encore une fois, personne n'est empêché de gagner moins si il veut. C'est le contraire qui est difficile.mobar a écrit :L'injonction de productivité n'est pas imposée par la nature, mais par tes maitres!GillesH38 a écrit :encore une fois, il me parait ahurissant de penser que la structure d'une société va dépendre de la façon dont on produit l'électricité.
Ce qui est sur en revanche, c'est qu'une électricité intermittente est beaucoup moins productive économiquement.
ce que je conteste, c'est que ce mode de vie soit dicté par la production d'électricité. Chacun est bien libre de vivre comme il veut, tu peux même avoir zéro électricité, il suffit de remonter de quelques décennies en France pour en trouver plein et il y a en même surement encore. Regarde au quotidien cette famille, fais la vivre exactement de la même manière, avec 10 fois moins d'électricité (ce qui suffirait d'ailleurs à se passer de fossiles et de nuke), mais au lieu d'avoir ses éoliennes, elle branche ses appareils sur une prise alimentée par un réseau : qu'est ce que ça change fondamentalement à ses choix de vie ?
D'autres ont fait d'autres choix et se sont débranchés des réseaux, beaucoup moins à plaindre que les accros du boulot qui s'agitent sur le parvis de la Défense
http://www.bastamag.net/La-maison-autonome-ou-comment
Patrick et Brigitte ont fêté leur « débranchement EDF ». C’était il y a 20 ans. On parlait alors à peine de transition énergétique, encore moins d’arrêter la moindre sacrosainte centrale nucléaire. Installés en Loire-Atlantique, ils savouraient l’accomplissement d’un de leurs objectifs : être autonomes en électricité. Aujourd’hui, une éolienne de 18 m de hauteur et de 5 m d’envergure, couplée à des piles photovoltaïques d’une surface de 6 m², leur suffisent. L’ensemble fournit assez de courant pour une famille de six personnes (ils ont quatre enfants).
et mettre une éolienne de 18 mètres de hauteur et de 5 mètre d'envergure (quand même !! ) par famille en ville, tu fais comment au fait ?