Je plussoie, pour une fois qu'un sceptique ne tape pas sur les EnR

J'avais fini par croire que j'étais le seul, le plus drôle c'est que skyfall a relayé

http://coordination-antinucleaire-sudes ... ui-arrange
Merci d'abord aux nombreux messages saluant notre remise en question de ce dogme d'ordre quasi divin autour du réchauffement climatique anthropique.
Je ne suis pas non plus très surpris, et trouve finalement assez amusant, ces autres messages nous traitant de secte, de rouler pour Total, d'être copains avec Allègre, traitant le texte "d'inepte ramassis climato-sceptique", et autres commentaires effrénés.
J'ai pourtant dans ce texte plus soulevé des interrogations qu'émis de grandes affirmations. Il est sain de remettre en question le discours dominant et les "évidences" ou "vérités" qu'on nous assène à grand coup de bourrage de crâne médiatique. il est important de garder un recul critique pour toute chose et de se forger une pensée libre.
J'ai dit surtout que l'interrogation demeure quant à l'évolution du climat d'ici la fin du siècle et que plutôt que ce grand tapage médiatico-politique autour d'un éventuel futur "réchauffement climatique anthropique", nous ferions mieux de nous donner les moyens de résoudre les vraies catastrophes humaines et environnementales qui sont sous nos yeux.
Concernant le GIEC, structure créée avant tout pour favoriser l'essor de l'industrie nucléaire (même si cela n'a pas très bien marché) les faits que je rapporte sont vérifiés. Et il est de plus en plus admis dans le monde scientifique que les activités humaines ont un rôle plutôt mineur dans ce réchauffement climatique. Ce n'est pas pour autant que les pollutions humaines puissent être innocentées et que la coordination roule pour le lobby pétrolier. Nous ne soutenons bien évidement ni les pseudo-experts du GIEC, ni ceux qui les contredisent et représentent le plus souvent d'autres lobbies.
Donner tant d'importance à cette soi-disant urgence climatique nous éloigne de l'urgence d'un arrêt du nucléaire avant que survienne une catastrophe, avant de connaître l'horreur d'un Fukushima et vivre en territoire contaminé, en France particulièrement, pays le plus nucléarisé du monde.
Le GIEC ne remet surtout pas en question ce fonctionnement sociétal centré sur la croissance et les profits qui fait des ravages en tous genres sur la planète.
Le « global warning » appartient à l'idéologie dominante. Ce catastrophisme autour du climat est en train de légitimer la politique du pire, comme faire accepter l'industrie nucléaire encore une trentaine d'années, jusqu'à ce que les énergies renouvelables puissent la remplacer, cela pour ne pas dégager trop de C02, ennemi diabolisé numéro 1.
En France, l'industrie nucléaire ne nous empêche pas de faire partie des plus gros consommateurs de pétrole dans le monde (65 % de notre consommation énergétique)
Pour la coordination antinucléaire sud-est, la pire des menaces est la catastrophe nucléaire et la première urgence l'arrêt du nucléaire. Comment arrêter le nucléaire en France avant une catastrophe sans avoir recours aux énergies fossiles comme énergies transitoires ?
Antoine Calandra