
pour pas que ça parte en qu(en)ouille, interdit de poster des réflexions cyniques du genre "chouette on va tous mourir dans d'atroces souffrances", ou "l'humanité va disparaitre bon débarras", et ne poster que des nouvelles avérées et non des envolées lyriques du genre "après le PO, l'humanité retrouvera la solidarité, l'entraide, la joie de vivre et le goût des bonnes pommes", SVP !
en revanche, baisses de pollutions, des maladies cardio vasculaires, etc.. bienvenues

bon alors voila la première : - 16 % de morts en moins sur les routes au mois de juillet par rapport à juillet 2007 !
Le Monde a écrit : Le prix de l'essence modifie les comportements routiers
Les experts étaient convaincus que la France avait atteint un pallier dans la diminution du nombre de morts sur les routes. Après cinq années consécutives de forte baisse, entre 2002 et 2006, l'année 2007 s'était en effet caractérisée par une réduction limitée à 2,1 % du nombre de personnes tuées. Or, depuis le début de l'année, la sécurité routière constate à nouveau une forte diminution qu'aucune mesure ministérielle ne peut expliquer.
Le nombre de tués sur la route a diminué de près de 16 % en juillet 2008 par rapport au même mois en 2007.
Sur les sept premiers mois de 2008, 2 348 décès ont été enregistrés en métropole, contre 2 619 sur la même période de 2007, soit une diminution de 10,3 %. Le mois de juillet (- 15,7 %) prolonge les excellents résultats de juin (- 16,6 %). "Si cette tendance devait se confirmer au cours de la fin de l'année, la baisse annuelle devrait dépasser nettement les 10 %", souligne l'Observatoire national interministériel de sécurité routière. Les experts se félicitent aussi de la réduction du nombre de blessés constatée sur juillet (- 21,3 %) et depuis le début de l'année (- 9,7 %).
...
L'augmentation des prix de l'essence, au cours du premier semestre, a probablement conduit les automobilistes français à modifier leurs comportements. Deux facteurs conjugués pourraient expliquer l'évolution constatée en 2008 : la diminution du nombre de kilomètres parcourus et la réduction des vitesses pour limiter la consommation d'essence. Ces facteurs ont un impact immédiat sur l'accidentologie. Les recherches dans le domaine de la sécurité routière ont montré qu'une diminution de 1 % de la vitesse moyenne constatée se traduit par une diminution de 4 % de la mortalité.
Fin juillet, l'Union française des industries pétrolières (UFIP) avait signalé une "chute énorme", de 10 %, de la demande de carburants en juin 2008 par rapport à juin 2007, et un recul "significatif" d'environ 1,5 % sur les six premiers mois de l'année 2008.