Rien n'est jamais gagné et c'est aussi sûr que ça n'évoluera pas différemment si ce sont les mêmes que ceux qui ont mis le système actuel en place qui continuent à géreremmort a écrit :Bon, admettons mais reconnais que ce n'est pas gagné, vu les statuts actuels de la BCE.mobar a écrit : Si tu remplaces les banksters et leurs taux de 3 à 5% par des prêts directs des banques centrales à 0.5%, tu peux financer le double d'investissements que ce qui se finance actuellement à un coût financier 4 fois inférieur
Perso, je doute (et c'est un euphémisme) que la ou les banques centrales prennent les risques des prêts aux entreprises.
Plus factuellement, mon dernier investissement (pour une TPE, fatalement risquée) je l'ai eu à 2.75% / 5 ans. Il y a des prêts qui se négocient vers les 2.25%. Tes chiffres de 3 à 5 % ne sont plus vraiment d'actualité. ( D'où les difficultés des banques mais c'est là un autre débat)
Après, chacun voit midi à sa porte. Ceux qui se situent à la frontière des deux mondes et tirent certains privilèges de la situation actuelle ont plus de risques de perdre d'un changement de système qu'à rester dans le statut quo
Ce qui est étonnant c'est qu'ils représentent moins de 10% de la population et qu'ils permettent au système de se perpétuer depuis plus de 200 ans au profit des moins de 1%
Les mystères de la psychologie des hommes sont insondables!
Peut être que les 90% qui restent n'aspirent qu'a une chose, faire partie des 0,1%

L'espoir fait survivre les moutons et bien vivre les tondeurs