Méthanisation / Biogaz

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Méthanor finance une unité de méthanisation agricole en Charente

Enerzine le 20 Aout 2013

La société Méthanor a annoncé début août un investissement de 725.000 euros dans l'unité de méthanisation agricole ACTIBIO à La Chapelle en Charente, où l'agriculteur porteur du projet depuis plus de 3 ans reste majoritaire au capital.
Ce projet dont l'investissement total se monte à plus de 3 millions d'euros, financé en partie par emprunt bancaire, n'a bénéficié d'aucune subvention. Il permettra de produire plus de 4.700 MWh d'électricité par an, soit l'équivalent de la consommation annuelle d'électricité de près de 1.100 foyers.

L'électricité produite sera revendue à EDF dans le cadre des objectifs du Grenelle de l'environnement et bénéficiera de tarifs de rachat garantis pendant 15 ans. Par ailleurs, la chaleur produite par le cogénérateur sera principalement utilisée pour sécher le digestat. Le digestat sera utilisé sous forme de compost et d'engrais naturel, permettant ainsi l'économie de 180 T d'engrais chimiques par an. Les principaux déchets agricoles introduits dans le méthaniseur sont constitués de résidus de céréales, de déchets agro-alimentaires et de CIVES.

Enfin, l'unité génèrera un emploi direct et une estimation de dix emplois indirects.

http://www.enerzine.com/12/16104+methan ... ente+.html

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Nouvelle manifestation contre la ferme industrielle des mille vaches

Le Monde.fr avec AFP | 29.09.2013

Environ 800 personnes ont manifesté dans le calme, samedi 28 septembre, contre le chantier de la ferme laitière dite des "mille vaches", près d'Abbeville dans la Somme, à l'appel de l'association d'opposants locaux Novissen – acronyme de "Nos villages se soucient de leur environnement ", qui compte quelque 2 000 adhérents.

"Comme il y a eu un moratoire sur le gaz de schiste, un moratoire sur les OGM à cause de la santé, on demande un moratoire sur l'élevage industriel en France", a déclaré son président, Michel Kfoury. "Et si le gouvernement veut de cet élevage, au moins, qu'il l'encadre par des lois", a-t-il revendiqué.

Un arrêté préfectoral a limité à 500 le nombre de vaches laitières, tant que la surface d'épandage des boues résiduelles ne serait pas suffisante. Mais les opposants estiment que les dimensions de cette "ferme usine" et du méthaniseur qui y est associé, n'ont pas été changées. Et que ce projet, financé pour plus de 11 millions d'euros par Michel Ramery, riche fondateur d'une entreprise de BTP, se soldera donc bien, à terme, par une ferme de 1 000 vaches – 1 750 bovins au total en comptant leus veaux et génisses.

LE "PLUS GROS MÉTHANISEUR D'EUROPE"

Cette ferme, qui est devenue un symbole de la contestation contre l'élevage industriel, est en rupture totale avec le modèle français d'élevage familial, qui compte en moyenne 50 à 80 bovins. La première traite du plus grand troupeau de France est prévue pour avril 2014.

Soutenus par la Confédération paysanne et plusieurs partis de gauche, les riverains dénoncent un projet "contre nature", et s'inquiètent en particulier du méthaniseur, "le plus gros d'Europe", et de ses incidences sur la santé des habitants proches. D'une puissance de 1,5 mégawatt, celui-ci doit produire du gaz naturel avec, notamment, le lisier et le fumier des animaux.

"Ce qui est important [pour les initieurs du projet], c'est de toucher des subventions et en réalité, c'est la méthanisation, le rachat de l'énergie, qui va lui permettre de gagner de l'argent. Tout son modèle est déséquilibré et malhonnête sur un plan durable", a déploré Pascal Durand, secrétaire national d'Europe écologie-Les Verts, présent sur place.

"DÉMESURÉE"

Des barrages de gendarmerie filtraient les accès au site en début d'après-midi, assistés d'un hélicoptère survolant la zone. Les manifestants, dont certains étaient déguisés en vaches, n'avaient à l'origine pas l'autorisation de se rendre sur le chantier proprement dit. Ils l'ont finalement obtenue auprès des gendarmes après s'être engagés à inspecter le site sans le dégrader.

"L'objectif, c'était une manifestation pacifique, et de montrer à ceux qui ne le connaissaient pas l'importance du chantier. Tous ceux qui sont là se sont rendu compte du côté débile de la taille de cette ferme. Démesurée", a commenté Marc Dupont, secrétaire de Novissen. Laurent Pinatel, porte-parole de la Confédération paysanne, a de son côté répété son inquiétude pour "les agricultures de petite taille" : "on va les mettre à mal avec des projets comme ça".

A la mi-septembre, des membres de la Confédération paysanne s'étaient introduits dans la nuit sur le chantier et avaient crevé les pneus de tracteurs afin de l'immobiliser temporairement, avant d'occuper, le lendemain, les locaux de l'entreprise Ramery, l'investisseur. "On a un projet qui est réglementaire, donc je ne comprends pas qu'on vienne manifester pour une cause nationale devant ma ferme", a réagi, samedi, Michel Welter, le responsable de l'exploitation.

http://www.lemonde.fr/planete/article/2 ... _3244.html

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suite de ce post de 2010 viewtopic.php?p=263272#p263272

L'incendie de l'incinérateur de Fos-sur-Mer sous contrôle

Les causes de l'incendie restent inconnues.

L'INFO. Un très important incendie s'est déclaré dans la nuit de vendredi à samedi à l'intérieur de l'incinérateur régional de Fos-sur-Mer dans les Bouches-du-Rhône. Personne n'a été blessé, aucun dégagement toxique ni évacuation de riverain n'ont été a déplorer.

Contenu mais pas maîtrisé. Le feu a pris entre 2h et 2h30 du matin, dans une enceinte fermée et non accessible au public, dans l'unité de méthanisation des déchets d'après Bérenger Saltel-Pongy, le responsable de la communication de la société Evéré qui exploite le site. Il est depuis contenu mais pas maîtrisé. Les flammes ont ravagé 10.000m2, soit la moitié du site, et notamment le centre de tri des déchets. Il n'a néanmoins pas touché l'unité de valorisation énergétique : le coeur de l'incinérateur.

Origine inconnue. Les causes de l'incendie restent inconnues. Les pompiers ont sur place plus d'une trentaine de véhicules et 130 hommes. Samedi matin, ils luttent contre la propagation du feu au coeur de l'installation.

160 personnes travaillent sur le site de cet incinérateur, exploité par une filiale de la société Urbaser et mis en service début 2010 après des années de polémique. Placé sous l'autorité de la Communauté urbaine de Marseille, il se trouve dans la zone industrielle de Fos-sur-Mer et traite les 300.000 tonnes annuelles d'ordures ménagères des 18 communes qui en font partie.

http://www.europe1.fr/Faits-divers/L-in ... e-1695231/

Fos-sur-Mer : l'incinérateur risque d'être hors service pendant plusieurs semaines
Le centre multi-filières de gestion et d'incinération des déchets à Fos-sur-Mer a été en grande partie détruit. Selon la communauté urbaine de Marseille (MPM) les déchets seront transférés vers deux centres d'enfouissement.
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http://provence-alpes.france3.fr/2013/1 ... 50321.html

[mobar]

Origine inconnue. Les causes de l'incendie restent inconnues. Les pompiers ont sur place plus d'une trentaine de véhicules et 130 hommes. Samedi matin, ils luttent contre la propagation du feu au coeur de l'installation.

L'enquête "considère la thèse d'un incendie d'origine volontaire comme la seule plausible",

http://www.actu-environnement.com/ae/ne ... 20222.php4
http://www.laprovence.com/article/actua ... tions.html

Le pastis de Marseille c'est ...

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Locminé (56) : une unité de méthanisation et 4 énergies 'vertes'

22 Janv 2014

L'extension du pôle d'énergie Ligerpôle à Locminé (56) adossée à une station de méthanisation de territoire n'est plus au stade de projet ; Le chantier remporté par un consortium** comprenant entre autres Armorgreen démarrera au premier trimestre 2014.

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C'est à la production de méthane, issu des ressources organiques du territoire, à laquelle s'attaque Locminé. Locminé est un bassin agroalimentaire à fort potentiel énergétique. Fin 2014, pour un budget de 11 millions d'euros, l'usine de méthanisation (1,6 MWe), produira son propre GNV (l'équivalent de 300.000 litres de gasoil/an) et son indépendance énergétique. Cette unité « fabrique » 4 énergies vertes, de la chaleur, de l'électricité, du GNV, et des bio-fertilisants, toutes issues du territoire.

Concrètement :

60 000 tonnes de matières organiques en provenance des usines et exploitations agricoles aux alentours seront utilisées par an, dans un rayon de 9 km. Déchets des usines agroalimentaires tels que le charcutier industriel Jean Floc'h, l'Union Fermière ou encore des abattoirs, mais aussi les lisiers de 10 exploitations, boues industrielles et déchets verts qui alimenteront l'unité de méthanisation. L'idée phare et innovante du projet ? Utiliser du biogaz GNV (gaz naturel véhicule) en carburant directement utilisable dans les bus, les véhicules, les camions bennes et aussi pour les voitures particulières, une station-service va être créée. Un moyen d'anticiper la réglementation sur la transition énergétique obligeant d'ici 2020 les collectivités à rouler aux carburants non fossiles pour 25 % de leurs véhicules.

LES PRINCIPAUX CHIFFRES :
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en entier : http://www.enerzine.com/12/16813+locmin ... rtes+.html

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EXPOBIOGAZ 2014 :
3 JOURS POUR EXPLORER LE POTENTIEL DE LA FILIERE BIOGAZ

Rendez-vous national et européen du biogaz, la 3ème édition du salon ExpoBiogaz se tiendra du 3 au 5 juin 2014 à Paris Expo Porte de Versailles.

Organisé par GL events Exhibitions en partenariat avec le Club Biogaz ATEE, ExpoBiogaz s’impose comme le lieu de rencontres privilégiées pour l’ensemble des acteurs de la filière biogaz.
Trois jours durant, sur plus de 3 000 m2, les 100 exposants attendus - fournisseurs du marché du biogaz, prescripteurs, installateurs, exploitants – et les visiteurs pourront participer au développement d’un secteur en mouvement, porté notamment par des mesures gouvernementales en faveur de la méthanisation. L’objectif d’ExpoBiogaz 2014 est donc clair : oeuvrer pour faciliter l’aboutissement des projets et être catalyseur de rencontres entre porteurs de projets et fournisseurs de solutions.

Quatre secteurs au carrefour des usages biogaz

En 2014, les exposants d’ExpoBiogaz seront répartis en 4 secteurs :

- biométhane : injection & GNV/GNL ;
- petite méthanisation & cogénération ;
- solutions clé en main ;
- services : analyses, sécurité.

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lire ici : http://www.expo-biogaz.com/uploads/sfSy ... 45dce1.pdf

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Le centre de biométhanisation du Calaisis reconduit Urbaser Environnement

06 Fev 2014 enerzine

Urbaser Environnement a annoncé mardi le renouvellement du contrat d'exploitation du centre de biométhanisation des biodéchets du Syndicat d'Elimination et de Valorisation des Déchets du Calaisis – Sevadec (62), au travers de sa filiale Octeva.

Claude Saint-Joly, Directeur général d'Urbaser Environnement et Président d'Octeva, s'est félicité du renouvellement de ce contrat estimé à plus de 6 millions d'euros sur une durée de 5 ans et qui constitue la référence en France sur la méthanisation industrielle des biodéchets issus de déchets ménagers.

Fort de son expérience dans la méthanisation, Octeva a su se différencier en apportant de la valeur au traitement des biodéchets. Elle a construit sa proposition avec l'objectif de pérenniser l'outil de traitement et de valorisation des biodéchets à la suite des cinq premières années d'exploitation, tout en faisant bénéficier le Sevadec des perfectionnements issus de l'ensemble des retours d'exploitation des sociétés constituant l'actionnariat d'Octeva. En particulier, des améliorations ont été apportées à l'optimisation de la production d'électricité et à la réduction du volume des jus excédentaires et du tonnage des refus d'affinage.

L'usine traite actuellement 28.000 t/an de biodéchets dont 1.000 t/an de graisses. Le nouveau contrat démarrera le 1er avril 2014. La continuité de service des installations est assurée par un effectif de 11 personnes hautement qualifiées.

L'optimisation des performances de cette usine de biométhanisation a permis de produire en 2013, 4.720 MWh/an d'électricité revendue à EDF et 17.400 t/an de compost NFU 44-051.

http://www.enerzine.com/6/16892+le-cent ... ment+.html

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La Région IDF veut augmenter sensiblement la part de la méthanisation

La Vice-présidente écologiste Corinne Rufet a fait adopter un plan visant à développer l'usage des énergies renouvelables et à augmenter la part de la méthanisation dans ces énergies alternatives sur la Région Ile-de-France.

La Région IDF apportera ainsi son soutien technique et financier à la création d'installations de méthanisation et présentera une animation territoriale à l'échelle régionale

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Des unités de méthanisation existent déjà. Solagro en a identifié 35 en Ile-de-France. Onze en fonctionnement (9 sont des stations d'épuration) et 24 à l'état de projets. Entre la collecte des déchets, la conception des unités, la valorisation du biogaz, cette filière pourrait créer 600 postes à l'horizon 2025.

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en entier : http://www.enerzine.com/12/16953+la-reg ... tion+.html

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La Bretagne aide au montage d'opérations groupées d'unités de méthanisation (enerzine 05/03/2014)

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Eneria lance le chantier de la plus importante unité de méthanisation française

Usine Nouvell le 18 mars 2014,

Eneria, filiale du groupe Monneyeur, vient de donner le coup d’envoi au chantier de Méthalandes, sur la commune landaise de Hagetmau, qui sera, au moment de sa mise en service, la plus grosse unité de méthanisation en France.

Le projet a été rondement mené. Dans le domaine de la méthanisation, où les projets mettent en moyenne 7 à 8 ans à sortir de terre, celui-ci fait presque figure d’exception. A peine quatre ans après les premiers contacts, le groupe Monnoyeur, via sa filiale Eneria, - dont l’agence Sud-Ouest est basée à Saint-Orens-de-Gameville, dans l’agglomération toulousaine (Haute-Garonne), lance le chantier de Méthalandes, sur la commune de Hagetmau, dans les Landes.

L'investissement, estimé à 25 millions d’euros,

http://www.usinenouvelle.com/article/en ... se.N249152

sur le site de ENERIA

La plus importante unité de méthanisation de France

Le projet : Produire de l’énergie et de l’engrais organique à partir de lisier de canard
Projet d’envergure pour le Groupe Monnoyeur et Eneria, sa filiale énergie, Méthalandes est appelé à devenir une référence voire un centre de formation. Référence du savoir-faire, de l’utilisation de technologies inédites en France sur la méthanisation.

A terme, l’unité de méthanisation, située à Hagetmau (40) dans les Landes, permettra de :

- Produire 1 650 m3/h de biogaz générant une production annuelle d’électricité estimée à 37 800 000 kilowatts/heure. Cette production injectée sur le réseau de distribution public, issue d’un processus de méthanisation représente la consommation annuelle de plus de 30 000 personnes,
- Proposer une solution, écologique, au traitement des déchets des industries agro-alimentaires et pérenniser ainsi les plus petits élevages (qui pourraient manquer de terres pour l’épandage),
- Contribuer à la qualité des sols et de l’eau,
- Produire un engrais organique inodore se substituant aux engrais d’origine chimique. C’est la chaleur issue des groupes électrogènes qui permettra de sécher les digestats et de les transformer ainsi.

La mise en marche d’un tel projet est possible grâce au soutien des élus, notamment des maires et des élus de communautés de communes.

http://www.eneria-ren.com/references/me ... anisation/

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Méthanisation agricole : un autre chemin vers la transition énergétique

14 Mai 2014

La méthanisation qui permet de transformer les déchets et les matières organiques en fertilisant et en énergie représente selon l'ADEME une solution d'avenir, capable de faciliter la transition énergétique et écologique de notre société.
En forte croissance dans le secteur agricole, elle présente à la fois un réel potentiel pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et ouvre de nouveaux débouchés économiques.

Objectif : 1 000 unités de méthanisation en 2020, en grande partie agricoles

La méthanisation agricole connaît une forte croissance. Alors que l'on ne recensait en France, en 2008, que quelques installations, 160 unités de méthanisation agricole sont aujourd'hui en fonctionnement avec une capacité de production de 350 GWh d'électricité et 500 GWh de chaleur, soit l'équivalent de la consommation en chauffage de 35.000 foyers.

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la suite : http://www.enerzine.com/12/17273+methan ... ique+.html

[mobar]

Entre le potentiel et la réalité il y a parfois une marge, la maitrise des gisements
Va t'on s'orienter, comme en allemagne, vers la culture industrielle de maïs pour nourrir les bactéries méthanogènes des méthanisations agricoles surdimensionnées?

http://www.ouest-france.fr/methanisatio ... le-2539100
http://www.apli-nationale.org/wp/revue- ... -mai-2014/
http://www.actu-environnement.com/ae/ne ... 21647.php4
http://www.actu-environnement.com/ae/ne ... 17734.php4

et le bilan de l'ADEME
http://www2.ademe.fr/servlet/doc?id=90928

[akochan]

Les français ne feront pas différemment des allemands. Les gros problème, c'est l'approvisionnement et donc la rentabilité des méthaniseurs. Avec l'ensilage de maïs on assure une régularité de l'approvisionnement et surtout une régularité de là production. En lisant plusieurs articles dans des journaux agricoles, le maïs commence à monter comme carburant pour les methaniseurs.
C'est là ou on se rend compte que nos déchets vont prendre de la valeur.
Comme dans le solaire, l'éolien, les methaniseurs tournent aux subventions par notamment le rachat de l'electricité à un prix exorbitant pour le consommateur. C'est le prix à payer pour la transition énergétique.

[mobar]

Les français ne feront pas différemment des allemands. Les gros problème, c'est l'approvisionnement et donc la rentabilité des méthaniseurs. Avec l'ensilage de maïs on assure une régularité de l'approvisionnement et surtout une régularité de là production. En lisant plusieurs articles dans des journaux agricoles, le maïs commence à monter comme carburant pour les methaniseurs.
C'est là ou on se rend compte que nos déchets vont prendre de la valeur.
Comme dans le solaire, l'éolien, les methaniseurs tournent aux subventions par notamment le rachat de l'electricité à un prix exorbitant pour le consommateur. C'est le prix à payer pour la transition énergétique.

C'est surtout le prix à payer pour un manque de préparation et des hypothèses non-validées et vérifiées de disponibilités de gisement

L'ingénierie des projets agricoles est généralement confiée au fournisseurs fabricants de techno qui n'ont aucun intérêt à dimensionner de façon sécuritaire, ils se basent sur les données des agriculteurs et d'apporteurs externes souvent sollicités sur plusieurs projets. Faut pas s'étonner qu'ils puissent faire défaut ou cherchent à faire monter les prix
D'autre part comme les agriculteurs sont réticents à s'engager pour offrir des appro à prix garanti sur de longue période les prix montent et les installations sont sous alimentées ou sur dimensionnées

Bilan des courses : la situation allemande (que l'on souhaitais éviter en France) se profile à l'horizon comme la seule alternative pour éviter la faillite de nombreuses installations

Il resterait une autre solution, se serait de faire payer au consommateur d'électricité ou de biométhane le vrai prix de l'énergie, mais pour ça il faudrait un capitaine mais pas de pédalo!

[akochan]

Les prix garantis sur plusieurs années il ne faut pas y compter à moins que ceux ci soient très élevé. A deux kilomètre de chez moi un gros projet de méthanisation collective se met en place. Jusqu'ici je meytais ma paille à un éleveur en echange de fumier. S'il met le fumier dans le composteur je n'aurais plus de fumier en echange de ma paille donc je pense que je vais enclancher le broyeur derriere ma machine et remplacer cela par des engrais chimiqurs importé. C'est un exemple concret.
Je me fourni depuis plusieurs années en compost en provenance des elevages industreiels de belgique et hollande et il semble avoir des projets similaires. Il est clair que désormais si je ne peut plus avoir de compost pour mes terres la paille sera broyée pour garder la matiere organique laus qui dit plus de paille dit plus de compost iu alors retour de l ekevage industriel sur caillbotis. Je vois d'un tres mauvais oeil la construction de ces méthaniseurs basés sur le fumier et je pense que c'est aussi une des raison pour lesquels lrs allemanfd sont passés presqu'integralement au maïs. On ne peut pas d'un côté nous demander d'amender nos terres avec des effluents locaux quand c'est possible et nous les enlever par la suite. C'est vrai que l'on commence seulement en france à se poser des questions sur la problematique de l'approvisionnement alors que les allemands on presque 20 ans de recul sur nous. (Desole pour l'orthographe. Ecrit sur mon smartphone).