Les projets de parcs solaires photovoltaïques en France

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Conclusions du débat public sur le projet solaire de 1 GW Horizeo en Nouvelle-Aquitaine
La Commission nationale du débat public (CNDP) a tiré les enseignements des semaines de rencontres avec le grand public autour du futur complexe bas-carbone Horizeo, en matière d’acceptation des énergies renouvelables par la population, et a formulé ses recommandations.

MARS 9, 2022 GWÉNAËLLE DEBOUTTE
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https://www.pv-magazine.fr/2022/03/09/d ... s-horizeo/

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Neoen fait le point sur ses attributions (92,5 MWc) dans l’appel d’offres PPE2
Neoen donne des précisions quant à la réalisation des sept projets solaires, lauréats du dernier appel d’offres gouvernemental pour les centrales solaires au sol. Les parcs PV seront construits en Nouvelle-Aquitaine, en Occitanie et dans le Grand Est avec des capacités allant de 4,7 à 30 MWc. Ils seront mises en service entre 2024 et 2025.

MARS 11, 2022 MARIE BEYER

Neoen a remporté 92,5 MWc lors de l’appel d’offres PPE2 « centrales au sol », sur un total de 704,9 MWc attribué sur cette première tranche. Dans le détail, la puissance ainsi obtenue est répartie sur sept projets présentant des capacités allant de 4,7 à 30 MWc et qui devraient être mis en service en 2024 et 2025. Voici les détails donnés par le groupe EnR dans un communiqué :

Dans la région Grand Est : Neoen remporte la première tranche de la centrale de Valmont en Moselle. Installée sur une ancienne friche industrielle, la centrale a été développé au cours des trois dernières années par Neoen et devrait atteindre une puissance totale de 10 MWc.

En Nouvelle-Aquitaine : Neoen remporte les deuxièmes tranches des projets de Poullignac (9,7 MWc), de Champblanc (14,3 MWc) et Paginières des Vignes (8,8 MWc). « La centrale de Poullignac permettra de valoriser un ancien centre d’enfouissement de déchets, en co-actionnariat avec la SAS « Sol’R Parc Charente » rassemblant des acteurs publics locaux », a précisé le groupe EnR.

En Occitanie : Neoen lance son premier projet en Aveyron avec la centrale solaire de Saint-Rome-de-Cernon qui présente une puissance de 8,5 MWc et qui inclue l’installation d’un élevage ovin sur le projet.

https://www.pv-magazine.fr/2022/03/11/n ... fres-ppe2/

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CVE et Q Energy inaugurent la centrale solaire de Terres Neuves 2
Extension du parc Terres Neuves 1, le projet de 13,3 MWc a été développé par Q Energy (ex-RES France) et vendu à CVE en 2020. Ce dernier en a assuré la construction, sur un terrain non cultivable, et l’exploitera pour une durée de 30 ans

MARS 17, 2022 GWÉNAËLLE DEBOUTTE


La centrale photovoltaïque de Terres Neuves 1. Image : Q-Energy

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Le producteur d’énergies renouvelables CVE a inauguré la centrale photovoltaïque de Terres Neuves 2, située sur le site du Centre National de Prévention et de Protection (CNPP), à cheval sur les communes de Saint Etienne-sous-Bailleul et de La Chapelle Longueville. Le projet de 13,3 MWc a été développé par Q Energy (anciennement affilié au groupe RES) et vendu à CVE en 2020. Ce dernier en a assuré la construction, sur un terrain non cultivable, et l’exploitera pour une durée de 30 ans.

Deuxième tranche de la centrale solaire de Terres Neuves déjà développée par Q Energy, c’est la première centrale au sol à rentrer en exploitation en Normandie pour CVE. Elle témoigne de sa volonté de se développer dans cette région avec des projets de territoire, respectueux de l’environnement et de la biodiversité, en privilégiant la réhabilitation de sites anthropisés ou des toitures et ombrières. « Les énergies renouvelables, notamment le photovoltaïque, ne cessent de gagner du terrain. Notre ambition est de disposer d’une puissance installée de 2 GWc à horizon 2025. C’est à nous d’accompagner ce développement de façon vertueuse et éco-responsable », indique Frédéric Fortin, Directeur du développement commercial et des partenariats chez CVE.
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https://www.pv-magazine.fr/2022/03/17/c ... -neuves-2/

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EDF Renouvelables lauréat de sept projets au sol à l’appel d’offre CRE PPE2
Ces nouveaux parcs solaires, d’une capacité totale de 110 MWc, se situent en Bourgogne Franche-Comté, dans le Grand-Est, en Centre-Val de Loire, et en Auvergne-Rhône-Alpes.

MARS 16, 2022 GWÉNAËLLE DEBOUTTE

EDF Renouvelables a annoncé avoir remporté sept projets de centrales solaires au sol lors de la première tranche de l’appel d’offre CRE PPE2. Ces nouveaux projets ont une capacité totale de 110 MWc. Ils se situent :
• En Bourgogne Franche-Comté, pour les projets de Fontaine (40,7 MW, Territoire de Belfort), de Cosne (29,9 MW, Nièvre), et de Moimay (10,2 MW, Haute-Saône) ;
• Dans le Grand-Est, pour le projet d’Illanges (22,8 MW, Moselle) ;
• En Centre-Val de Loire, pour le projet de Varennes (5 MW, Loiret) ;
• Et enfin en Auvergne-Rhône-Alpes pour le projet de Quinssaines (3,8 MW, Allier).

Avec la sécurisation de ces projets photovoltaïques, EDF Renouvelables confirme l’accélération de sa croissance dans le solaire au sol en France. L’entreprise compte à présent 670 MW de centrales solaires en exploitation ou en construction, et 440 MW de projets sécurisés dont la construction sera lancée prochainement.

https://www.pv-magazine.fr/2022/03/16/e ... -cre-ppe2/

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La première centrale solaire flottante du Suisse Axpo voit le jour en France
Le groupe énergétique a réalisé près de Toulouse une centrale photovoltaïque de 5 MWc en collaboration avec sa filiale française Urbasolar. Elle devrait produire 6,25 GWh d’électricité solaire par an, ce qui correspond à 10 % de la consommation d’électricité de la commune de Peyssies, où elle est installée.

MARS 29, 2022 SANDRA ENKHARDT


La centrale solaire du Peyssies de 5 MWc. Image : Urbasolar

Axpo se lance à l’eau, selon ses propres dires. Sur un lac artificiel dans une ancienne gravière près de Toulouse, le groupe énergétique suisse a réalisé sa première centrale photovoltaïque flottante en collaboration avec sa filiale Urbasolar. Sur les 12,5 hectares d’eau et de berges, environ 14 000 modules solaires sont installés sur des flotteurs reliés entre eux. Selon Axpo, la puissance de la centrale photovoltaïque flottante devrait être de 5 MWc. Environ 6,25 GWh d’électricité solaire pourront être produits chaque année, ce qui correspond à 10 % de la consommation d’électricité de la commune de Peyssies (Occitanie), où est situé le lac artificiel.

Les flotteurs contenant les modules solaires sont fixés à la rive par des lignes d’ancrage. La réalisation a donc été précédée d’importants travaux de R&D pour prendre en compte les particularités topographiques et les exigences environnementales. Lors de l’installation, une attention particulière a été apportée à la faune vivant sur la rive et les modules solaires se trouvent donc à une distance minimale de 15 mètres. Une étude d’impact sur l’environnement complète a également été réalisée afin de démontrer que la faune et la flore du lac artificiel ne seraient pas affectées de manière durable par l’installation photovoltaïque flottante.

Pour Urbasolar cependant, ce n’est pas une première. Elle travaille déjà sur deux autres projets photovoltaïques similaires dans le département de la Haute-Garonne. Selon les estimations du groupe énergétique, des installations photovoltaïques flottantes d’une puissance totale de dix GWc pourraient voir le jour sur des lacs artificiels, des bassins hydroélectriques et des plans d’eau non protégés en France.

https://www.pv-magazine.fr/2022/03/29/l ... en-france/

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Une commune dit "stop" au photovoltaïque dans le Tarn-et-Garonne

AFP le 13 avr. 2022

Avec deux parcs photovoltaïques et un troisième en projet dans leur commune, des habitants du Tarn-et-Garonne se mobilisent pour éviter de devenir "la capitale du panneau solaire", estimant qu'ils ont déjà suffisamment contribué à la transition écologique.

"On n'est pas contre, mais Bessens ne peut pas être le pays du photovoltaïque", affirme Eric Escabasse, président de la société de chasse de ce village situé à une vingtaine de kilomètres de Montauban.

Au volant de sa voiture, il parcourt les chemins boueux bordés de chênes qu'il connaît par coeur et où il avait l'habitude de chasser avant que 34 hectares soient recouverts de panneaux photovoltaïques.

Le troisième projet à l'étude sur la commune ne passe pas pour cet homme de 57 ans qui mène la fronde. "J'espère avoir des petits-enfants, mais je ne veux pas les promener au milieu des panneaux solaires", explique-t-il à l'AFP.

Pour le maire, Adrien Raphet, âgé de 34 ans, une implantation supplémentaire serait un non-sens. Sur cette commune de 1.500 habitants se produit déjà l'équivalent de la consommation annuelle en électricité de 15.000 personnes, hors chauffage.

"De notre côté, l'effort a été fait. On demande à ce qu'il soit réparti", souligne le jeune édile.

- Sans bénéfice direct -

Ce troisième projet, porté par Valorem, entreprise basée en Gironde, a fait l'objet d'une enquête publique, dont la synthèse doit être remise à la préfète du Tarn-et-Garonne, décisionnaire sur le sujet.

Il concerne un peu plus de 11 hectares où seraient produits 12 GWh selon Valorem, de quoi couvrir les besoins de plus de 17.000 usagers, hors chauffage.

Une pétition, portée par Eric Escabasse, a recueilli plus de 600 signatures de Bessinois qui y sont opposés.

"On se sent spoliés, on sacrifie notre territoire et on n'a rien en retour", estime Adrien Raphet, selon lequel "la transition ne peut pas se faire contre la population".

Sollicitée par l'AFP, la préfecture du Tarn-et-Garonne n'a pas souhaité s'exprimer.

A Bessens, la colère est alimentée par les deux premiers parcs, dont les travaux ont perturbé le quotidien des habitants, sans leur bénéficier directement.

L'entreprise qui les a bâtis ne verse que 3.000 euros par an à la municipalité pour l'utilisation des chemins communaux.

Valorem en propose 45.000. "On arrive selon nous avec un bon projet, mais trop tard", estime Frédéric Petit, responsable de l'entreprise pour l'Occitanie. "Si les deux premiers parcs n'avaient pas été construits, ça se serait passé complètement différemment."

Un avis que partage Eric Escabasse: "On savait bien qu'il fallait faire la transition écologique, mais on pensait qu'ils allaient mettre ces parcs et que ça allait s'arrêter".

C'est la proximité d'un point de raccordement au réseau électrique qui attire les producteurs d'énergie solaire.

Pour empêcher tout nouveau projet, le maire entend sanctuariser le secteur grâce à son classement prochain en zone naturelle réservoir écologique (NRE) par l'intercommunalité.

- Solution alternative -

Il propose également une solution alternative en prônant l'utilisation des toitures de la zone d'activités de 400 hectares située dans la commune voisine de Montbartier.

Une possibilité qu'envisage Valorem, sans toutefois renoncer au projet à Bessens.

"Plus qu'une alternative, c'est complémentaire", affirme Frédéric Petit. "Pour arriver à la souveraineté énergétique, les toitures, ça ne suffira pas: il faudra des parcs au sol, de l'éolien, de la méthanisation..."

Les Bessinois envient le sort d'Urriés, en Espagne, localité avec laquelle leur commune est jumelée et où une centrale solaire pourrait voir le jour, permettant aux habitants de ne plus payer l'électricité.

"Dans ce cas-là, on se dirait que ça vaut le coup, qu'ils nous ont pris un terrain, mais qu'on a un retour. Mais maintenant, c'est trop tard", juge Eric Escabasse.

Les opposants, qui dénoncent le défrichage de sept hectares de forêt et craignent des problèmes lorsque viendra le temps du démantèlement des installations, ne rendent pas les armes.

"On se bat contre des grosses sociétés", souffle toutefois Eric Escabasse, qui attend de pied ferme la décision préfectorale.

Si un projet solaire de 75 hectares a fini par être abandonné en Aveyron fin mars, le fer de lance des anti-voltaïque de Bessens confie qu'il n'est "pas optimiste".

https://www.connaissancedesenergies.org ... nne-220413

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J'avais raté ça de il y a plus de 6 mois, par GEG qui est mon fournisseur d'électricité à Grenoble :

La Buisse : 29ème centrale photovoltaïque de GEG, inaugurée en Isère !

27 septembre 2021


Retardée de plusieurs mois à cause de la crise sanitaire du Covid-19, la centrale photovoltaïque au sol de La Buisse produit enfin ses 1ers KWh d’électricité verte ! Installée sur l’ancienne décharge de la plateforme écologique de La Buisse, à une 20aine de km de Grenoble, elle a été inaugurée le 27 septembre 2021.


La Buisse, la 29ème centrale photovoltaïque de GEG, installée sur l'ancienne décharge de la plateforme écologique de La Buisse

Conçu et exploité par GEG ENeR, filiale de production d’énergies renouvelables de GEG, en partenariat avec VSB Energies Nouvelles, l’ouvrage s’étend sur 4 ha. Il mobilise 300 tables de plus de 8 000 modules photovoltaïques, pour une puissance de 3 MWc. L’ensemble du site devrait produire 3,3 GWh/an environ, soit l’équivalent de la consommation moyenne en électricité de 1 500 habitants. Une centrale photovoltaïque au sol qui (comme celle de Susville ou Portes les Valence sur leur territoire dédié) respecte elle aussi les conditions environnementales du site écologique régional du Pays Voironnais.

L’ouvrage a été installé sur les îlots de déchets de l’ancien centre d’enfouissement technique de la plateforme écologique de La Buisse. Ces îlots ont été terrassés et végétalisés entre 2002 et 2004, après l’arrêt de l’activité de stockage du site.

Pour respecter l’étanchéité de ces dômes, les structures des tables photovoltaïques ont été spécialement étudiées et conçues pour ne pas en altérer l’argile et la terre végétale. Ainsi, des structures sans fondation ni pieu ont été installées directement sur les toits de ces dômes.


La centrale photovoltaïque de GEG située à La Buisse (Isère) respecte l’environnement, la faune et l’emploi local

Les casiers métalliques, servant de socles pour les structures métalliques accueillant les modules photovoltaïques ont, eux aussi, fait l’objet d’un traitement spécifique. Assemblés sur place, ils ont en effet été remplis de matériaux de lest issus de carrières ou de sites de revalorisation situés à proximité.

Garantissant la protection de l’étanchéité du site, la centrale photovoltaïque de La Buisse a également su s’adapter au respect et à la protection de la faune, présente dans le corridor écologique de la Cluse de Voreppe qui joint les massifs de la Chartreuse à ceux du Vercors. En effet, son emprise territoriale permet de laisser libre passage pour la circulation de la faune.
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Totale de la production annuelle : 3,3 GWh

https://vivonslenergieautrement.fr/la-b ... -en-isere/

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Rubis finalise l'acquisition de Photosol, leader indépendant de l'énergie solaire en France

édité le 20/04/2022

Rubis finalise l'acquisition de Photosol, leader indépendant de l'énergie solaire en France
Cette acquisition constitue le socle de la diversification de Rubis dans les énergies renouvelables.

Comme annoncé dans le communiqué du 17 décembre 2021, Rubis a finalisé l'acquisition de 80 % de Photosol (France), l'un des leaders indépendants de l'énergie photovoltaïque en France. Cette acquisition constitue le socle du développement des activités du Groupe dans les énergies renouvelables, aux côtés de ses activités historiques de distribution d'énergie via la filiale Rubis Énergie (Distribution et Support & Services) et de stockage de produits liquides via la JV Rubis Terminal. Cette nouvelle branche d'activité devrait bénéficier de la forte présence de Photosol en France et du positionnement de Rubis à l'international.

Photosol est un des premiers développeurs et producteurs indépendants d'électricité renouvelable en France avec une capacité de 330 MW en exploitation, 145 MW en construction, un pipeline de projets de plus de 3 GW à fin mars 2022 et plus de 80 collaborateurs. Conservant une participation de 20 %, les fondateurs et dirigeants de Photosol restent engagés dans le développement de l'entreprise et poursuivent l'objectif de porter la capacité installée à 1 GW d'ici 2025 et 2,5 GW d'ici 2030, assurant une croissance annuelle composée du RBE[1] de 40 % sur la période 2022-2025.

Conditions de la transaction et impact financier :

Paiement en numéraire de 385 M€ pour une participation de 80 %, consolidation à 100 % de la dette nette de Photosol de 362 M€, avec un impact total sur la dette financière nette consolidée de Rubis de 747 M€ proforma 2021.L'acquisition est entièrement financée par endettement, conduisant ainsi à un ratio dette nette/RBE proforma inférieur à 2,5x.

À court terme, l'acquisition n'aura pas d'impact significatif sur le bénéfice par action (BPA), mais le RBE et la contribution aux bénéfices de Photosol s'accélèreront à moyen et long terme.Rubis confirme une politique de dividende stable avec un ratio de distribution supérieur à 60 % et une croissance du dividende à moyen et long terme en ligne avec l'évolution du BPA. Le Groupe reconfirme ainsi sa stratégie d'investissement pour soutenir la croissance organique et externe de l'ensemble de ses activités.

https://www.euro-petrole.com/rubis-fina ... -n-f-23755

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Les ombrières de parking de Disneyland Paris commencent à produire de l’électricité
Réalisée en co-investissement avec Urbasolar et installée en ombrières sur le parking visiteur du parc, la centrale solaire produira à terme, en 2023, 36 GWh par an, soit environ 17 % de la consommation électrique actuelle du complexe. La première tranche de l’installation solaire (environ un tiers) est désormais opérationnelle et produira 10 GWh par an.

AVRIL 22, 2022 MARIE BEYER


Image : Disney

La centrale en ombrières photovoltaïques de Disneyland Paris entre progressivement en service. Réalisée en partenariat et en co-investissement avec le groupe Urbasolar, sa construction avait démarré à l’automne 2020. A terme, soit en 2023 selon les deux parties, l’installation devra produire 36 GWh par an et couvrir les 20 hectares du parking visiteurs qui compte 11 200 places de stationnement.

Aujourd’hui c’est environ un tiers de l’infrastructure qui a été connectée, soit quelque 46 000 panneaux photovoltaïques sur les 86 000 prévus, permettant de couvrir plus de 7000 places de parking et de produire 10 GWh d’électricité solaire par an.

Le projet photovoltaïque permet techniquement de produire assez d’énergie renouvelable pour alimenter environ 17 % de la consommation électrique actuelle du site Disneyland Paris, soit l’équivalent de la consommation énergétique annuelle solaire d’une ville de 17 400 habitants.

https://www.pv-magazine.fr/2022/04/22/l ... ectricite/

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Engie Green inaugure la plus grande centrale solaire au sol de Lozère à La Tieule

Engie Green inaugure vendredi 29 avril une centrale photovoltaïque au sol de 15 mégawatts-crête sur le parc d’activités de La Tieule, au sud-ouest de la Lozère. L’investissement de 13 millions d’euros a permis de créer la plus grande centrale solaire du département.

Sylvie Brouillet 29 Avril 2022 Usine NouvelleLe président de la Commission de régulation de l’énergie (CRE), Jean-François Carenco, doit assister vendredi 29 avril à La Tieule, près de La Canourgue (Lozère), à l’inauguration par Engie Green d’une ferme solaire au sol d’une puissance de 15 mégawatts-crête (MWc) et d’un coût de 13 millions d’euros. Composée de 35 000 panneaux photovoltaïques installés sur 17,5 hectares de la zone d’activités proche de l’autoroute A75, elle est entrée en service en mars 2021. La production annuelle de 20 250 MWh équivaut à la consommation électrique de 9 200 personnes.

10% de la consommation de Lozère
[...abonnés]

https://www.usinenouvelle.com/article/e ... e.N1998367

2mn44s de vidéo sur ce projet : https://www.youtube.com/watch?v=ici9Md8dfkY

Engie Green inaugure le parc solaire de 15 MWc de La Tieule
Le parc de 18 hectares abrite notamment un élevage ovin et une trentaine de ruches, exploitées par des travailleurs en situation de handicap, ont été installées aux abords de la centrale.

MAI 2, 2022 GWÉNAËLLE DEBOUTTE

Engie Green a inauguré le 29 avril 2022 le parc solaire photovoltaïque de La Tieule, en Lozère, le long de l’autoroute A75. S’étendant sur 18 hectares, le parc est équipé de près de 35 000 panneaux photovoltaïques pour une puissance installée de 15 MWc. Sa production annuelle de 20 250 MWh couvrira l’équivalent de 10% de la consommation électrique résidentielle de la Lozère. L’exploitation du site est assurée par les équipes d’Engie Green basées à Montpellier.



Le montant global du projet s’élève à 13 millions d’euros financés par Auxifip et la Caisse régionale du Crédit Agricole Languedoc. Le Syndicat Départemental d’Energie et d’Equipement de Lozère s’est porté co-actionnaire du projet aux côtés d’ENGIE Green. Les citoyens ont été également invités à investir dans la centrale lors d’une campagne de financement participatif lancée en 2020 qui a permis de collecter 100 000 euros.

Outre la production d’énergie verte, le parc de la Tieule a permis de développer un projet de territoire dans le domaine de l’aromathérapie et de l’apiculture, et de fédérer de multiples coactivités en faveur de l’attractivité du territoire et de l’emploi local. Ainsi, une trentaine de ruches installées aux abords de la centrale, sont exploitées par des travailleurs en situation de handicap de l’ESAT la Colagne de l’association Le Clos du Nid, et le miel récolté est vendu en ligne par l’enseigne bienmanger.com. 900 mètres linéaires de haies paysagères aromatiques (lavandin, sauge, mélisse…), plantées aux abords du projet, sont confiés à l’entreprise locale Essenciagua pour la production d’huiles essentielles. Des plantes mellifères ont été ensemencées entre les rangées de panneaux et des espaces délaissés pour favoriser l’apiculture.

Un suivi écologique du parc sera assuré durant les trois prochaines années. Des aménagements environnementaux spécifiques ont été mis en place, notamment en gestion hydrologique : création de noues (petites tranchées) pour la gestion des eaux pluviales, mais aussi pour l’insertion paysagère du projet. Un hibernaculum (refuge à reptiles) a été créé et un cheptel ovin a été installé sur le site.

https://www.pv-magazine.fr/2022/05/02/e ... la-tieule/

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TotalEnergies met en service une centrale solaire de 4,7 MWc en Moselle
Le parc installé à Sarreguemines a fait l’objet d’un investissement total de plus de 4,2 millions d’euros, dont 550 000 € réunis à l’occasion d’une campagne de financement participatif, à laquelle ont participé 118 investisseurs.

MAI 4, 2022 GWÉNAËLLE DEBOUTTE


Le parc photovoltaïque de Sarreguemines. Image : TotalEnergies

TotalEnergies a inauguré une centrale photovoltaïque de 4,7 MWc à Sarreguemines, dans le département de la Moselle. Elle produira environ 5 000 MWh par an, ce qui représente près de 8 % de la consommation totale de la commune. Constituée de près de 10 800 panneaux solaires couvrant une surface de 8 ha, le parc valorise un ancien site de stockage de déchets qui héberge aujourd’hui un méthaniseur de biodéchets et un centre de transfert multiflux. Le terrain, qui appartient à la communauté d’agglomération de Sarreguemines, lui permettra de bénéficier de retombées économiques importantes pendant 30 ans.

Le projet, détenu par Total Quadran (80 %) et Nexia Energy (20 %), a fait l’objet d’un investissement total de plus de 4,2 millions d’euros, dont 550 000 € réunis à l’occasion d’une campagne de financement participatif sur Enerfip, à laquelle ont participé 118 investisseurs.

https://www.pv-magazine.fr/2022/05/04/t ... n-moselle/

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Eolfi (Shell) obtient le permis de construire de son projet solaire du Massif de l’Etoile
Le parc de 5 MWc est installé à Septèmes-les-Vallons (13) sur un ancien site industriel.
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MAI 12, 2022 GWÉNAËLLE DEBOUTTE

Eolfi, filiale du groupe Shell, a fait savoir qu’elle a obtenu le permis de construire de son projet solaire du Massif de l’Etoile de la part de la Préfecture des Bouches-du-Rhône et du Tribunal administratif de Marseille. Situé sur la commune de Septèmes-les-Vallons (13), il sera constitué d’un parc photovoltaïque de 5 MWc sur environ 8 hectares, pour une production d’environ 10 GWh/an, soit près de 72% de la population de Septèmes-les-Vallons. Il est implanté sur un ancien site industriel classé ICPE (installation classée pour la protection de l’environnement) situé au lieu-dit Les Fabriques Ouest, le projet permettra la réhabilitation et la sécurisation du site avec le traitement et la suppression de la pollution résiduelle issue de la précédente activité du site (démolition, broyage de matériaux). Les travaux de construction de la centrale photovoltaïque sont prévus début 2023, pour une mise en service la même année.

Ce projet s’inscrit dans la lignée des ambitions de la Région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur, qui a pour ambition d’être la première région française neutre en carbone à l’horizon 2050 avec une couverture pour moitié de sa consommation énergétique grâce aux énergies respectueuses de l’environnement. Dans ce cadre, elle a initié, en 2017, un Plan Climat, puis un second en 2021 dont l’objectif est de multiplier par 5 l’actuelle production d’énergies renouvelables. Pour le solaire photovoltaïque, cela se traduit par l’atteinte de 11 000 MW en 2030 et 45 000 MW d’ici 2050. « Nous sommes ravis que le projet du Massif de l’Etoile soit purgé de tout recours. Il contribuera activement à l’atteinte des objectifs fixés par la Région. Nous avons d’ores et déjà développé 30 MWc aujourd’hui en exploitation sur des friches délaissés, ferroviaires et toitures. Nous souhaitons bien entendu renforcer notre ancrage territorial. Pour cela 300 MWc de projets solaires photovoltaïques sont en cours de développement », a ainsi indiqué Germain Peyer, Directeur du développement onshore France au sein d’Eolfi-Shell.

Pour le maintien de la biodiversité, Eolfi s’est engagé sur l’aménagement de mesures environnementales dont la création d’une mare pour favoriser l’accueil du crapaud Calamite. Ce dernier été identifié comme étant une espèce à préserver et jusqu’à maintenant le site ne présentait pas de milieux favorables à l’accueil des amphibiens. En complément, des abris disséminés dans le parc et ses alentours permettront de recréer un habitat favorable pour le cycle complet de l’espèce. L’installation de cette mare et son suivi annuel se feront en collaboration avec un bureau d’étude environnemental et des organismes locaux indépendants. D’autres mesures spécifiques ont été prises comme la pose d’un grillage à large maillage pour que la petite faune puisse traverser librement le site durant l’exploitation ou encore la création d’abris à petites faunes afin de créer davantage de zones de préservation.

https://www.pv-magazine.fr/2022/05/12/e ... e-letoile/

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CNR inaugure son deuxième parc solaire dans l’Ain
La centrale de Virignin de 3,8 MWc représente un investissement de 2,95 millions d’euros, dont 10 % provient des riverains qui ont investi 305 000 € sur un total de 320 000 € collectés dans le cadre d’une campagne de financement participatif.

MAI 10, 2022 GWÉNAËLLE DEBOUTTE

CNR a inauguré le 6 mai le parc photovoltaïque de Virignin (Ain), en présence de sa présidente du directoire, Laurence Borie-Bancel, et de Stéphanie Bavuz, maire de Virignin et de Pauline Godet, présidente de la Communauté de communes Bugey Sud. La centrale de 3,8 MWc a une emprise au sol de 4,6 hectares et produira annuellement l’équivalent de la consommation électrique de 1 900 personnes, soit près du double de celle des habitants de Virignin. Après le parc de Villebois, mis en service en avril 2019, il s’agit pour CNR de sa deuxième installation solaire dans le département, avec lequel l’énergéticien collabore depuis 90 ans, en particulier dans l’hydroélectricité. Au total, en valorisant l’énergie de l’eau et du soleil, les installations de CNR sur le Haut-Rhône permettent ainsi d’approvisionner annuellement 1,4 million d’habitants en électricité 100 % renouvelable.

Démarré en 2016, le projet de construction de la centrale de Virignin représente un investissement de 2,95 millions d’euros. Au total, 10 % du financement provient des riverains qui ont investi 305 000 € sur un total de 320 000 € collectés dans le cadre de la campagne de financement participatif mise en place par CNR et Enerfip entre avril et mai 2021. Cet engagement témoigne de la volonté des habitants de la communauté de commune Bugey Sud et des départements limitrophes d’être pleinement acteurs de la transition énergétique de leur territoire, en produisant une énergie locale, décarbonée et respectueuse du vivant.

https://www.pv-magazine.fr/2022/05/10/c ... dans-lain/

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TotalEnergies transforme un de ses anciens site industriel en centrale photovoltaïque sur la commune de Villers-Saint-Paul
le 13/05/2022

TotalEnergies inaugure, en présence des élus locaux, la centrale photovoltaïque de 13,2 MWc implantée sur les anciens bassins de lagunages qui ont servi de stockage interne pour la plate-forme chimique de Villers-Saint-Paul jusqu’en 1998.

Cette centrale photovoltaïque permet ainsi de valoriser un ancien site dégradé de RETIA incompatible avec des usages agricoles ou résidentiels. Préalablement, le site a fait l’objet d’une remise en état afin d’en permettre sa reconversion.

Constituée de près de 28 000 panneaux solaires couvrant une surface de 18 hectares, la centrale permettra de couvrir l’équivalent de la consommation électrique de 8 600 habitants et d’éviter le rejet de 3 900 tonnes de CO2 par an (référence Européenne).

Les projets photovoltaïques sont soumis à des études environnementales approfondies. Nous mettons tout en œuvre pour respecter les environnements faunistiques, végétaux et humains en limitant l’impact paysager notamment grâce à la plantation de haies.

Le choix technologique pour cette centrale s’est porté sur des structures fixes, sur fondation béton hors sol permettant de :

- Limiter les terrassements et les déblais,
- Ne pas percer la couverture de protection du massif de déchets,
- Faciliter la surveillance environnementale réalisée par RETIA.

Ce projet a fait l’objet d’un financement participatif auquel 282 investisseurs ont souscrit et qui a permis de collecter 1 200 000€. De plus, les retombées fiscales générées par la centrale photovoltaïque permettront à Villers-Saint-Paul et au Département de financer des projets structurants pour leur territoire.

« L’implantation de cette centrale photovoltaïque sur un de nos sites s’inscrit pleinement dans la stratégie de TotalEnergies de redonner vie à des terrains désormais inexploitables grâce aux expertises combinées de RETIA pour dépolluer les sols et de nos équipes pour développer, construire et exploiter des actifs de production d’électricité verte » a déclaré Alexandre Morin, Directeur Développement, TotalEnergies Renouvelables France.

https://www.euro-petrole.com/totalenerg ... -n-f-23875

Inauguration de la Centrale solaire Totalenergies
Mercredi 11 mai, le groupe Total énergies inaugurait la centrale solaire de Villers-Saint-Paul, le plus grand champ de panneaux photovoltaïques à ce jour dans l'Oise.



Située sur l'ancienne décharge industrielle que nous nommons à Villers, « le crassier », cette centrale solaire offre une nouvelle utilité à ce terrain abîmé par le passé, vers les nouveaux modes de production d’énergie.
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https://villers-saint-paul.fr/actualite ... al-nergies



La centrale photovoltaïque de Villers-St-Paul. Image : TotalEnergies

https://www.pv-magazine.fr/2022/05/20/t ... ndustriel/

une rangée d'arbres qui fait de l'ombre au parc ?

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Photovoltaïque : plan d'investissement "massif" de La Compagnie nationale du Rhône

AFP le 23 mai 2022

La Compagnie nationale du Rhône (CNR), qui se présente comme le premier producteur français d'énergie renouvelable, a annoncé lundi un programme de développement "massif" dans le photovoltaïque.

La CNR va ainsi investir un milliard d'euros "d'ici 2030 pour multiplier par sept" sa capacité installée, qui devrait passer de 150 à 1.000 MWc (mégawatt crête), a expliqué Laurence Borie-Bancel, présidente du directoire, lors d'une conférence de presse. Soit la consommation annuelle d'une population de 550.000 habitants

Détenue par Engie (49,97% du capital), la Caisse des Dépôts (33,20%) et des collectivités locales (16,33%), ce concessionnaire chargé de l'aménagement et de la valorisation du Rhône depuis sa création en 1933 assure un quart de la production hydroélectrique du pays, avec 19 centrales.

La CNR est aussi chargée de la navigation fluviale et de l'irrigation agricole dans le cadre de sa concession, récemment prolongée de 18 ans par le Parlement, jusqu'en 2041.

En phase avec ses projets, une entreprise dédiée au développement photovoltaïque, Solarhona, a été créée, avec au démarrage une vingtaine de salariés, entre Lyon et Montpellier.

Concrètement, deux tiers des capacités proviendraient de l'installation de panneaux sur des toitures ou sous la forme d'ombrières, et un tiers sur des terrains "dégradés, de petite taille, n'ayant pas d'utilité", a expliqué le président de Solarhona, Julien Marchal, également directeur des nouvelles énergies de CNR. Quelques "petits projets en solaire flottant sur des petits plans d'eau" sont aussi envisagés.

Pour la CNR, tous ces projets répondent à la "rareté du foncier" et seront menés en collaboration avec les "territoires, qui pourront s'associer à leur gouvernance dans des +sociétés de projet+". Sont ainsi visés les 47 EPCI (établissement public de coopération intercommunale) de la vallée du Rhône, mais aussi des entreprises. Solarhona leur reversera une partie des revenus générés.

Selon Mme Borie-Bancel, qui évoque un investissement "massif", "80 projets sont d'ores et déjà en développement". Ils devraient créer "600 emplois directs et indirects".

Le plus avancé concerne le partenariat avec le logisticien Skipper, au Pouzin (Ardèche), où environ 20.000 m2 de toiture de la plate-forme logistique vont être "solarisés" début 2023.

"Notre seuil minimum est de 1.000 m2, nous ne visons pas les particuliers", précise M. Marchal, qui, outre les toitures d'entreprises, considère aussi celles des "bâtiments publics et de hangars agricoles" ou "des parkings".

Pour les installations au sol, "les friches industrielles, les endroits de remblais ou les délaissés routiers" seraient appropriés. Sur ces surfaces, la CNR n'exclut pas d'installer des "panneaux verticaux bi-face", présentant l'avantage d'une double exposition, une technologie testée sur les berges du Rhône à Sablons (Isère).

https://www.connaissancedesenergies.org ... one-220523