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NEW YORK (AP) — La situation en Libye continue à faire monter les cours du pétrole brut: le baril a franchi mercredi la barre des 110 dollars à Londres et, pour la première fois depuis octobre 2008, celle des 100 dollars à New York.
A Londres, le baril de Brent de la Mer du Nord a gagné 4,74 dollars (4,5 à 110,52 dollars. A New York, le brut pour livraison en avril progressait de 4,59 dollars à 100,01 dollars le baril en cours de séance.
La Libye, 17e producteur mondial de pétrole, représente environ 2% de la production mondiale. Le pays possède les premières réserves connues de pétrole en Afrique. Trois grandes compagnies pétrolières, l'italienne ENI, la norvégienne Statoil et la britannique BP ont déjà annoncé qu'elles retiraient certains employés de Libye ou se préparaient à le faire. APLe 16 mai 2010, Aerobar a écrit :Nous repoussons notre pari au 8/3/11
Il semblerait donc que j'ai gagnéLe baril de pétrole franchit les 100 dollars à New York
La situation en Libye continue à faire monter les cours du pétrole brut: le baril a franchi mercredi la barre des 110 dollars à Londres et, pour la première fois depuis octobre 2008, celle des 100 dollars à New York.
A Londres, le baril de Brent de la Mer du Nord a gagné 4,74 dollars (4,5%) à 110,52 dollars. A New York, le brut pour livraison en avril progressait de 4,59 dollars à 100,01 dollars le baril en cours de séance.
je suppose que le jeu des 150 $ va bientôt arriver ? le baril va-t-il arriver cette fois à franchir cette barre avant la nouvelle implosion économique ... ??Oui, oui, bon faut relativiser aussi la victoire.GillesH38 a écrit :bravo Aerobar
C'est scandaleux en effet.phyvette a écrit :Oui, oui, bon faut relativiser aussi la victoire.GillesH38 a écrit :bravo Aerobar
Quand on sait comment Aerobar a déterminé cette date pour le passage à 100.
Aerobar a écrit :Il n' a jamais été précisé s'il s'agissait du WTI ou du Brent. On va mettre tout le monde d'accord en disant que c'est le premier des deux qui franchit les seuils des $100, $90 (gel des paris) et $85 (dégel des paris).
le baril va-t-il arriver cette fois à franchir cette barre avant la nouvelle implosion économique ... ?
oooouups ! Aerobar pris au piège de ses déclarations comme un vulgaire homme politique !gritche a écrit :Aerobar a écrit :Il n' a jamais été précisé s'il s'agissait du WTI ou du Brent. On va mettre tout le monde d'accord en disant que c'est le premier des deux qui franchit les seuils des $100, $90 (gel des paris) et $85 (dégel des paris).
alors le Brent il l'avait passé quand? c'est qui le vrai vainqueur ?
le pic, c'est pas que le baril atteigne 200 ou 300 $, c'est que la production pique. Ce sont les récessions qui font baisser la consommation, donc elles sont obligatoirement associées au pic - ceux qui prévoyaient plusieurs centaines de $ pour le baril ont juste surestimé les capacités de la société à supporter un prix élevé, elle craque avant, simplement. Ca explique aussi pourquoi le raisonnement terraplatiste "si les prix sont élevés, ça ouvre plein de nouvelles réserves, les substituts CTL, etc.. deviennent rentables" ne marchent pas : le prix ne reste jamais DURABLEMENT elevé, une fois qu'il a fait son boulot de provoquer une récession, il s'effondre à nouveau.
seule interrogation importante, si c'est en dessous, le peak n'existera en fait jamais.
En accord, mais j'ai une nuance, si tu veux bien : la déplétion, si elle commence à être rapide, mais maintenir un prix croissant. La spéculation fera "toujours" ses zigzags, mais il n'en restera pas moins une tendance de fond. Je mets toujours entre guillemet, car il peut y avoir, à force d'exaspération du yoyo, un accord sur le prix, sortant le baril de pétrole de la bourse.GillesH38 a écrit :ceux qui prévoyaient plusieurs centaines de $ pour le baril ont juste surestimé les capacités de la société à supporter un prix élevé, elle craque avant, simplement. Ca explique aussi pourquoi le raisonnement terraplatiste "si les prix sont élevés, ça ouvre plein de nouvelles réserves, les substituts CTL, etc.. deviennent rentables" ne marchent pas : le prix ne reste jamais DURABLEMENT elevé, une fois qu'il a fait son boulot de provoquer une récession, il s'effondre à nouveau.
