Non, c'est toi qui divise en le monde en deux. Je n'ait jamais dit cela. C'est beaucoup plus complexe.Deun a écrit : Si je comprends bien il y a des gens méritant qui bossent vraiment, et d'autres qui... on connaît le discours.
Oui et alors ? Il me semble que l'un problème du capitaliste, c'est que l'employé ne peut pas faire la même chose au patron à cause de la peur du chomage.Deun a écrit : Si celui qui te paie comprend ton boulot, alors il peut l'évaluer, puis le normer, puis le comparer à d'autres, puis rendre n'importe quel travailleur interchangeable avec un autre. On obtient ainsi un marché de main-d'oeuvre aussi liquide qu'une bourse aux actions.
Que le patron licencie quelqu'un qui fait mal son travail ne me dérange pas, qu'un employé soit obligé de rester chez un mauvais patron par peur du chomage par contre oui.
La patron a toute les cartes, l'employé aucune.
Par exemple, s'il existait, à coté du capitalisme, un société d'état ou tout employé pourrait trouver refuge en permanence (ou il aurait la possibilité de travailler ce qui est nécéssaire pour gagner de quoi vivre honnetement) alors la le patron aurait beaucoup plus de mal a l'éxploiter.
Ne te trompe pas, je ne suis ni capitaliste, ni communiste, ni anarchiste, mais les trois à la fois. Chacun des trois m'a enrichie en m'apportant une vision différente. Chacun correspond à des individus différents. C'est en voulant imposer un modele unique que l'on forme les dictature car on en vient nécéssairement à réprimer ceux qui sont en désaccord avec le modele que l'on a choisi. (En tout cas, c'est mon opinion de petit con).