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j 'avais mis dans le deuxiéme post du filGillesH38 a écrit :on peut encore changer ?
quelle nouveau et dernier choix ?On a le droit de changer sa date qu' une seule fois, et plus aprés que le baril (le premier des deux, WTI ou Brent) ait franchi 130 $.
C'est impossible "jamais". Sinon ça voudrait dire qu'on pourra avoir du pétrole pour l'éternité. Ce qui est rare est cher, c'est une loi universelle qui s'applique à TOUT.à vrai dire, j'ai envie de dire "jamais"
Le Wall Street Journal s'inquiète (24/02) : « La hausse des prix du pétrole menace le rétablissement » de l'économie mondiale. Le quotidien financier souligne l'évidence : « Quand les consommateurs dépensent plus d'argent à la pompe, ils compensent souvent en diminuant les achats qu'ils considèrent comme n'étant pas strictement nécessaires. »
« La plupart des économistes considèrent qu'il faudrait que le prix du pétrole monte au moins à 120 dollars le baril, et qu'il se maintienne à ce niveau, pour que la reprise soit menacée », note le Wall Street Journal. On n'en est pas tellement loin.
Autre manière d'envisager un seuil limite : une récession économique est probable dès que la facture pétrolière dépasse 5,5 % du Produit intérieur brut mondial, estiment les auteurs d'une étude publiée en 2009 par le département des sciences de l'environnement de l'université de New York.
Cette limite de 5,5 % du PIB mondial n'est pas très éloignée, elle non plus. En 2011, la facture pétrolière mondiale devrait représenter « 5,1 % du PIB, contre 5 % en 2008 », d'après l'institut français Coe-Rexecode, rapporte l'AFP. Cette facture devrait atteindre un niveau sans précédent, évalué à 3400 milliards de dollars, soit 9,3 % de plus qu'en 2008, lors de la dernière flambée des cours du brut.
Quand on a un javelin dans la main, tous les problèmes ressemblent à un T-72. Donc à nouveau prix accessibles. Donc à nouveau demande élevée. Sauf que si l'offre n'est plus suffisante les prix ne peuvent plus descendre même avec une baisse de la demande. La demande en Ferrari est très basse et pourtant ça fait pas chuter les prix.la baisse de la demande entraînant la baisse du prix
Quand on a un javelin dans la main, tous les problèmes ressemblent à un T-72. Quand on a un javelin dans la main, tous les problèmes ressemblent à un T-72. mais non encore une fois le caractère cher ou bon marché ne dépend pas du prix mais du rapport du prix au pouvoir d'achat. Pendant les famines au Moyen Age, le pain était très cher pour la majorité des gens, alors qu'il nous aurait encore paru avoir un prix ridiculement faible. C'est ce que les "peakoilistes" ont négligé de considérer : le pétrole peut devenir de plus en plus cher non pas parce que son prix d'achat augmente nominalement (enfin pas que pour ça), mais aussi parce que le pouvoir d'achat diminue globalement - probablement une combinaison des deux.rico a écrit :Ce qui revient à dire : le pétrole sera à jamais bon marché puisque incapable de dépasser un jour les 150$. Désolé mais ça tient pas la route...
A perdunavidad a écrit :8/8/2011 à 15h53 GMT
A perdu aussiAngelus68 a écrit :21/08/2011
Quand on a un javelin dans la main, tous les problèmes ressemblent à un T-72.