Krom a écrit :
D'autant plus que les riches, en général, ils ne font pas tellement de gamin. Regardez l'Europe de l'ouest.
Bon dieu, à croire que personne n'a entendu parler du planning familiale. Personne n'a une vieille militante féministe dans sa famille ? Si oui, je vous conseille d'aller passer quelques heures avec votre tante ou votre mère et de discuter sérieusement de leur combat, qui n'était en rien un combat de riche. Décidément, il y a trop de mec sur oleocene.
Krom a écrit :
la plupart des societes encouragent un accroissement forcene de la population...
C'est faux : soit il n'y a pas de politique de prévention, soit la démographie est maitrisée, soit c'est effectivement un axe idéologique (comme en Palestine), soit c'est une maitrise active et contrainte (type Chine).
La plupart des dictatures n'ont aucun planning familiale, et c'est normal : le maintien d'une dictature est assez incompatible avec l'émancipation de ses citoyens, notamment des femmes.
En France par exemple, lorsqu'il a fallu booster la démographie, on a eu recourt à l'immigration (pur reconstruire la nation mère de l'empire colonial).
Penser de la démographie est encourager bêtement est stupide.
La démographie est maitrisée que lorsque l'on a le plus de liberté sur nos choix, et pas le contraire.
Krom a écrit :
Il y a plusieurs choses à faire, comme par exemple rendre l'accès aux méthodes de contraception facile pour tout le monde, et apprendre aux gamins à s'en servir.
Oui, enfin : en un mot, le planning familial (laïque je précise, pour ceux qui n'avaient pas compris).
Le problème krom, c’est que tu confonds « riche » et mise en place d’un planning familiale. Tu peux avoir des pays pauvres qui ont un programme familial digne de ce nom et qui maitrise leur démographie. En général, c’est pays ont fortement investi dans l’éducation.
Etape n°1 : Les africains nomment le pétrole : la "merde" du diable.
Etape n°2 : Restons cool, le
PO arrive...
Etape n°3 : "Mais à cet endroit, en ce moment, l'humanité, c'est nous, que cela nous plaise ou non", Samuel Beckett