euh... la question n'attendait pas une réponse par oui ou non

oui mais la Chine c'est tout un continent, Pékin est aussi loin de Hong Kong que Stockholm d'Alger, voire plus (j'ai pas vérifié), et les centrales à charbon sont construites partout (et pas pour se chauffer, pour se chauffer, il vaut mieux directement mettre le charbon dans le poêle).J'ai pris Pékin, -2,7°C en moyenne en janvier
climat de Hong Kong, proche du delta de la rivière des perles, où se concentre une grande partie de l'appareil industriel chinois :subtropical . 20°C en saison sèche et 30°C en saison humide.
https://www.partir.com/Hong-kong/quand-partir.html
une autre explication ?
c'est toujours pas ce qu'a l'air de penser Jeudi, il a l'air de penser que ça ne posera pas de problème, le moment venu, on trouvera, sans toucher à la croissance ...(si je l'ai bien compris).Il y a peut-être une solution avec les ENR qui produisent à la demande, mais c'est bien plus cher et couteux, mieux vaut s'apdater et se mettre en partie en phase avec la production (c'est déjà ce qu'on fait, à une échelle beaucoup plus restreinte, en s'embêtant à programmer des millions de chauffe-eau électrique domestiques en heure creuses).Sur le déphasage Nemo a très bien répondu. C'est sûr que si on veut appliquer trait pour trait le modèle de l'économie occidentale comme on le con-nait, chez nous dans le futur, ou ailleurs dans le monde, il n'y a pas de solution avec des ENR
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ah bon ? qu'est ce que ça a de "sur" ? Jeudi a l'air persuadé du contraire. L'un comme l'autre, sur quoi fondez vous vos "certitudes" (opposées ) ?
il y a un raisonnement derrière ou c'est juste un combat de "wishful thinking" ?
En fait, on ne peut pas dire où est l'optimum économique pour le moment entre adaptation des consommateurs et investissement pour fiabilité de la production, on le connaitra en temps voulu.
oui et ? le cerveau a aussi besoin d'énergie et il meurt quand il n'en a plus, comme les algues et comme tout le reste.une différence , normalement, entre algue et humains, c'est un cerveau avec capacité d'abstraction.qu'on agisse comme des hommes ou comme des algues, on brule toujours des ressources énergétiques à ma connaissance, et donc tout dépend de savoir si ces ressources se renouvellent ou pas et à quel rythme. je ne vois pas en quoi être un homme plutot qu'une algue change ce fait.
Cette capacité a servi à faire d'abord des outils, puis des machines de plus en plus compliqués et démultiplier les consommation d'énergie et être plus nombreux.
y a aucun souci pour s'adapter à la pénurie , il suffit de moins consommer et d'éliminer le surplus jusqu'à ce qu'on revienne à une consommation soutenable. Y a pas besoin d'un cerveau pour ça, la nature s'en occupe très bien toute seule (même pour les algues).Un effort d'abstraction supplémentaire permet de comprendre qu'il y a des limites aux ressources et s'organiser en fonction de ça. On peut aussi ne pas sauter le pas, rester à un curieux niveau d'abstraction intermédiaire en utilisant cette capacité d'abstraction pour dire qu'on ne peut pas faire autrement qu'utiliser toute les ressources.
Si tu analyses les discours qui cherchent à "faire quelque chose" (avec besoin d'un cerveau), ce n'est pas pour diminuer la consommation. C'est pour diminuer la consommation sans inconvénient majeur pour les individus (sans pauvreté, sans famine, sans morts, ou le moins possible )...et ça c'est bien plus compliqué, et rien ne dit que les cerveaux humains vont y trouver une solution. En tout cas, dans l'Histoire, il y a plein de cas où ils ne l'ont pas trouvée.
ok mais dans ce cas, chacun a le droit d'avoir son opinionC'est surtout en mathématique qu'on obtient de tel résultats irréfutables. En physique aussi, tant qu'on ne va pas trop loin.je précise que je n'ai rien contre toi Jeuf. C'est juste que je ne vois aucune de tes assertions qui soit étayée par une conclusion logique tirée de faits irréfutables, c'est tout.
Quand on cause de l'avenir du monde, on cause politique, et on est loin de la physique.
