Je n’ai pas lu l’article e JMJ, ça ne m’empêche pas de la ramener. J’ai lu la synthèse des idées dans vos posts.
Depuis que vous avez eu la courtoisie de me recevoir parmi vous, je constate que le vrai casse-tête de la survie c’est la nourriture et l’eau, l’énergie sera le déclencheur. Tant qu’il y aura du gaz dans la planète, la pollution augmentera. Les flatulences de la vache me déculpabilisent mais je ne vais pas risquer le malaise vagal pour claquer avant de voir les conséquences de la disparition du pétrole. Il sera toujours temps de se supprimer après. J’avais pensé au suicide par suppositoires mais il parait qu’au bout de la dixième boites on trouve que la vie vaut le coup d’être vécue, finalement.
Un steak de viande rouge contient environ 70% de toxines, et juste un tout petit peu d'éléments nutritifs.
Une partie des toxines va dans le corps, accélère le vieillissement des cellules, et seulement une infime partie des éléments nutritifs est utilisée. (Plus on vieilli, moins l'organisme est capable de synthétiser les éléments nutritifs).
Ce n’est pas une grosse perte de ne plus manger de viande.
D’une manière générale les prospectives c’est comme la météo. Facile de prévoir le temps dans les deux heures à venir mais à quinze jours, on est dans les choux.
Alors prévoir à 43 ans… je peux seulement avancer que ça sentira le sapin ou déjà la racine de pissenlit
Il y a déjà eu des précédents aux USA pendant une pénurie ou le plein d’essence s’est réglé à coups de flingue. Je serais ennuyé d’être agressé en sortant de l’épicerie pour un paquet de nouilles au blé de synthèse.
Le riz et le thé vont me manquer mais une petite pâte vitaminée c’est pratique. Pas de vaisselle, pas de temps perdu et c’est facile à transporter. Il y aura bien des traditionnalistes, "bon vin bonne chaire et bon cancer" pour bondir, mais au rythme où vont les choses ils vont garder leur énergie au lieu de faire des bonds.
