oleocene.org

Voici un documentaire sur le PO de la télévision australienne datant de cette année.

C'est sans doute LE meilleur documentaire sur le PO existant jusqu'à présent.

Des données chiffrées intéressantes sur le pétrole non conventionnel et le Deep Offshore avec des interviews de personnes comme Campbell, Skrebowski et Al Husseini.

Egalement sont évoqués certaines alternatives comme les agrocarburants et le charbon liquéfié.

Par contre désolé pour ceux qui ne comprennent pas l'anglais, il n'y a pas de sous titrages.

Documentaire en 5 parties

Partie 1
http://fr.youtube.com/watch?v=0QFaUcUdLcM

Partie 2
http://fr.youtube.com/watch?v=rT7v9cfrVl4

Partie 3
http://fr.youtube.com/watch?v=JNYcFITUgHs

Partie 4
http://fr.youtube.com/watch?v=y0ykKlL9nns

Partie 5
http://fr.youtube.com/watch?v=Y3dnZcCNNNw

j'ai maté, vu que tu prétends que c'est le meilleur docu. Intéressant en effet, mais encore une fois, je n'apprends rien de nouveau. De plus on a encore cette impression qu'il n'y a que 2 camps d'opinions: d'un côté on a des optimistes (laissez le marché faire, ou les dissimulateurs du genre Arabie Saoudite quant à leurs réserves, prétendant pouvoir suffir à la demande quelle qu'elle soit) puis de l'autre les 'doomsdayers', pour qui le monde n'est absolument pas préparé, blabla.

Dans tout ça ce qui me frappe, c'est encore une fois l'esprit "business as usual" salut Francis Déry qui n'est JAMAIS remis en cause. Et j'oubliais : le pétrole comme source de carburant est encore une fois exposé de telle manière que ça occulte des aspects bcp moins drôles que de simplement pouvoir se payer le luxe de sa balader en avion ou en caisse. La corrélation pétrole <-> industrie agroalimentaire moderne <-> surpopulation n'est pas visible.

Pour les oléocéniens moyens c'est certain que l'on apprend rien de nouveau.

Mais il est mieux construit que d'autres comme a crude awakening, le dernier sur Oil Apocalypse sur History Chanel, ou Oil, Smoke and Mirrors car il donne la part belle de manière un peu près égale aux optimistes et aux " pessimistes ".

On a d'ailleurs au moins un peu plus de données chiffrées.

De plus la confrontation entre membres de l'institut pétrolier ultra optimistes face à une commission parlementaire australienne est intéressante car elle reflète bien une raison du relatif optimiste politique, bien que légèrement sceptique, celui du manque d'information (ou de désinformation).

Il se consacre c'est vrai bien plus aux carburants que tous les secteurs concernés par le pétrole, mais il est difficile d'expliquer en 1H tous les impacts que peut avoir le PO.