Meme le quantique et la relativité ne sont valables qu'a "posteriori". Si le "bruit" est constituant du signal futur , ce n'est qu'un des bruits parmi un tas d'autres . Une espèce vivante , meme en tant qu'abstraction peut , il me semble etre considéré comme un principe global dont l'interet premier est la survie (par definition).Elle essaie des tas de solutions dont beaucoup de marginales (bruits) ds des environnements qu'elle maitrise et d'autres dans des environnements qu'elle maitrise moins .Ces essais ou bruits peuvent devenir "majeurs" en cas de modification importante ou inhabituel d'intrans exogènes (climats , maladie , invasion , prédateurs ...)Pierre M. Boriliens a écrit : Tu devrais être plus précis : l'espèce est une abstraction taxinomique. Elle ne saurait donc avoir un projet.
Parler de projet est bien sur faux , mais pourquoi pas projetS ?
Les types d'abeilles sont nombreux et a terme un type mieux adapté prendra la place de l'absent . Ce qui est curieux c'est de constater l'antagonisme de deux forces : une spécialisation inéluctable induit par le milieu pour la survie et la fragilisation de l'espèce de par cette spécialisation , en cas de cata plus grave que d'habitude . (ce ont les espèces les moins spécialisées , les marginales qui perpetuent le signal )Pierre M. Boriliens a écrit : Mais que je sache, les abeilles, aussi bien à titre individuel qu'en groupe, n'ont jamais fait le moindre plan pour se tirer de ce mauvais pas que les insecticides représentent pour elles. Elles n'ont pas d'objectif !
Pour les insectes , c'est aussi curieux qu'ils montrent la superiorité de l'instinct sur le culturel ( les rites et le cognitif ). Du moins si la durabilité est une superiorité.