DominiqueBoscher a écrit :
Lorsque nos décideurs constatent que les cerveaux et les capitaux s'évadent vers d'autres horizons plus favorables, on ne peut leur reprocher de tenter de mettre en place des solutions pour conserver les acteurs les plus influents sur notre économie...
Dominique, avec ton expérience de la vie et ayant trainé tes basques sur Oleocene, tu me confonds par ta posture ... naïve ...

Bon, ce n'est pas le sujet, mais quand même :
Ne trouves tu pas ridicule de soit disant courir après quelques portefeuilles partis dans des pays qui prélèvent presque 0% d'impôts alors que le gouvernement leur promet un bouclier fiscal à 50 % d'impôts ?
Un sondage des exilés fiscaux en Belgique ou en Suisse te répondra vite sur la question : rien à faire des mesures de Sarkozy, pourquoi payer 50% d'impôt lorsque l'on en paye pratiquement pas !
J'ai du mal à croire que tu crois encore à cette fable pour ado boutonneux, du même genre que la démocratie en Irak amenée généreusement par les américains.
Ce qui me motivait lorsque j'ai cité cela, c'est que le cadeau fiscal (à des propriétaires qui ont eu le "malheur" de voir leur capital immobilier exploser) doit être compensé par de la croissance, suivant les dires du Ministre de l'économie. Génial, le PO va te balayer cet argument de blaireaux lobotomisés par une puce RFID fissa. Avec la déplétion du pétrole, je n'imagine même pas l'indice de croissance officiel que le ministre osera nous communiquer ...
Je n'attends pas d'un gouvernement qu'il court soit disant derrière Johnny en prenant des décisions dogmatiques, mais qu'il gère la transition énergétique correctement. Le pire, c'est que le cadeau fiscal va mettre en confiance ceux qui n'ont jamais voulu partir : "Chérie, ton petit 4x4 est un peu petit, tu ne veux pas le gros 4x4 qui vient de sortir, c'est cadeaux (de Sarko) !"

Etape n°1 : Les africains nomment le pétrole : la "merde" du diable.
Etape n°2 : Restons cool, le
PO arrive...
Etape n°3 : "Mais à cet endroit, en ce moment, l'humanité, c'est nous, que cela nous plaise ou non", Samuel Beckett