ABC a écrit :J'avais noté ce rapprochement depuis longtemps, même avant qu'il ne se commence son cirque sur le climat, lorsqu'il était ministre de l'éducation et de la recherche.
Ce dont vous parler, c'est la pure définition du populisme :
Le populisme désigne un type de discours et de courants politiques, critiquant les élites et prônant le recours au peuple (d’où son nom), s’incarnant dans une figure charismatique et soutenu par un parti acquis à ce corpus idéologique[1]. Il suppose l'existence d'une démocratie représentative qu’il critique.
Ce genre de personnage a toujours la faveur des médias, notamment lorsque le discours populiste va dans le sens de la doxa. C'est un formidable levier pour ravir une élection.
Ici, nous avons bien une opposition populiste du type :
- sécuritaire vs laxiste,
- xénophobe vs internationaliste,
- négateur vs écologiste,
etc...
Pour caricaturer les discours des uns, le populisme est le meilleur moyen de raccourcir une pensée.
Il n'y a pas une vérité, et la réalité est complexe, et encore plus les possibles solutions d'un probléme multiple.
Mais le populisme est toujours plus simple à utiliser.
Etape n°1 : Les africains nomment le pétrole : la "merde" du diable.
Etape n°2 : Restons cool, le
PO arrive...
Etape n°3 : "Mais à cet endroit, en ce moment, l'humanité, c'est nous, que cela nous plaise ou non", Samuel Beckett