D'abord, chez moi, "le choix libre de tous" (celui "du oui valable si le non est possible") n'est pas compatible avec "la volontée imposée de certain", parceque le mot "imposé" implique une forme de contrainte sur les autres, qui n'ont donc plus de choix libre.GillesH38 a écrit :y a au moins deux problèmes dans ta question : d'abord le choix 1 n'est pas la négation du 2, y a une infinité d'intermédiaires possibles, et ensuite tu utilises métaphoriquement la notion du "choix" comme si les sociétés étaient des individus faisant des choix cohérents , ce qui n'est évidemment pas le cas. Tu me permettras de ne pas vouloir répondre à un problème mal posé ?Yves a écrit : Donc, choix 1 ou choix 2 ? le capitalisme a-t-il été choisi par tous ou bien imposé par quelques-un ? C'est là il me semble le coeur du désacord.
Si ta réponse pouvait ne pas utilisé d'autres concepts, mots et métaphores que les questions, ça éviterait de devoir se répéter...
Je ne qualifierait pas non plus d'intermédiaires la situation où 50% "seulement" se voient imposer la solution.... Pour moi, cela relève du cas 2, simplement parceque j'ai bien précisé "imposé par quelques un" et non pas imposé par la majorité.
Ensuite, je ne te parle pas au niveau des sociétées, mais bien des individus.
C'est trop compliqué pour toi de bien vouloir accepter d'arréter de tourner autour du pot ? et de donner franchement la manière dont tu comprend l'histoire. De prendre parti "d'un coté" où "de l'autre" ? En fait, j'ai l'impression que tu fuie systématiquement ce genre de prise de position comme si c'était un engagement personnel, alors qu'il s'agit ici simplement de déterminer ce qui historiquement c'est produit.
Pas de panique, cela ne t'engage pas politiquement pour l'avenir...