vrai que je ne suis pas très optimiste de ce côté làJe ne comprends pas pourquoi vous visioner tellement une societe ou il n'y a pas de technologie

le problème premier sera la nourriture : si on ne s'organise pas tout de suite il n'y en aura plus une fois que tout a été pillé et en plus il risque d'y avoir du gaspillage car une fois pillé le grain p.ex. ne se conserve pas n'importe comment... et là il n'y a aucune aide à attendre de personne et de nulle part. ( la Nouvelle Orléans c'est différent les pillages se font parce qu'il y a des biens qui ont une valeur au marché noir par la suite, ou parce qu'on profite de la situation pour s'offrir quelque chose qu'on ne peut pas acheter...)Pour ce qui est de la violence, la situation de la nouvelle Orleans est caracteristique.
Après çà dépend à quel moment on se trouve pour savoir s'il y a et quand des nouvelles récoltes...
J'ai bien entendu aussi dans mes scénarios réfléchi au problème du pillage : comme je viens de le dire si pillage et violence il y a il ne restera plus rien à manger ensuite donc c'est la famine assurée.
La seule solution - extrême - que j'ai trouvée c'est d'être individuellement habitué à jeûner et être habitué à survivre dans la nature en se cachant et en mangeant des plantes, des écorces et des racines... On peut tenir ainsi plusieurs semaines, voire des mois : pendant ce temps les autres sont morts de faim et on aura la paix en ressortant de sa cachette.
Mais j'espère quand même qu'on n'en arrivera pas à ce genre de scénario macabre.
Là je suis d'accord bien sûr : je pense qu'on ne s'en sortira que si l'on retrousse les manches ensemble, et qu'on s'entend. Et je pense aussi qu'au début il faudra passer par des rationnements très sévères : ce sera notre cure de désintoxicationJe ne pensais pas a 5ha pour ma petite pomme, mes pour ma famille proche et eloigne, ainsi que les amis. La bonne question, serait combien de personne peuvent vivre avec 5 ha? Pour ma part, je pense deja communauter.

Ensuite combien sur 5ha c'est difficile à dire car très extensible selon le savoir-faire et la qualité de le terre. Je préfère dire "il faudra que çà suffise". Je pense aussi que nous serons moins gourmands en l'absence d'incitateurs à la boulimie comme le sucre, le café, le chocolat : un Tibétain peut s'en sortir avec un ou deux bols de tsampa par jour en bossant dur et dans des conditions de climat autres que chez nous... Alors je me dis qu'on a de la marge.