranium enrichi restant doit être exporté d'Ukraine d'ici à avril 2012, avant le début du Sommet sur la sécurité nucléaire qui aura lieu à Séoul en 2012.
Le secrétaire de presse de la Maison blanche, Robert Gibbs, a précédemment affirmé que la quantité d'uranium retiré d'Ukraine en 2010 suffira pour fabriquer "plusieurs armes nucléaires". John Brennan, le conseiller principal pour la lutte contre le terrorisme du Président américain Barack Obama a déjà averti qu'Al-Qaida essaye d'acheter de l'uranium enrichi depuis plus de 15 ans.
En 2010, le Ministère des affaires étrangères ukrainien a révélé qu'aucune des principales institutions scientifiques spécialisées ukrainiennes n'avait établi le besoin d'uranium enrichi à des fins de recherche. L'uranium enrichi était entreposé en tant que déchet et pas utilisé pour la recherche.
En décembre 1994, l'Ukraine a rejoint le Traité de non-prolifération des armes nucléaires et a affirmé sont statut non nucléaire. L'Ukraine a réaffirmé son statut non nucléaire dans sa Constitution et dans la déclaration "Sur la souveraineté d'État de l'Ukraine".
La dernière tête nucléaire a été expédiée par bateau d'Ukraine jusqu'en Russie en 1996, mais une quantité importante d'uranium enrichi est restée stockée à l'Institut des recherches nucléaires de Kiev, à l'Institut de physique et de technologie de Kharkiv, et à l'Université nationale de l'énergie et de l'industrie nucléaire de Sevastopol.

[energy_isere]

L'Inde affirme avoir découvert "la plus grosse mine d'uranium au monde" :

AFP le 19/07/2011

Une nouvelle mine dans le sud de l'Inde pourrait contenir les plus grandes réserves d'uranium au monde, a estimé le ministre de l'Energie atomique, dans un contexte où l'Inde a un besoin crucial de nouvelles sources d'énergie pour alimenter sa croissance.

La mine Tumalapalli dans l'Etat de l'Andhra Pradesh (sud-est) pourrait fournir jusqu'à 150.000 tonnes d'uranium, combustible le plus utilisé pour l'énergie nucléaire, a déclaré Srikumar Banerjee dans des propos rapportés mardi par la presse, à l'issue d'études menées depuis quatre ans sur le site.

"Il est confirmé que la mine contient 49.000 tonnes de minerai et il y a des indications selon lesquelles la quantité totale pourrait être trois fois supérieure", a-t-il déclaré.

"Si tel était le cas, ce serait la plus grande mine d'uranium au monde", a-t-il avancé.

De précédentes estimations suggéraient que seules 15.000 tonnes d'uranium pourraient être extraites de la mine, qui devrait entrer en exploitation d'ici la fin 2011.
Le porte-parole du département à l'énergie atomique, S.K. Malhotra, a déclaré à l'AFP que les experts de la mine de Tumalapalli étaient "assez confiants" dans le fait que le volume final atteigne 150.000 tonnes.

Il a a toutefois prévenu qu'il ne s'agissait pas d'un "uranium de grande qualité mais de faible qualité", ajoutant: "Nous n'avons trouvé aucun uranium en Inde susceptible d'avoir la même qualité que celui trouvé en Australie".

L'Australie, troisième producteur mondial d'uranium qui dispose également des plus importantes réserves d'uranium au monde, est jusqu'à présent resté sourd aux requêtes d'approvisionnement de l'Inde, au motif que New Delhi n'a pas signé le traité de non-prolifération nucléaire.

"Cette découverte permettrait uniquement d'augmenter l'offre domestique d'uranium. Il y aura toujours un écart significatif (avec les besoins). Nous devrions toujours avoir recours aux importations", a déclaré M. Banerjee, cité dans le quotidien The Hindu.

Le nucléaire ne fournit pour l'heure qu'à peine 3% de l'électricité en Inde. Le poids lourd asiatique voudrait porter la part du nucléaire à 25% à l'horizon 2050 et il s'est lancé en quête de nouvelles sources d'uranium dans le monde entier, notamment auprès de la France, du Kazakhstan et de la Russie.

Le marché nucléaire indien est estimé à 175 milliards de dollars.

L'ouverture du pays au nucléaire date de l'été 2008 lorsque la communauté internationale a décidé de lever un embargo de 34 ans sur le commerce mondial dans le nucléaire civil avec l'Inde, puissance atomique militaire qui a toujours refusé de signer le Traité de non prolifération (TNP).

Grâce à un régime dérogatoire accordé par l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et le Groupe des 45 pays fournisseurs de technologies nucléaires (NSG), l'Inde a pu signer depuis septembre 2008 des accords politiques de coopération dans le nucléaire civil avec Paris, Washington et Moscou.

La troisième puissance économique d'Asie, qui opère 20 réacteurs nucléaires générant 4.780 mégawatts (MW), cherche à se doter de 63.000 MW supplémentaires d'ici 2032. Sept nouveaux réacteurs sont en construction.

Depuis la crise nucléaire au Japon, des associations environnementales militent pour un arrêt des projets en cours, concernant notamment celui conclu avec le géant français Areva pour l'installation de six réacteurs de 9.900 MW au total dans l'ouest de l'Inde dont les travaux devraient débuter en 2013.

http://www.boursorama.com/infos/actuali ... a109c00ed6

[krolik]

De la même qu'il y avait l'accord mégawatts contre mégatonnes entre les Russes et les USA pour la conversion de l'uranium hautement enrichi -militaire- il y avait un accord entre les USA et le Bélarus.
Mais avec Lukatchenko, les drroits de l'homme ça craint..
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http://french.ruvr.ru/2011/08/19/54906632.html

Biélorussie: la fin du projet d’échange de combustible nucléaire

19.08.2011,

La Biélorussie met fin au projet d’échange de combustible nucléaire développé en coopération avec les Etats-Unis. C’est la réponse des autorités biélorusses aux sanctions économiques américaines.
" Les agissements de Washington sont infondés et illégitimes et contredisent l’esprit de coopération ", a déclaré le porte-parole du ministère des Affaires étrangères biélorusse, Andreï Savinykh.

" La Biélorussie continuera à garantir la sécurité du combustible nucléaire en conformité avec ses engagements internationaux en matière de la non-prolifération ", a souligné le diplomate biélorusse.

[krolik]

La Suède possède la troisième réserve mondiale non exploitée d'uranium dans son sous-sol...
L'uranium quand on en cherche, on en trouve..
En conjonction avec du molybdène, du nickel, du vanadium et du zinc..un vrai pactole..
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Resource boost at Swedish deposit

22 August 2011

Uranium resources at the Haggan deposit in Sweden have more than doubled, making it the third largest undeveloped uranium resource in the world, according to Australia's Aura Energy.

The company said that JORC-compliant inferred resources have been upgraded from 291 million pounds U3O8 (111,930 tU) to 631 million pounds U3O8 (242,710 tU) at a grade of 160 ppm U3O8. The resources estimate includes, for the first time, the western section of the core permit area.

According to Aura, this resource places Haggan as the world’s third largest undeveloped uranium resource, after Continental's Viken project (with a resource of 1047 million pounds U3O8 (402,725 tU)), also in Sweden, and ARMZ's Elkon project in Russia (705 million pounds U3O8 (271,175 tU)).

The Haggan project, previously known as Storsjon, forms part of a large uranium field in central Sweden. The uranium occurs with molybdenum, nickel, vanadium and zinc in black shales. Aura said that the project contains 580,000 tonnes of nickel, as well as 383,000 tonnes of molybdenum. The company said that drilling used to derive the resource figures has only covered 15% of its permit areas at Haggan.

Conventional acid leach recoveries of up to 93% have been reported for uranium from Haggan. However, the high sulphur content of the deposit prompted Aura to look into bioleaching technologies, where bacteria are used to acidify and oxidise ores. A year ago, Aura said this may be technically feasible. Initial work had shown that the presence of bacteria improves extraction rates for uranium, molybdenum, nickel and zinc from the alum shale deposit.

Aura recently reported that the second phase of its bioleach testwork on the Haggan deposit has provided "highly encouraging" results. Chemical analysis and testwork have shown that the mineralization is acid-generating, facilitating metal leaching. Initial small-scale column leach tests have indicated up to 75% uranium extraction, it said. Significant extraction of other metals had also been achieved: nickel up to 65%, zinc to 60% and molybdenum to 25%. Aura said that there is "considerable scope for increasing these extractions," for example, by crushing the ore to a finer size.

Researched and written by World Nuclear News

[krolik]

La Tanzanie et les "verts" allemands..
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http://www.afrique7.com/territoires/235 ... elous.html

Territoires|09/09/2011 9:27
Tanzanie : Des verts allemands contre l’exploitation de l’uranium à Selous

L’ONG allemande « Sauvons les forêts tropicales » et plusieurs autres ONG environnementales de même nationalité ont récemment déposé une pétition à l’ambassade de Tanzanie en Allemagne afin de marquer leur désaccord sur un projet d’exploitation minière au sein du pays est-africain. En effet, le gouvernement tanzanien avait annoncé en juillet la signature d’un accord avec la société australienne Mantra Ressources pour extraire de l’uranium du parc naturel de Selous (Sud), seconde réserve animalière d’Afrique et site classé au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1983. « Nous avons collecté les signatures au cours des dernières semaines et nous avons remis notre pétition (destinée au président Jakaya Kikwete) à l’ambassade de Tanzanie à Berlin vendredi dernier » a déclaré le président de « Sauvons les forêts », Reinhard Behrend. Le groupe des verts explique son initiative du fait que « l’extraction d’une seule tonne d’uranium produit 99 tonnes de réactifs » et « le seul devenir connu de ces derniers est l’isolation, et aucun processus industriel ne garantit la sécurité de leur stockage », peut-on lire sur la pétition publiée sur le portail web de « Sauvons les forêts ». Ainsi, vu que cela représenterait « un énorme danger pour la réserve et les écosystèmes attenants », le document « appelle le gouvernement de Tanzanie et la société d’exploitation minière à abandonner sans attendre leur projet d’exploitation d’uranium ».
Même si les arguments des ONG semblent pertinents, ce n’est pas sûr que Dodoma renonce à un projet d’aussi grande envergure. Selous regorgerait de 24 400 tonnes de la matière première du nucléaire sur une superficie de 54 600 km2. En plus, le gouvernement clame avoir pris soin de veiller au respect de l’environnement, décrochant même un accord conditionnel de l’UNESCO.

[krolik]

Rosatom chasse les mines d’uranium

L’USINE NOUVELLE (http://indices.usinenouvelle.com/energi ... anium.4006) - Le 26 octobre 2011 par Daniel Krajka

Toujours optimiste sur la place de l’atome dans la production d’énergie, le champion russe du nucléaire diversifie ses sources d’approvisionnement en uranium.

« Notre but est d’ouvrir le secteur à un dialogue large et libre avec les occidentaux », a déclaré Sergei Kirienko, le directeur général de Rosatom, devant un parterre d’investisseurs réunis à Londres le 24 octobre, par la banque d’investissement canadienne Cannacord. Après avoir acquis une participation majoritaire dans Uranium One, le champion russe de l’énergie nucléaire devait gagner la confiance de ses actionnaires et montrer à l’ensemble des investisseurs qu’une société russe savait et pouvait jouer « dans les règles », a souligné Kirienko.

Malgré la catastrophe de Fukushima en mars dernier, la demande globale pour l’énergie nucléaire, en particulier pour les centrales construites par Rosatom demeure forte, a indiqué le dirigeant. Les six contrats signés en 2010 et 2011 sont toujours valides et Rosatom a également signé des accords pour développer des capacités existantes en Chine et en Slovaquie et étudie une « road map » avec l’Inde. La plupart des pays n’ont pas l’intention de remplacer leurs installations nucléaires avec d’autres types d’énergie, a indiqué le patron de Rosatom, soulignant que « le nucléaire est parmi les plus sûres, les plus vertes et les plus économiques sources d’énergie ».

Après être tombé à 40 dollars, le prix de la livre d’uranium s’est stabilisé autour de 50 dollars et doit encore s’apprécier pour créer une offre suffisante. Selon Kirienko, un prix entre 70 et 80 dollars entrainerait une stabilité de l’offre. Afin de varier ses sources d’uranium, le Russe a acquis Mantra Resources, qui dispose d’actifs en Tanzanie. Le Sud de l’Afrique est la future zone de croissance de l’extraction d’uranium, estime Kirienko. Outre la Russie et le Kazakhstan, Rosatom est présent en Australie et aux Etats-Unis. Il vient également d’annoncer être prêt à participer à des projets d'extraction d'uranium en République tchèque.

[energy_isere]

Areva repousse un projet de mine d’uranium en république centrafricaine

Le 02 novembre 2011 Usine Nouvelle

Le groupe nucléaire français annonce le 2 novembre qu’en raison de Fukushima il doit retarder des travaux en république centrafricaine.

Areva estime que les travaux sur la mine de Bakouma doivent être repoussés d’un ou deux ans. Il justifie ce retard par la chute des cours d’uranium suite à l’accident de Fukushima le 11 mars dernier. La mine en question renferme 32 000 tonnes d’uranium dans l’est du pays.

"Nous sommes convaincus que les conditions de marché de l'uranium redeviendront propices dans les deux ans à venir, une fois l'impact de Fukushima surmonté", estime Sébastien de Montessus, directeur général adjoint en charge des activités minières d'Areva.

Areva a lancé des études pour le développement du projet minier de Bakouma depuis son implantation en République centrafricaine en 2007. Le groupe consacre depuis cette date plus de 106,7 millions d'euros à "la mise en valeur" des ressources en uranium de la région de Bakouma.

Dans un communiqué diffusé par ailleurs, Areva explique qu'en dépit de l'interruption temporaire des travaux de mise en exploitation, d'autres travaux "sur le traitement du minerai" se poursuivront.

Le groupe estimait le 27 octobre que les annulations de commandes depuis l’accident nucléaire japonais atteignent 301 millions d’euros à la date de fin septembre. Contre 191 millions d’euros à la fin juin.

Cette annonce intervient au lendemain de la découverte par Areva d’un gisement de 12 300 tonnes d’uranium dans le centre de la Jordanie. Sa joint-venture, Jordan French Uranium Mining Company, espère trouver au total plus de 20 000 tonnes d’uranium d’ici à la fin de l’année.

http://www.usinenouvelle.com/article/ar ... um.N162039

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Les Chinois avancent leurs pions en Namibie.

Namibia green lights Chinese uranium buy-in

Une compagnie Chinoise va donc acheter des parts d' une compagnie Austalienne qui posséde des droits sur l' énorme gisement d' uranium dit de ''Husab'' en Namibie.
C 'est un gisement à developper, qui va demander 1.5 milliards de $ d' investissements.

[energy_isere]

La production d' Uranium du Kazakhstan passe de 17800 tonnes en 2010 à 19000 tonnes en 2011.
C 'est le n°1 mondial.

Prévision de 20000 tonnes pour 2012.

Kazakhstan ups 2011 uranium output to 19,000 T

Feb 2 (Reuters) - Kazakhstan increased its uranium output to around 19,000 tonnes last year from 17,803 tonnes in 2010, the industry and new technologies ministry said in a statement on Thursday, citing preliminary data.

The Central Asian nation had originally planned to raise uranium output to 19,600 tonnes in 2011 to cement its position as the world's largest producer of the mineral, which is used to produce nuclear fuel.

State nuclear company Kazatomprom is Kazakhstan's largest uranium producer.

Kazatomprom head Vladimir Shkolnik had said earlier that Kazakhstan aimed to boost its uranium output further to 20,000 tonnes in 2012.

But Deputy Industry and New Technologies Minister Albert Rau said on Thursday the country would probably maintain its 2012 uranium output at last year's level.

"Taking into account the current condition of the market, there is no reason to increase output," he told reporters without elaborating.

Kazakhstan, with uranium reserves second only to Australia's, has no nuclear power stations of its own and does not use any uranium byproducts.

Kazatomprom mines uranium on its own and through a series of joint ventures with international companies such as Areva , Cameco Corp and Sumitomo Corp.

Kazakhstan, which holds more than 15 percent of global uranium reserves, surpassed Canada in 2009 as the world's largest producer.

http://www.reuters.com/article/2012/02/ ... I020120202

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Kazatomprom monte en puissance

06 Avril Usine Nouvelle

Le champion kazakh de l’atome double sa production d’uranium et fait une acquisition majeure en Russie
L’entreprise d’Etat kazakh a pratiquement doublé sa production d’uranium au premier trimestre, a annoncé Umirzak Shukeyev, le dirigeant du fond souverain Samruk-Kazyna. "La production a atteint 4 566 tonnes au premier trimestre, 100 tonnes de plus que prévu", a détaillé le dirigeant, lors d’une conférence de presse, annonçant même une production de 5 000 tonnes au deuxième trimestre. En 2011, le groupe avait produit 11 079 tonnes d’uranium, devenant le numéro un mondial. Si Kazatomprom maintient sa production au niveau attendu pour le deuxième trimestre, celle-ci pourrait tutoyer les 20 000 tonnes. Un niveau qui le rapprocherait de son objectif déclaré pour 2015, assurer 30% de l’offre mondiale.

http://www.usinenouvelle.com/article/ka ... ce.N172381

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Australie : Areva part en quête d'uranium

21 Mai 2012 Enerzine

Areva et Mitsubishi, au travers de leurs filiales respectives Afmeco Mining and Exploration (AFMEX) et Mitsubishi Development (MDP), ont décidé de s'associer dans le cadre d'un programme d'exploration d'uranium en Australie.

L'exploration, qui va durer plusieurs années, portera sur plusieurs dizaines de milliers de km2 dans des zones peu ou pas explorées.

Selon les termes de l'accord conclu entre les deux entreprises, MDP contribuera à hauteur de 100 % des dépenses d'exploration d'AFMEX pendant plusieurs années, dans la limite d'un seuil déterminé. A l'atteinte du seuil et si MDP confirme son intérêt pour les permis d'exploration, MDP aura la possibilité d'acquérir 49% des permis d'exploration d'uranium greenfield* d'AFMEX en Australie dont la gestion sera conduite par une co-entreprise détenue à 51 % par AFMEX et à 49 % par MDP.

AFMEX assurera la conduite des opérations de cette nouvelle co-entreprise.

« Au travers de cet accord et en joignant leurs forces, Areva et Mitsubishi se donnent les moyens de valoriser l'important potentiel uranifère australien. Nous croyons en la découverte à long terme de gisements à faible coût de production dans le pays d'où notre engagement mutuel pour le financement de travaux d'exploration de grande ampleur » a déclaré Olivier Wantz, Directeur Général Adjoint d'Areva en charge des activités minières.

L'Australie a produit près de 6.200 tonnes (soit environ 16,1 millions de livres) d'uranium en 2011. Troisième pays producteur mondial d'uranium derrière le Kazakhstan et le Canada, l'Australie dispose de réserves d'uranium parmi les plus importantes au monde.

Areva a récemment accentué ses efforts d'exploration dans ce pays où le groupe, présent depuis les années 1970, est à l'origine de la découverte de plusieurs gisements.

* zones sans ressource d'uranium identifiée

http://www.enerzine.com/2/13954+austral ... nium+.html

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Areva a cédé sa participation dans le projet canadien Millennium

12 Juin 2012 Enerzine

Areva a annoncé lundi avoir finalisé la cession de sa participation (27,94%) dans le projet minier Millennium à Cameco Corporation pour un montant de 150 millions de dollars canadiens (environ 115 millions d’euros).
Cette transaction s'inscrit dans le Plan d'Actions Stratégique "Action 2016" d'Areva, qui doit contribuer au désendettement du groupe et au financement de son programme d'investissements stratégiques et de sûreté.

Par ailleurs, Areva précise qu'en complément des 150 millions de dollars canadiens reçus, le géant du nucléaire recevra des royalties en cas de découverte de ressources supplémentaires en uranium pour la mine.

La participation de Cameco au sein du projet Millennium est portée à 69,9 %. L'autre partenaire, la société JCU (Canada) Exploration a choisi de ne pas renforcer sa participation au sein du projet, qui reste de 30,1 %.

Situé dans le nord de la région canadienne de la Saskatchewan, le projet Millennium prévoit le développement d'une mine souterraine sur la base des ressources estimées à ce jour à plus de 50 millions de livres d’uranium (soit près de 20 000 tonnes).

Areva est fortement présent au Canada et demeure l'un des principaux producteurs d'uranium. Il possède également des participations majoritaires dans plusieurs gisements majeurs en cours de développement tels que McClean Lake, Midwest et Shea Creek en Saskatchewan et Kiggavik au Nunavut. Le groupe français détient aussi 30,2 % de la mine de McArthur River et 37,1 % du projet Cigar Lake, les deux plus grands gisements à forte teneur en uranium au monde.

http://www.enerzine.com/2/14060+areva-a ... nium+.html

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Une nouvelle mine d'uranium en Europe ?
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Hungary May Restart Uranium Mining


Hungary's government is looking at a possible relaunch of uranium production near the Southern city of Pecs, state news agency MTI reported Tuesday citing the city's mayor. The government has started a social, technological and environmental inquiry into the feasibility of restarting production, Zsolt Pava said at a press conference in Pecs. ...Government-owned Mecsek-Oko and Mecsekerc signed a cooperation agreement with Australia's Wildhorse Energy (WHE.AU) earlier this year to exploit the area.
Dow Jones International News, 2012-06-19