Hé! Merci ça fesait un petit bout de temps que je cherchais les infos sur ça. Grâce à toi j'ai réunis le dernier item de ma listye de technologie de l'après pic.Roland a écrit :Fabrique ton savon :
http://operasavon.free.fr/fabrication.htm

Merci
Modérateurs : Rod, Modérateurs
Hé! Merci ça fesait un petit bout de temps que je cherchais les infos sur ça. Grâce à toi j'ai réunis le dernier item de ma listye de technologie de l'après pic.Roland a écrit :Fabrique ton savon :
http://operasavon.free.fr/fabrication.htm
ben oui mais les occupations et les activités (il n'y a pas de travail) sont différentes en "autarcie"...En periode de moisson compter plus 12 heures que 4.
du post-effondrement, faudrait-il dire...parce que si on a juste un pic pétrolier, avec décroissance de la consommation de pétrole et une société qui se tient à peu près, on a pas besoin forcément de vivre en autonomie.Hé! Merci ça fesait un petit bout de temps que je cherchais les infos sur ça. Grâce à toi j'ai réunis le dernier item de ma listye de technologie de l'après pic.
Je me suis dit que c'était peut-être le bon endroit. C'est aussi une interpellation vis-à-vis de Geispe pour savoir ce qu'il pense de l'opinion figurant ci-dessous. En effet, Geispe nous parle souvent des nombreuses avancées de l'après-pétrole telle que : "moins de maladies, de stress, redécouverte du lien social, etc." , mais aussi de l'interêt qu'il y a à travailler la terre.lingane a écrit : constat : bientôt plus de pétrole.
solution : habitation à la campagne de préférence sur un sol moyen+ fertile, avec cours d'eau à proximité (en option)
Vous voyez qui c'est ? Allez, je vous laisse chercher un peu...La vie "naturelle" rêvée par beaucoup (pas par moi tout le premier) ne préserve pas du cancer. Ni de la lèpre, ni du choléra, ni de la grippe. Dans la nature, tout le monde vit, tout le monde bouffe. Le microbe aussi. Une vie préservée des traumatismes et des pollutions de la vie citadine actuelle donnerait des statistiques un peu moins pessimistes en ce qui concerne certaines maladies spectaculaires (infarctus, névroses, cancer, tuberculose - encore n'est-ce pas tellement certain pour ces deux dernières), mais en tout cas elle n'en guérirait aucune.
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Les communautés rurales, moi je veux bien. Faut aimer. Cultiver la terre est, à mon sens, un des plus chiants métiers qui soit. J'en ai fait pas mal, des métiers, des chiants, des pas chiants, des fins, des épais, des sales, des biens convenables. La terre, c'est bien le plus con. La paix de l'âme ? Tous les boulots de la terre sont machinaux. Tu parles si tu gamberge dans la métachoucroute quand, le cul en l'air, tu repiques trois hectares de patates ! Aussi chiant que la putain d'usine où on m'avait collé devant une presse à emboutir. Enorme. Dix mille pièces par jour, fallait sortir.
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Je voulais vous dire que se faire chier le cul en l'air sur la glèbe et, le soir causer de choses chiantes avec des voisins chiants, ça ne me tente pas tellement, tellement...
Et bien voilà, bravo, le premier a donner une réponse à gagné (même s'il a un peu triché en donnant trois noms) : c'est bien sûr François Cavanna, dans un recueil des éditoriaux qu'il a publié dans le Charlie-Hebdo de la grande époque (1969-81). C'est publié aux éditions Hoëbeke (mais non, pas Houellebecq !!!) et je vous le recommande. Ceci dit, je doute tout de même que Beigbeider ait un jour travaillé en usine, non ? Or c'est bien arrivé à Cavanna, et dans la presse à embouteiller en question, il y a perdu un index.diego a écrit :Trois propositions Bernard Werber, François Cavanna, Frédéric beigbeider.
Ah parce que tu comptes t'y prendre comment pour faire faire le boulot par d'autres ?komo_625 a écrit :si vous vous comptez effectuer une reconversion visant à l'obtention d'une autonomie alimentaire à la campagne. Quid de la pénibilité ? Du caractère répétitif de la chose ? De la somme de travail à envisager ? Et concernant les maladies, j'ai toujours dit que la disparition d'e la médecine moderne nous ramènera des fléaux oubliés (tétanos, diphtérie et choléra, entre autres)...
Hmm, l'hypothèse du retour à la terre brutal pour la quasi-totalité de la population et dans un laps de temps relativement bref n'est que cela : une hypothèse parmi d'autres. Il y en a bien d'autres qui ont été émises ici et là sur d'autres fils, avec en particularité la possibilité que subsistent encore longtemps des villes (réduites en taille) et donc des citadins. Ce dont je parle ici, c'est dans le droit fil de la discussion du départ, finalement. Si vous voulez assurer votre autonomie alimentaire ici et maintenant, c'est tout de suite que vous allez être confrontés au problème ! Maintenant, si l'hypothèse de Geispe se confirme, ben je ferais comme tout le monde ! Enfin si je survis à la période de transitionGlycogène a écrit :Ah parce que tu comptes t'y prendre comment pour faire faire le boulot par d'autres ?komo_625 a écrit : si vous vous comptez effectuer une reconversion visant à l'obtention d'une autonomie alimentaire à la campagne. Quid de la pénibilité ? Du caractère répétitif de la chose ? De la somme de travail à envisager ? Et concernant les maladies, j'ai toujours dit que la disparition d'e la médecine moderne nous ramènera des fléaux oubliés (tétanos, diphtérie et choléra, entre autres)...
Tutafait ! Et alors, tu vis la chose comment, si c'est déjà commencé ?Glycogène a écrit : Et ouais, faudra mettre les pieds dans la bouse !
Tu as des exemples ? Ou bien peut-être en a-t-on déjà parlé sur un autre fil ? il me semble.Glycogène a écrit : Mais il n'est pas nécessaire de faire de l'agriculture industrielle et donc répètitive. D'autres mode d'agriculture ne stimulent pas moins l'intelect que certains de nos métiers du tertiaire d'aujourd'hui, il y a moyen de ne pas s'emmerder, par contre faudra apprendre à se servir de ses mains.
Et les nitrates, les nitrites ? Ça reste combien de temps dans le sol, ces choses là ? Parce que de nombreuses nappes sont déjà polluées. Et sans stations d'épurations...Glycogène a écrit : Pour les maladies que tu cites, on sait les faire reculer par des mesures d'hygiène simples, sans produit issu du pétrole mais en étant assez nourri et avec un accès à l'eau potable, ce qui pourrait bien manquer si la recherche des dernieres gouttes de pétrole et du charbon en ont pollué une partie.
Je ne pensais pas à un retour brutal, il y aura du pétrole pour 30 ans, mais plus beaucoup pour l'agriculture: la proportion de citadins devra se réduire de plus en plus. A terme il y aura beaucoup plus de ruraux. Mais peut être que je ne verrai pas ce moment là si c'est après 2050, ou peut être que ce sera dès 2015.komo_625 a écrit :Hmm, l'hypothèse du retour à la terre brutal pour la quasi-totalité de la population et dans un laps de temps relativement bref n'est que cela : une hypothèse parmi d'autres. Il y en a bien d'autres qui ont été émises ici et là sur d'autres fils, avec en particularité la possibilité que subsistent encore longtemps des villes (réduites en taille) et donc des citadins. Ce dont je parle ici, c'est dans le droit fil de la discussion du départ, finalement. Si vous voulez assurer votre autonomie alimentaire ici et maintenant, c'est tout de suite que vous allez être confrontés au problème !
En effet d'autres agricultures ont été évoquées dans des discussions de la rubrique "Décroissance pratique". Mais même sans les connaitres, juste en inventant et en essayant d'autre solutions qui ne recèlent pas les défaut de l'agriculture conventionnelle d'aujourd'hui, il y a moyen de bien s'occuper l'esprit !komo_625 a écrit :Tu as des exemples ? Ou bien peut-être en a-t-on déjà parlé sur un autre fil ? il me semble.
déjà est-ce sûr ? le futur ne sera pas le retour du passé. Et àEt concernant les maladies, j'ai toujours dit que la disparition d'e la médecine moderne nous ramènera des fléaux oubliés (tétanos, diphtérie et choléra, entre autres)...
Pessimiste!Glycogène a écrit :Je ne pensais pas à un retour brutal, il y aura du pétrole pour 30 ans,
C'est marrant, moi je dirais le contraire : comme on ne va pas jeûner pour rouler en voiture, l'agriculture sera certainement le poste prioritaire (avec les force de l'ordre pour soutenir l'état)Glycogène a écrit : mais plus beaucoup pour l'agriculture: la proportion de citadins devra se réduire de plus en plus.
Est-ce si sûr?Geispe a écrit :déjà est-ce sûr ? le futur ne sera pas le retour du passé. Et àEt concernant les maladies, j'ai toujours dit que la disparition d'e la médecine moderne nous ramènera des fléaux oubliés (tétanos, diphtérie et choléra, entre autres)...
présent ces maladies nous savons comment elles fonctionnent et comment les enrayer. Le futur ne sera pas plus le paradis que ne l'est le présent : mais il sera quand même plus raisonnable... il faudra par contre toujours savoir réagir... Mais nous disposons d'un atout que n'avaient pas les anciens : le savoir scientifique du monde moderne. Avec çà on peut très bien se débrouiller.
je pense que les savoirs indispensables se transmettent sans problème. Si un savoir ne se transmet pas c'est parce qu'on ne l'a pas utilisé et donc qu'on n'en a pas vraiment besoin... je pense de même qu'un savoir disparu et dont on a besoin... réapparaît rapidement.On perdrait nos moyens technologiques, notre société et on garderait le savoir? N'oublie pas qu'il faut le transmettre à chaque génération... et sans les moyens modernes qui facilitent la compréhension des phénomènes subtils du monde.
On a déjà oublié jusqu'à l'écriture lors d'une telle chute de civilisation (les âges obscurs en Grèce), et en général on perd beaucoup de savoir rapidement (cf le Moyen Age)