Je pose le problème en le simplifiant sur le processus énergétique qui dit (Jancovici qq part) que quoiqu'on fasse, on est obligé de passer de 150 esclaves-Kw/ personne à 50 voire 30, en un temps assez bref.
C'est, me semble - il , une "donnée" factuelle, conjecture incontournable.
Cette contrainte énergétique induit plusieurs modèles de civilisation, ces modèles ayant des invariants pas trop difficile à cerner.
C'est la transition vers ce/ces modèles qui importe et, pour le processus global (auquel je ne crois pas), s' y prendre au plus vite, permettrait une "pente" ou courbe de descente moins traumatisante pour les individus comme pour le sociétal.....Le rythme optimal serait imposé par l'angle de la pente.
La solution individuelle (pour moi la seule qui puisse aboutir à une solution globale, par mimétisme ou comme catalyseur) n'est pas difficile à mettre en place et évite les inerties diverses. De plus cette solution est modulable: Un pied restant ds le système par ex (le gauche, ça porte bonheur).
Un exemple: si le modèle effondrement devient plutot dur, un potager et qqs poules, qui te fournissent 60% de tes besoins peuvent , assez facilement se booster vers les 90% ...ce qui te permet de t'occuper d'autres problèmes et de ne pas faire la queue avec un ticket...Sans tomber ds le survivalisme, il y a des modèles que l' on se surprend à trouver assez agréables et rassurant, même si ce peut être illusoire pour certains modèles hard.