Mais ça peut convaincre des ignares qui ne cherchent qu'à convaincre d'autres ignares que leur dogme est la vérité, la base de la communication marketing qu'elle soit politique, industrielle ou commerciale. L'important n'est pas la justesse de l'argumentation mais l'impact statistique que cela peut avoir sur l'auditoire ciblé. Quand il y a plus d'ignares dans la population que de gens qui réfléchissent et que ceux qui sont convaincus ont un bulletin de vote à géométrie variable, il vaut mieux cibler les ignares avec des conneries que ceux qui sont instruits avec une vérité qu'il connaissent déjà et a forgé leur opinion.GillesH38 a écrit :cette manière de calculer est idiote. Le paramètre pertinent pour estimer les pertes radiatives est bien la température superficielle, pas la quantité de chaleur stockée qui dépend de la capacité calorifique de ce que tu chauffes. les lacs sont bien moins profonds que l'océan et donc absorbent bien moins de chaleur, ça ne veut pas dire qu'ils se chauffent de 36 °C ! si tu mets un petit caillou à coté d'un gros caillou, il vont chauffer pareil au soleil, meme si le gros caillou absorbe bien plus de chaleur que le petit : mais ça n'a aucun sens de calculer le réchauffement qu'il y aurait eu si tu avais mis la chaleur du gros caillou dans le petit caillou !CP3 a écrit :Il ait estimé que si la chaleur issus de l' effet de serre additionel ne s' accumulait pas dans l' océan , mais dans l' air , celle-ci se serait réchauffé sur les 10 premiers km d' épaisseur , de 36 °c . Cela peut ,par exemple ,donner une idée que le forçage radiatif issus de l' effet de serre additionnel est loin d' etre négligeable .
On va bientôt pouvoir se régaler des énormités énergétiques et climatiques proférées par les politiques pendant les primaires de la droite, de la gauche et des écologistes
Je m'en délecte d'avance, il n'y en a pas un pour racheter l'autre