Léonard De Vinci avait étudié les turbulences des cours d'eau. Un simple obstacle ds le fond ou sur le bord peut créer en aval des turbulences qui finissent par saper la berge et la faire s'écrouler.
La montée des eaux est peut être régulière, mais les obstacles qu'elle trouve ne le sont pas du tout..réguliers. Une situation stabilisée de niveau va finir par éroder les parties fragiles et créer un état de côtes assez stabilisé ( sauf à lacanau!)...je pense surtout à une fréquence de phénomènes un peu plus durs, genre processus centenaire qui passe décennal, comme en Allemagne.
Pour le fond du sujet, je parlais du système général "climat" et même météo. C'est un système global complexe, non linéaire, qui se trouve (trouvais) sur un attracteur. Un système de ce genre me semble etre constitué d' une somme de systèmes de moindre importance, locaux ou temporels.
L' élévation moyenne de température est plus une conséquence qu'une variable du système, mais c'est aussi une variable pour le système et surtout pour les sous-systèmes. Une variabilité qui parait linéaire (température moyenne), peut tres bien induire ou modifier des équations du /des modèles.
Il me semble logique (intuitivement), qu' une perturbation provoque des perturbations fortes dans d'autres domaines ( salinité de l'eau, ...par ex) avec , comme conséquences des cata ds différents domaines......Par ex l'animal ou la plante peut migrer pour suivre son climat optimal, mais pas son prédateur, polénisateur ou défenseur symbiotique. De plus notre modèle agricole, ultra spécialisé, a perdu toute la résilience des méthodes antérieures. Les Gaulois (avant JC), semaient des mélanges de graines . C'est le terrain et le climat de l'année qui sélectionnait.