OGM
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Re: Documentaire sur Monsanto
[HS]
on peut déjà rebaptiser Monsanto SOYLENT, vous croyez pas ?
[/HS]
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[/HS]
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- sylva
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Re: Documentaire sur Monsanto
on ne sait pas s'il faut
ou 


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Il n'y a que la fiction qui dise le vrai. Vladimir Nabokov
Un écran, ça empêche de voir ; c'est sa fonction.
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- sidonie61
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Re: Documentaire sur Monsanto
Oui, ça commence bien à y ressemblerthorgal a écrit :[HS]
on peut déjà rebaptiser Monsanto SOYLENT, vous croyez pas ?
[/HS]

et pour obtenir 1 colorie de Soylent Green ?Pour obtenir 1 calorie de poulet il faut environ 4 calories de nouriture végétale, idem pour le porc et les oeufs, Pour le lait on grimpe à 8,. Et pour le boeuf , à 17 !
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Re: Documentaire sur Monsanto
C'est gratuit, il suffit de prendre un salaud de vieux (responsable de la société actuelle) et de le transformer (on récupère plus d'énergie au bout de la chaîne qu'on n'en a injecté)sidonie61 a écrit :et pour obtenir 1 colorie de Soylent Green ?
C'est quand tout semble perdu qu'il ne faut douter de rien
Dieu se rit des hommes déplorant les effets dont ils chérissent les causes
Défiez-vous des cosmopolites allant chercher loin dans leurs livres des devoirs qu'ils dédaignent remplir autour d'eux
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Re: OGM
On parle souvent des problèmes liés au financement privé de la recherche sur les OGMs. En effet, quelqu'un qui est intéressé par l'exploitation d'une plante OGM qui produirait autant, voir plus, mais à moindre frais, ne serait pas très enclin à démontrer la dangerosité de son produit sur l'environnement.
D'où la solution : un plan de recherche national, indépendant des pressions de l'industrie.
Que nenni, de telles recherches ne reçoivent aucune pitié aux yeux des anti-OGMs :
Destruction partielle d'un champ d'OGM à Zurich
D'où la solution : un plan de recherche national, indépendant des pressions de l'industrie.
Que nenni, de telles recherches ne reçoivent aucune pitié aux yeux des anti-OGMs :
Destruction partielle d'un champ d'OGM à Zurich
- LeLama
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Re: OGM
Le probleme du fauchage est un probleme delicat. Il faut dire non a toute forme de violence. Mais la violence est aussi du cote de ceux qui mettent des ogm en plein champ alors que 70% des populations y sont opposees. Si c'est un choix politique comme la peine de mort, assumé, alors OK, le politique porte un projet minoritaire et en assume les conséquences électorales. Le pb ici est que les politiques parlent toujours du principe de precaution et votent le contraire de leurs declarations publiques (notamment les Francais quand ils votent au niveau Europeen). Que reste-t-il aux citoyens qui s'y opposent et qui sont trahis par les politiques qui font passer des projets minoritaires sans l'assumer ?Krom a écrit :On parle souvent des problèmes liés au financement privé de la recherche sur les OGMs. En effet, quelqu'un qui est intéressé par l'exploitation d'une plante OGM qui produirait autant, voir plus, mais à moindre frais, ne serait pas très enclin à démontrer la dangerosité de son produit sur l'environnement.
Un copain proposait de faucher les champs et d'indemniser les agriculteurs dont on a fauché les champs. C'est une idée que j'aimais bien. Résistance, mais non violence attestée par le dédommagement matériel.
Quand a l'impartialité du personnel public, je n'y crois pas davantage qu'a l'impartialité du privé. Les chercheurs qui travaillent dans le nuc sont favorables au nuc, ceux qui travaillent dans les ogm sont favorables aux ogm, et mes collegues qui font des maths s'indignent des que d'autres disciplines restreignent le programme de maths (évidemment c'est une noble indignation pour le bien des étudiants, pas du tout un reflexe corporatiste

Sinon, pour etre factuel, je rappelle que les ogm produisent moins que les variétés équivalentes non-ogm. C'est une rumeur techno-optimiste d'associer ogm et capacité de production. La réalité scientifique est l'opposé. Les ogm produisent moins ( environ 10% de moins que la variété industrielle la plus proche).
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Re: OGM
La Wallonie adopte une loi très contraignante visant à limiter la présence des OGM
LE MONDE | 13.06.08
La région wallonne, en Belgique, entend se battre pour limiter au maximum la présence d'organismes génétiquement modifiés (OGM) sur son territoire, quelles que soient les règles européennes et nationales auxquelles elle est soumise. Mercredi 11 juin, les députés régionaux ont voté un texte visant à assurer l'avenir d'"une agriculture de qualité, biologique et traditionnelle".
Ce décret (loi régionale) élaboré par le ministre de l'agriculture, le centriste Benoît Lutgen, s'en prend à "l'ultralibéralisme" de la Commission européenne et à "son intransigeance face aux pays qui se déclarent "non OGM"". Cette attitude, explique M. Lutgen, risque de "ruiner les efforts de plusieurs générations de paysans" et de privilégier "une approche purement industrielle".
La Wallonie espère contrecarrer la directive qui permet la mise sur le marché de plantes transgéniques et l'autorisation de "dissémination volontaire d'OGM à des fins expérimentales", comme par exemple des cultures à l'air libre. M. Lutgen a proposé d'empêcher cette dissémination en fixant les conditions les plus strictes en matière de coexistence avec l'agriculture conventionnelle ou biologique. Les autorisations ne seront accordées que pour une parcelle et une saison de récolte.
La loi régionale instaure un fonds de compensation qui sera financé exclusivement par les candidats à la production d'OGM et devra pallier les pertes dues à un mélange accidentel de cultures. Un arsenal répressif, incluant la possibilité d'arrachage et de lourdes amendes, servira à parer des menaces sur la viabilité économique de certaines filières ou le non-respect du nouveau décret. Le texte instaure également la possibilité de créer des zones sans OGM, le gouvernement entendant tout faire pour éviter une dissémination.
Il aura fallu trois années de travail pour élaborer ces mesures et éviter toute sanction européenne ou la plainte d'une multinationale du secteur. Incompétente pour décider d'une interdiction totale des OGM, la Wallonie a, en outre, voulu tirer les leçons d'une mesure générale et unilatérale prise par la Haute-Autriche : refusée par la Commission en 2003, cassée par la justice européenne en 2005 et 2007, cette décision a en fait abouti à ce qu'une société puisse lancer sans contrainte des cultures OGM dans cette province autrichienne.
Pour ce qui est de la coexistence entre OGM et autres cultures, Benoît Lutgen s'est inspiré, en les tirant jusqu'à leurs limites, des mesures adoptées au Portugal et au Danemark. En Wallonie, le fonds de compensation assurera une couverture totale des pertes éventuelles, même si un champ n'est pas voisin d'une culture OGM.
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Re: OGM
Et le fauchage est la seule solution?LeLama a écrit :Le probleme du fauchage est un probleme delicat. Il faut dire non a toute forme de violence. Mais la violence est aussi du cote de ceux qui mettent des ogm en plein champ alors que 70% des populations y sont opposees.Krom a écrit :On parle souvent des problèmes liés au financement privé de la recherche sur les OGMs. En effet, quelqu'un qui est intéressé par l'exploitation d'une plante OGM qui produirait autant, voir plus, mais à moindre frais, ne serait pas très enclin à démontrer la dangerosité de son produit sur l'environnement.
Allez, soyez un peu créatif. Isolez les fleurs avec des petits sachets, comme lors des premières études sur l'hérédité. (Oui, c'est long et fastidieux, et largement moins spectaculaire que la destruction pure et simple des plantations. Mais sur un petit champs comme dans l'article que je cite, c'est possible.)
Et je dois aussi rappeler qu'en Suisse, on a voté un moratoire. Les gens ont accepté un texte de loi qui prévoyait expressément la possibilité d'établir des plantations en plein air dans le cadre du plan national de recherche (oui, c'est autre chose que la cuisine du Grenelle de l'environnement. On vote et on a une réponse définitive.)
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Re: Les grands semenciers brevètent les gènes d'adaptation au ch
Ce genre de déclaration c'est vraiment de la propagande.paradigme a écrit :
Monsanto, premier producteur mondial de semences transgéniques, a publié le 4 juin, à Saint-Louis (Etats-Unis), un "engagement en trois points" : la firme s'engage à "doubler la productivité du maïs, du soja et du coton en 2030 par rapport à 2000", à "développer des semences qui réduiront d'un tiers les ressources requises" d'eau et d'engrais, et à aider "à améliorer la vie des paysans, dont cinq millions des plus pauvres, en 2020". Intervenant alors que se tenait à Rome la conférence de la FAO (Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture) sur la crise alimentaire, la démarche vise à convaincre que les organismes génétiquement modifiés (OGM) sont un atout pour faire face à ce problème et au changement climatique.


Monsanto semble faire feu de tout bois pour éssayer de redorer son image coute que coute.
Par exemple, à la suite de ces articles dans l'express:
et surtoutEn France comme à l'étranger, l'auteur du documentaire et du livre Le Monde selon Monsanto incarne désormais le combat contre les OGM
Marie-Monique Robin signe ses e-mails "M2R", pour aller plus vite, et mène des enquêtes extralongues, pour frapper plus fort. Les traits tirés mais l'énergie intacte, cette journaliste indépendante de 48 ans vit à 100 à l'heure. Tout juste rentrée du Canada, elle a rendez-vous avec une télévision japonaise, puis doit filer dans le sud de la France pour des conférences. Tout cela pour Le Monde selon Monsanto, un documentaire choc doublé d'un livre du même nom (éd. La Découverte/Arte Editions) dans lesquels cette baroudeuse habituée aux sujets "impossibles" (trafic d'organes, torture...) s'en prend à l'entreprise américaine, leader mondial des OGM.
M2R, qui a consacré trois ans à cette enquête, accuse Monsanto des pires manigances pour vendre ses produits, notamment ses semences transgéniques et son herbicide Roundup, au mépris de toute considération sanitaire. Résultat : le livre, dont L'Express avait publié des extraits en avant-première (à lire ici), s'est déjà vendu à 80 000 exemplaires. Il est en cours de traduction dans neuf langues. Quant au documentaire, diffusé sur Arte le 11 mars (près de 1,6 million de spectateurs, un record), il a été vendu dans 10 pays et s'aventure sur les "terres" de Monsanto, aux Etats-Unis (sortie du DVD au début de juillet) et au Canada.
L'auteur craignait une réaction fracassante de la multinationale de Saint Louis (Missouri). Surprise : celle-ci ne s'est toujours pas manifestée. M2R reste malgré tout sur ses gardes, convaincue que les attaques, "inévitables", sont pour bientôt. Elle sait qu'elle pourra alors compter sur de solides soutiens, au premier rang desquels Nicolas Hulot et José Bové. "Ce film est un excellent outil pédagogique", assure l'ancien porte-parole de la Confédération paysanne.
Ce succès ignore les clivages habituels. Ainsi, au début d'avril, en plein débat sur les OGM, le sénateur UMP Jean-François Le Grand, le "Monsieur OGM" du Grenelle de l'environnement, a écrit au président de son groupe, Henri de Raincourt, pour dénoncer les pratiques de lobbys qui "actionnent" les parlementaires et pour clamer son refus de "céder à la fatalité d'un monde selon Monsanto". "J'ai vu le film et j'ai été vraiment impressionné", témoigne- t-il, notant que certains de ses collègues ont, eux aussi, été "ébranlés". "Mais je ne peux pas donner de noms", ajoute-t-il.
Antoine Herth, rapporteur du texte sur les OGM à l'Assemblée, se demande encore "où le sénateur Le Grand est allé chercher tout ça". Et, si le film lui semble "de très bonne qualité", il n'en partage pas "toutes les analyses". "Bien sûr que des députés des deux bords se sont posé des questions après l'avoir vu [Greenpeace avait envoyé le DVD à chacun d'entre eux]. Mais l'effet a surtout été indirect: il y a eu un tel battage autour de sa diffusion que nous avons été harcelés. On recevait 200 messages des altermondialistes par jour!"
M2R semble se nourrir de cette agitation: si son enquête dérange autant, c'est qu'elle était nécessaire. Son éditeur américain, confie-t-elle, compte la proposer pour le prix Pulitzer, la référence absolue en matière de journalisme. M2R joue l'étonnée, mais on devine qu'elle croit en ses chances
Je vous invite à lire le premier commentaire posté par un certain celestin (bizarement un type avec le même pseudo à déjà polluer le forum d'arte). C'est à croire que ce sont des robots qui postent ces messages sans même lire ce qui précéde.Des pratiques pas très Net
Si Marie-Monique Robin tient un blog sur http://www.arte.tv, c'est autant pour maintenir le lien avec son public que pour répondre aux attaques sur le Web, "tellement systématiques qu'elles semblent orchestrées". Tentatives de décrédibilisation, insultes, commentaires agressifs... "Bizarrement, ce sont les mêmes pseudos qui reviennent, note-t-elle. Et, quand je les invite à venir débattre en public, il n'y a plus personne..."
http://www.lexpress.fr/actualite/enviro ... 10649.html
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Re: OGM
Un reportage retraçant le développement de la loi sur les OGMs
(On s'aperçoit en passant du retard énorme de la France en matière de traduction des directives européennes.)
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Re: OGM
Dans un article sur les retards de la France dans l'application des lois européennes environnementales (retards qui diminuent, quand-même), on apprend que le dossier OGM n'est pas tout à fait fini, d'autres états-membres ayant eux aussi eu certains désaccords :
Enfin, les organismes génétiquement modifiés (OGM) restent au centre du contentieux avec Bruxelles. Au-delà de l'astreinte journalière de 235 764 euros à laquelle elle a été condamnée pour sa transposition incomplète de la directive européenne, la France compte profiter de sa présidence pour rouvrir ce dossier, avec lequel elle n'est pas seule à se trouver en porte à faux.
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Re: OGM
Les aventures de la loi sur les OGMs au Conseil Constitutionnel.
(La loi est acceptée, à condition qu'une modification y soit apportée avant le premier janvier 2009. C'est une innovation.)
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Re: OGM
Krom a écrit :Les aventures de la loi sur les OGMs au Conseil Constitutionnel.
(La loi est acceptée, à condition qu'une modification y soit apportée avant le premier janvier 2009. C'est une innovation.)
Deuxième innovation, qui est une pure création du Conseil, est l'inconstitutionnalité à retardement, ou loi-Cendrillon.

La Terre est bleue comme une orange. Paul Eluard
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Monsanto, Nestlé même combat ?
Un monde totalement fou ou les multinationales jouent leurs profits sur le dos des populations qu'elles cherchent à manipuler pour mieux les contrôler !
Mystification !
AFP..........................OGM: Nestlé appelle l'Union européenne à assouplir ses règles
23.06.08 | 10h22
Le président du groupe alimentaire suisse Nestlé, Peter Brabeck, a appelé l'UE à assouplir ses règles sur les organismes génétiquement modifiés (OGM), pour faire face à la montée des prix des matières premières agricoles, dans un entretien paru lundi dans la presse.
"On ne peut pas nourrir la planète sans les organismes génétiquement modifiés", a estimé M. Brabeck, dans un entretien au quotidien britannique Financial Times.
"Nous avons les moyens de faire une agriculture viable à long terme", a-t-il ajouté, regrettant le manque d'engagement politique en faveur des OGM.
L'opposition de l'UE aux OGM a notamment favorisé le rejet de cette technologie en Afrique, a estimé le président du géant alimentaire helvétique.
"L'Union européenne a fait usage de pression politique pour empêcher certains pays d'utiliser des organismes génétiquement modifiés", a-t-il poursuivi, ajoutant que cette démarche "n'était pas forcément positive pour l'agriculture de ces pays ni pour leurs stocks".
Les OGM sont "une des technologies les plus sûres que nous ayons jamais vues - bien plus sûres que (les produits) biologiques ou écologiques à la mode en Europe", a affirmé M. Brabeck.
Le maïs MON810, conçu par le groupe agrochimique américain Monsanto, est la seule culture OGM présente dans l'UE, essentiellement en Espagne. Il représente moins de 1% des surfaces de maïs cultivées en France (22.000 hectares en 2007).
Mystification !
AFP..........................OGM: Nestlé appelle l'Union européenne à assouplir ses règles
23.06.08 | 10h22
Le président du groupe alimentaire suisse Nestlé, Peter Brabeck, a appelé l'UE à assouplir ses règles sur les organismes génétiquement modifiés (OGM), pour faire face à la montée des prix des matières premières agricoles, dans un entretien paru lundi dans la presse.
"On ne peut pas nourrir la planète sans les organismes génétiquement modifiés", a estimé M. Brabeck, dans un entretien au quotidien britannique Financial Times.
"Nous avons les moyens de faire une agriculture viable à long terme", a-t-il ajouté, regrettant le manque d'engagement politique en faveur des OGM.
L'opposition de l'UE aux OGM a notamment favorisé le rejet de cette technologie en Afrique, a estimé le président du géant alimentaire helvétique.
"L'Union européenne a fait usage de pression politique pour empêcher certains pays d'utiliser des organismes génétiquement modifiés", a-t-il poursuivi, ajoutant que cette démarche "n'était pas forcément positive pour l'agriculture de ces pays ni pour leurs stocks".
Les OGM sont "une des technologies les plus sûres que nous ayons jamais vues - bien plus sûres que (les produits) biologiques ou écologiques à la mode en Europe", a affirmé M. Brabeck.
Le maïs MON810, conçu par le groupe agrochimique américain Monsanto, est la seule culture OGM présente dans l'UE, essentiellement en Espagne. Il représente moins de 1% des surfaces de maïs cultivées en France (22.000 hectares en 2007).
- SuperCarotte
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Re: OGM
OGM: Nestlé appelle l'Union européenne à assouplir ses règles

décidément, les patrons de Nestlé sont tous plus detestables les uns que les autres.Le président du groupe alimentaire suisse Nestlé, Peter Brabeck, a appelé l'UE à assouplir ses règles sur les organismes génétiquement modifiés (OGM), pour faire face à la montée de prix des matières premières agricoles, dans un entretien paru lundi dans la presse.
"On ne peut pas nourrir la planète sans les organismes génétiquement modifiés", a estimé M. Brabeck, dans un entretien au quotidien britannique Financial Times.
"Nous avons les moyens de faire une agriculture viable à long terme", a-t-il ajouté, regrettant le manque d'engagement politique en faveur des OGM.
L'opposition de l'UE aux OGM a notamment favorisé le rejet de cette technologie en Afrique, a estimé le président du géant alimentaire helvétique.
"L'Union européenne a fait usage de pression politique pour empêcher certains pays d'utiliser des organismes génétiquement modifiés", a-t-il poursuivi, ajoutant que cette démarche "n'était pas forcément positive pour l'agriculture de ces pays ni pour leurs stocks".
Les OGM sont "une des technologies les plus sûres que nous ayons jamais vues, bien plus sûres que (les produits) biologiques ou écologiques à la mode en Europe", a poursuivi M. Brabeck.

La folie, c’est se comporter de la même manière et s’attendre à un résultat différent. [Albert Einstein]