Synthèse des dates prévisionnelles de peak
Modérateurs : Rod, Modérateurs
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- Charbon
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Pourtant, le PPP n’a vraiment, mais vraiment pas l’air de présenter le moindre problème pour l’industrie aéronautique (par exemple). C’est vrai qu’il y a un proverbe qui dit « il n’y a pas plus sourd que celui qui ne veut rien entendre », mais de la part des industriels et vue les capitaux mis en jeux je ne crois pas qu’ils puissent s’obstiner à faire la politique de l’autruche ou alors je me mets à penser qu’ils ont soit d’autres informations que les nôtres, soit qu’ils sont formatés autrement que nous.
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- Kérogène
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Pourquoi? Toi, as tu arrêté de bosser parce que dans 10 ans ca sera peut être l'anarchie à cause du PO?dubyda a écrit :Pourtant, le PPP n’a vraiment, mais vraiment pas l’air de présenter le moindre problème pour l’industrie aéronautique (par exemple). C’est vrai qu’il y a un proverbe qui dit « il n’y a pas plus sourd que celui qui ne veut rien entendre », mais de la part des industriels et vue les capitaux mis en jeux je ne crois pas qu’ils puissent s’obstiner à faire la politique de l’autruche ou alors je me mets à penser qu’ils ont soit d’autres informations que les nôtres, soit qu’ils sont formatés autrement que nous.
Dis tu à tes clients :
"Bon, je ne sais pas si le projet que vous voulez me faire faire sera viable dans 10 ans. Le pétrole sera en dépletion et l'économie de la connaissance s'écroulera probablement en première. "
???
- MadMax
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L'industrie aéronautique a bien conscience du problème, c'est pour ça qu'elle laisse tomber les supersoniques (à part les Japonais qui font des essais concluants) et se lance dans les avions "économes". ça pourrait également expliquer la coopération d'Airbus avec la Chine : on leur file des secrets de fabrication vu que dans 20 ans, il faudra recommencer à zéro ou presque. Il y a un antécédant : le TGV chinois.
- Tiennel
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Pour une analyse dont je vous dévoilerai plus tard les résultats s'ils s'avèrent intéressants, je cherche les chiffres de l'ASPO, idéalement en Excel. On en trouvait il y a 6 mois (fichier all-peak.xls) sur leur site, mais elles avaient déjà un an et ça a pas mal bougé depuis. Quelqu'un a-t-il une idée ou un lien ?
Merci
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- Benoit
- Kérogène
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Je n'ai pas réussi à trouver ces fichiers excel sur les sites de l'aspo (.net ou .ie) ou de Global Public Media (le premier fichier figurait sur le défunt site asponews), donc vous pouvez les télécharger en suivant ces liens :
Mise à jour de 2005, production par année :
http://chiefrockerbusyb.free.fr/Copie_de_Darley.xls
Mise à jour de 2003, plusieurs graphs, données par pays :
http://chiefrockerbusyb.free.fr/Aspo_peak.xls
Mise à jour de 2005, production par année :
http://chiefrockerbusyb.free.fr/Copie_de_Darley.xls
Mise à jour de 2003, plusieurs graphs, données par pays :
http://chiefrockerbusyb.free.fr/Aspo_peak.xls
- lionstone
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Je dirais plutôt, qu’en regardant en arrière la marge d’erreur fût de 40 ans, mais celle de l’avenir s’amenuise au fur et mesure que le temps passe et que les prix augmentent. Les prix n’ont aucune raison de monter si la production peut suivre, s’ils augmentent c’est qu’elle ne le peut pas. Il y a peu on affirmait avec force sur ce site que le brut light était déjà en déplétion, il faudrait vous mettre d’accord une bonne fois. Avant les cyclones la donne était claire, après elle semble floue, pourquoi ? Parce qu’on puise dans les réserves voilà tout, et ça ne durera qu’un temps.Une bonne raison à ça, c'est que la marge d'erreur est plus grande dans l'avenir (virtuellement infinie) que dans le passé (quelques années).
Moderacene: le site de la moderation brut
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- Charbon
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Ok je comprends mieux. Il doivent investir (le capital ne devant jamais rester inactif) même si il y a un risque. Le risque étant si possible calculé, donc il faut y aller !!Olduvai a écrit :Pourquoi? Toi, as tu arrêté de bosser parce que dans 10 ans ca sera peut être l'anarchie à cause du PO?dubyda a écrit :Pourtant, le PPP n’a vraiment, mais vraiment pas l’air de présenter le moindre problème pour l’industrie aéronautique (par exemple). C’est vrai qu’il y a un proverbe qui dit « il n’y a pas plus sourd que celui qui ne veut rien entendre », mais de la part des industriels et vue les capitaux mis en jeux je ne crois pas qu’ils puissent s’obstiner à faire la politique de l’autruche ou alors je me mets à penser qu’ils ont soit d’autres informations que les nôtres, soit qu’ils sont formatés autrement que nous.
Dis tu à tes clients :
"Bon, je ne sais pas si le projet que vous voulez me faire faire sera viable dans 10 ans. Le pétrole sera en dépletion et l'économie de la connaissance s'écroulera probablement en première. "
???
Puisque Nicolas est pas là, c'est moi qui vais sur VoxDei.
Ca y est, Dieu est avec nous :
http://www.bethel-fr.com/afficher_info.php?id=14904.6
Ca y est, Dieu est avec nous :
http://www.bethel-fr.com/afficher_info.php?id=14904.6
Energie et population: « Les réserves de pétrole vont-elles être épuisées ? »
La demande mondiale pour le pétrole est sans cesse en augmentation. Certains signes inquiétants montrent que l'on est dans la période de pic de production. Qu’arrivera-t-il quand la pénurie s’installera ?
Depuis 7 ans, le prix du pétrole a flambé.
Pour la première fois, le 29 août, le prix du pétrole brut a atteint 70 $ le baril. Il n’y a que 8 ans de cela, le pétrole brut coûtait juste 10.50 $ le baril. Goldman Sachs prédit de nouvelles hausses (80 $ voire au long-terme 105 $).
Pourquoi les prix sont-ils en hausse ?
Selon l’analyste spécialiste du pétrole, Kenneth Deffeyes, « Nous sommes face à un problème sans précédent. La production mondiale de pétrole a cessé d’augmenter ; la diminution de la production va bientôt commencer. Pour la première fois depuis la révolution industrielle, les réserves géologiques d’une ressource essentielle ne seront pas suffisantes pour satisfaire la demande ». (Beyond Oil, the View From Hubbert’s Peak) [Au-delà du pétrole]
Ces niveaux records rappellent le choc pétrolier des années 1970 et ont conduit certains à se demander si nous avions réellement atteint « le pic de Hubbert ». Hubbert est un géophysicien américain qui, 1956, a correctement prévu que le pic de production de pétrole aux Etats-Unis se produirait aux alentours de 1969. La production américaine a effectivement atteint son pic en 1970 et depuis a régulièrement diminué.
Hubbert a aussi prévu que la production mondiale de pétrole atteindrait son pic en 2000, puis commencerait à diminuer, lentement d’abord, puis beaucoup plus rapidement après 2005. Hubbert s’est trompé à ce sujet, pour l’instant. Ces 10 dernières années ont vu la production mondiale augmenter légèrement.
Néanmoins il a des signes que les projections de Hubbert n’étaient pas si fausses. Une pénurie s’approche.
La majeure partie de la production mondiale de pétrole provient de vieilles découvertes. Les derniers grands gisements pétroliers ont été découverts à la fin des années 60 en Alaska, dans la Mer du Nord et en Sibérie. La production en Alaska a atteint son maximum dans les années 90 avec 2 millions de baril par jour et maintenant elle est en-dessous d’un million. La production en Mer du Nord a atteint son maximum il y a 6 ans [1999] et a maintenant baissé de 25 %. La production en Sibérie a aussi baissé de plusieurs millions de baril par jour. Son maximum a été atteint il y a plusieurs années.
Les gisements pétroliers d’Arabie Saoudite vieillissent aussi. 90 % du pétrole saoudien vient de 6 immenses gisements qui ont tous été découverts avant 1970. Selon un expert, le plus grand gisement pétrolier saoudien, Ghawar, qui a produit plus de la moitié du pétrole saoudien, a déjà passé son pic et risque de s’épuiser rapidement (Daily Reckoning, 29 Septembre 05).
Il devient plus difficile de découvrir du pétrole. « En 2000, il n’y a eu que 13 découvertes majeures de pétrole ; en 2001, 6 ; en 2002, 2 ; et en 2003, aucune » (Business Line, 29 Juillet 05). Le pétrole découvert est en général de moins bonne qualité et coûte plus cher à extraire.
Beaucoup de pays s’intéressent de près au Canada et à ses 175 milliards de baril de pétrole dans des sables pétrolifères (sables asphaltiques) et pensent que ce sera une source abondante de pétrole. Mais, le pétrole est difficle et plus coûteux à extraire des sables pétrolifères. De plus, il faudra des années avant de pouvoir l’exploiter (développement des méthodes d’extraction, construction des infrastructures, etc).
Pendant ce temps, la demande de pétrole continue d’augmenter rapidement.
La demande des pays asiatiques est en tête et on s’attend à ce qu’elle double d’ici les 8 à 10 prochaines années.L’Agence internationale de l’énergie prévoit que la demande mondiale de pétrole atteindra de nouveaux records au 4ème trimestre de 2005.
Il y a environ 10 ans, la Chine exportait du pétrole. A présent, elle est devenue le 3ème importateur mondial de pétrole (derrière les Etats-Unis et le Japon) et le deuxième consommateur de pétrole.
Quand les pays en voie de développement commencent à s’industrialiser et deviennent plus urbanisés, leur consommation de pétrole augmente. Les pays industrialisés utilisent en moyenne 18 barils de pétrole par personne et par an, alors que les pays en voie de développement n’utilisent que 2 barils de pétrole par personne par an.
Selon l’Institut français du pétrole, si tous les pays consommaient du pétrole autant que les Etats-Unis (par personne), alors toutes les réserves de pétrole actuellement connues seraient épuisées en 8 ans.
La plupart des pays industrialisés et émergents sont dépendants de l’importation de pétrole. Les Etats-Unis sont le plus grand consommateur et importateur de pétrole. En 2004, ils ont importé 58 % des 20.7 million de barils qu’ils ont consommés par jour.
Les pays européens sont encore plus dépendants de l’importation du pétrole. L’Union européenne importe maintenant 80 % de ses besoins en pétrole, et cela va en augmentant. L’année dernière, l’Allemagne, le 4ème consommateur de pétrole a dû importer plus de 92 % de son pétrole. La France, l’Italie et l’Espagne, respectivement les 6ème, 7ème et 8ème importateurs, ont tous dû importer plus de 94 % de leur pétrole. Selon l’Energy Information Administration, le reste de l’Europe, excepté le Royaume-Uni et la Scandinavie, ne sont pas beaucoup mieux.
Des régions de l’Asie, y compris le Japon, dépendent aussi beaucoup de l’importation de brut. Le Japon, le 3ème consommateur mondial, doit importer 98 % de son pétrole. L’Inde, le deuxième pays le plus peuplé du monde, importe 65 % de son pétrole. La Chine, qui est maintenant le deuxième consommateur mondial de pétrole, doit importer 44 % de son pétrole.
Se rendant compte de leur dépendance et de la possibilité d’une prochaine pénurie, des pays, surtout la Chine et les Etats-Unis, ont déjà commencé à se précipiter pour se garantir des réserves.
Suite au voyage au Vénézuéla du président chinois Hu Jintao en septembre dernier, le président vénézuélien Hugo Chavez a exprimé « l’intérêt très poussé de son pays à devenir un fournisseur garanti de pétrole et de produits dérivés du pétrole pour la République Populaire Chinoise ». (BBC 16 septembre 2005) Ceci a inquiété des observateurs américains car le Vénézuéla est un fournisseur important de pétrole pour les Etats-Unis. Les compagnies pétrolières chinoises ont aussi été en chasse, cherchant des acquisitions. Suite à l’échec de la Chinese National Offshore Oil Company's (CNOOC) dans le rachat de sa rivale américaine Unocal, CNOOC a racheté la compagnie canadienne Petro Kazakhstan. Sinopec, une autre compagnie pétrolière chinoise, a récemment fait des investissements importants dans Canadian Oil Sands. PetroChina vient de signer un contrat avec le canadien Enbridge pour construire un oléoduc de 2.5 milliards $ qui amènerait du pétrole canadien en Chine via un port de British Columbia.
L’UE aussi commence à agir pour anticiper toute crise d'approvisionnement de pétrole et maintenir une source sûre de pétrole. Récemment, l’Allemagne et la Russie ont annoncé un projet de construction de 5 milliards $ d’un oléoduc pour apporter du pétrole de Russie en Allemagne. Le géant pétrolier français Total a récemment annoncé qu’il avait fait un investissement important dans les sables pétrolifères du Canada.
Selon le principal économiste européen de la Deutsche Bank à Londres, « le pétrole est la plus grande menace pour l’économie mondiale et est considéré par la plupart des experts comme le maillon faible de l’UE ». (New York Times, 8 avril 2005)
C’est peut-être cette menace pour l’UE qui a inspiré l’ordre du jour de la réunion récente du Oil Supply Group de l’UE qui « a commencé à discuter la coordination de mesures pour réduire la demande dans le cas d’une crise encore plus grave. Ces mesures vont de dimanches sans voitures et de restrictions de vitesse sur les autoroutes à la fermeture des aéroport » (European Information Service, 24 septembre 2005).
Les réserves mondiales de pétrole sont minces et il n’y a pas eu de découvertes importantes récemment. Avec l’industrialisation des pays en voie développement, leurs vastes populations vont continuer à augmenter la demande pour le pétrole.
Les Etats-Unis, l’UE, le Japon et la Chine se préparent à s’engager dans une compétition toujours plus intense pour les réserves de pétrole. Cela met les pays qui ont du pétrole à vendre à un grand avantage. Nous avons déjà vu comment l’Iran profite de la situation ; la Russie se positionne pour faire de même. Vous pouvez être sûrs que le pétrole jouera un rôle décisif dans la détermination du nouvel ordre mondial géopolitique. Soyez attentifs.
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phylippe a écrit :Il recalcule régulièrement la date théorique du pic. Passée de 2010 à 2008 en début d'année, elle vient de repassser à 2011 (2015 pour lahérrere). On ne connaitra la date du pic, qu'une fois celui-ci passé...echazare a écrit :
Ok, mais ils prevoient le pic en 2007, donc c'est très proche dans le temps, à priori leur large d'erreur devrait être faible, ou alors ils travaillent avec des données de bases fausses. Il reste à leurs détracteurs de demontrer les failles dans leur raisonnement...
Je viens de relire la newsletter, je ne vois pas de changement si important sur la date du pic.
On a toujours un pic déjà passé pour bruts légers, vers 2007-2008 pour le total liquides et 2010-2012 pour pétrole + gaz, sur le graphique.
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- Hydrogène
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Je suis d'accord. Il n'y a pas de changement fondamental dans le profil de la courbe. Le sommet de la "cloche" est assez plat sur 5-6 ans et la réactualisation des données peut faire varier facilement la date du pic de quelques années dans un sens ou dans un autre. L'ASPO commente régulièrement ses mises à jour en ce sens. Ce qui est important, et rassurant du point de vue du sérieux de la démarche, c'est justement l'actualisation régulière de la base de données.fabinoo a écrit : Je viens de relire la newsletter, je ne vois pas de changement si important sur la date du pic.
-Il vaut mieux pomper même s'il ne se passe rien que de risquer qu'il se passe quelque chose de pire en ne pompant pas.
Les Shadoks
Les Shadoks
En agrandissant l'image, on voit même un pic global situé plutôt vers 2009, même avec le gaz + gaz non-conventionnel. Le véritable début d'effondrement étant pour après 2010. Pour Tiennel, il s'agit bien du gaz naturel + gaz non-conventionnel.
Et pour les pétroles seuls, ce serait plutôt 2007.
Et pour le pétrole conventionnel, ce serait déjà fait quoi qu'il en soit.
Et pour les pétroles seuls, ce serait plutôt 2007.
Et pour le pétrole conventionnel, ce serait déjà fait quoi qu'il en soit.
- cicero
- Charbon
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Oui, je suis d'accord avec toi, hors mis la panic causé par les ouragans et la mise en circulation par de nombreus pays de leur reserve strategique pour «stabiliser» les cours la situation demeure la meme qu'avant katrina où le petrole était en hausse. Et avec l'arrivé de l'hivers et la forte demande en energie pour le chauffage...lionstone a écrit : Je dirais plutôt, qu’en regardant en arrière la marge d’erreur fût de 40 ans, mais celle de l’avenir s’amenuise au fur et mesure que le temps passe et que les prix augmentent. Les prix n’ont aucune raison de monter si la production peut suivre, s’ils augmentent c’est qu’elle ne le peut pas. Il y a peu on affirmait avec force sur ce site que le brut light était déjà en déplétion, il faudrait vous mettre d’accord une bonne fois. Avant les cyclones la donne était claire, après elle semble floue, pourquoi ? Parce qu’on puise dans les réserves voilà tout, et ça ne durera qu’un temps.
Alors il est à mon sens raisonable de pensé que l'on est dans le début de la fin... Les premiers temps du pic...
Les peuples heureux n'ont pas d'Histoire.
- cicero
- Charbon
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- Localisation : Île de la Tortue
Oui, mais d'après ce que j'ai pu lire dans certains journaux, il ne parviennent plus à augmenter la production ou à tout le moins significativement... Je ne suis pas un expert mais on doit bien être aux limites de la courbe... si il ne peuvent plus augmenter la production de manière significative non? Alors on peut parler de début de la fin? Enfin je crois...Tiennel a écrit :Les prix peuvent monter simplement parce que l'offre croît moins vite que la demande, et non parce que l'offre baisse.
Les peuples heureux n'ont pas d'Histoire.