à moins de 4 mg/ kg aucun pb m^me dans les interactions c'est dans le vidal . perso j'ai eu le cas d'un couple de 85 ans bien vacciné contre la grippe avec pas mal de remèdes , vasculaires, le monsieur pourtant plus à risque a reçu le tt par plaquenil et azithromycine , c'était il ya 2 semaine , raoult n'avait pas encore fait sa publication puisqu'elle date du 16 mars ,mais il en avait déjà parlé de son essai , du coup à sa femme j'ai donné plaquenil et ceftriaxone qui est quasiment le seul arb à large spectre en injectable que nous avons en ville, elle a arrété le plaquenil en plus car elle regarde trop la télé. le résultat est impitoyable , elle a frolé l'hospit alors que lui état rétabli en 3 jours , alors qu'il est habituellement plus sensible aux infection. je précise que j'ai modifié son tt et donc arreté leurs statines qui s'accorde mal avec l'azithromycine. bon pas une étude mais juste du vécu...Remundo a écrit : ↑24 mars 2020, 07:50Je ne réagis pas à l'affectif, pas plus que PERONNE, l'INSERM ou RAOULT, ou d'autres.GillesH38 a écrit : ↑24 mars 2020, 07:46ouais, tu veux dire un avis d'un mec qui, bien que médecin, comme toi n'a aucune rigueur scientifique (ça existe ) et réagit à l'affectif dans une situation de stress.Remundo a écrit : ↑24 mars 2020, 06:53les arguments scientifiques, pragmatiques et les nuances d'usage, tu les as là :
https://www.youtube.com/watch?v=Bf6K8Tv ... e=emb_logo
Dr Christian Perrone, chef du Service Infectiologie à l'Hôpital Raymond POINCARE
mais ce qui t'intéresse, c'est la dialectique sophistique, on connaît...![]()
Ces produits ne sont pas dangereux pour un traitement de court-terme, ils sont prescrits depuis des lustres aux paludéens. Ils ont une posologie bien établie.C'est de la dialectique sophistique de dire qu'avant de donner massivement un produit dangereux, il faut avoir un minimum de données permettant d'en faire une analyse bénéfice risque ?le poison fait la dose, comme les tiennes sur Oléocène.
pb , maintenant le plaquenil n'est plus dispo la nivaquine on pourrait en avoir en faxant directement à sanofi...
des medicaments de base !!! c'est vraiment la base la quinine comme l'aspirine ou le pâracetamol si on a pas ça , c'est vraiment que le système est mauvais.
sinon , je ne sais pas si vous avez évoqué ce point : la pollution pour expliquer les zones très atteintes:
https://www.rtbf.be/info/societe/detail ... nger_sharePollution et propagation fulgurante du coronavirus, les particules fines montrées du doigt
Si le SARS-CoV-2 peut effectivement se combiner avec les particules de type PM10, le niveau de confinement des personnes devrait etre réévalué car le coronavirus pourrait se propager dans l'air.
3 images
Si le SARS-CoV-2 peut effectivement se combiner avec les particules de type PM10, le niveau de confinement des personnes devrait etre réévalué car le coronavirus pourrait se propager dans l'air. - © Kyryl Gorlov - Getty Images/iStockphoto
RTBF
Publié le samedi 21 mars 2020 - Mis à jour le dimanche 22 mars 2020 à 19h27
Note de la rédaction : la rédaction de la RTBF a contacté l'épidémiologiste Marius Gilbert afin de lui demander son opinion par rapport à cette étude réalisée par ses confrères italiens. Il en ressort que la question soulevée par l'étude s'inscrit dans un questionnement plus large évoqué à plusieurs reprises dans le milieu profesionnel, la pollution atmosphérique étant en effet un facteur aggravant pour les pathologies respiratoires. La corrélation entre pollution et transport du virus est donc, toujours selon Marius Gilbert, une corrélation intéressante qu'il convient d'explorer de manière plus fine dans le futur lorsque des données chiffrées spécifiques à la Belgique seront disponibles. Cela permettrait de voir si effectivement dans les régions où la pollution est plus forte, les vitesses de croissance sont plus importantes qu'ailleurs.
Newsletter in
C’est une étude très sérieuse menée conjointement par l’Université de Bologne et celle de Bari qui émet cette hypothèse, le nouveau coronavirus aurait été boosté dans sa propagation par la pollution de l’air et plus précisément par certaines particules fines très présentes dans les zones polluées de Wuhan, mais également de Lombardie, d’Emilie-Romagne et d’autres centres urbains.
Après le New England Journal of Médecine, une autre publication de renom tend donc à accréditer la thèse selon laquelle le SARS-CoV-2 pourrait survivre en suspension dans l’air dans certaines conditions, parmi lesquelles un taux de pollution élevé.
Cela pourrait être l’un des paramètres permettant d’expliquer la vitesse étonnante à laquelle s’est propagé le COVID-19 en Italie du nord. C’est en tout cas ce qu’affirme l’étude réalisée par 12 chercheurs de la Société Italienne de Médecine environnementale (SIMA).
Une base scientifique solide
Le coronavirus pourrait rester plusieurs heures dans l'air à cause de la pollution atmosphérique
Le coronavirus pourrait rester plusieurs heures dans l'air à cause de la pollution atmosphérique - © niphon - Getty Images/iStockphoto
Comme point de départ, la recherche menée par le Professeur Leonardo Setti, s’appuie sur une littérature scientifique solide qui corrèle l’incidence des cas d’infection virale avec les concentrations de particules atmosphériques par exemple PM10 et PM2,5.
Les PM (abréviation de "Particulate Matter") sont des particules en suspension en phase liquide et solide, mélange de substances chimiques organiques et inorganiques. Elles sont classées en fonction de leur "diamètre aérodynamique" c’est-à-dire celui qu’aurait une sphère reprenant les mêmes propriétés. PM10 désigne donc les particules dont le diamètre est inférieur à 10 micromètres, 1 millième de millimètre, soit environ 50 fois plus fin qu’un cheveu.
Ces particules sont connues pour fonctionner comme support, vecteur ou transporteur, pour de nombreux contaminants chimiques et biologiques, en cela y compris les virus. Les virus s’agrègent, se collent (via un processus de coagulation) aux particules atmosphériques. Celles-ci, composées de particules solides et/ou liquides, sont capables de rester dans l’atmosphère pendant des heures, des jours voire des semaines et peuvent se propager sur de longues distances.
De plus, ces mêmes particules atmosphériques peuvent également permettre à certains virus de "survivre" jusqu’à plusieurs heures, voire jours, en fonction des conditions atmosphériques, l’humidité favorisant la virulence des virus là où habituellement les fortes températures et le rayonnement solaire ont tendance à inactiver les virus.
L’agglomérat "particule + virus" peut se révéler redoutable. Cela s’est d’ailleurs vérifié plusieurs fois par le passé explique l’étude. Ce fut le cas notamment avec la grippe aviaire. Des études montrent qu’elle a pu se propager sur de longues distances grâce à des phénomènes atmosphériques telles les tempêtes de poussières très présentes en Asie. En outre le nombre de cas d’infection était directement lié aux concentrations de particules fines de type PM10 et PM2,5.
Pareil pour la rougeole. Des études chinoises ont également montré que l’épidémie de rougeole ayant frappé la Chine en 2013-2014 était directement corrélée aux concentrations de particules PM2,5 dans l’air. Les principaux foyers furent localisés dans 21 villes chinoises.
Une explication de l’embrasement de la plaine du Pô ?
Milan et ses problèmes de pollution, un accélérateur à la propagation du coronavirus ?
Milan et ses problèmes de pollution, un accélérateur à la propagation du coronavirus ? - © Alessandro Vallainc - Getty Images/iStockphoto
Afin d’évaluer si ce lien Particule + virus était valable dans le cadre du nouveau coronavirus SARS-CoV-2, les chercheurs ont tenté de détecter une éventuelle corrélation entre les taux de concentration des particules atmosphériques dans l’air et la propagation de la pathologie COVID-19 en Italie.
En croisant ces données, il en résulterait une relation évidente entre les dépassements des limites légales des concentrations de PM10 et le nombre de cas infectés par COVID-19. Par ailleurs, cette relation potentielle entre les cas de COVID-19 et les concentrations de PM10 fait également ressortir le fait que la concentration des principaux foyers s’est produite dans la vallée très industrielle du Pô.
Des résultats, toujours selon les chercheurs, en phase avec les modèles de propagation épidémique existant pour les diffusions "anormales", c’est-à-dire à l’aide d’un vecteur extérieur et non de personne à personne. Pour étayer cela, l’étude compare la Lombardie avec la région de Rome, également touchée dès le début mais où la propagation du COVID-19 ne fut pas aussi fulgurante.
Les chercheurs italiens préconisent donc de tenir compte de cet aspect des choses afin de prendre des mesures adéquates, notamment par rapport aux taux de pollution