Grenelle de l'Environnement Octobre-2007 et suite ...

[Transparence]

Ici on critique le Grenelle à juste titre :
htp:/contre-grenelle.org/munich-ecologie.htm
htp:/contre-grenelle.org

Vraiment nul ce site (approche, idéologie, non-arguments). Insignifiant.

[Transparence]

A noter que Maud Fontenoy prépare une émission (hebdomadaire ?) surfant sur l'écologie pour TF1 --> http://www.tvmag.com/article/Magazine/3 ... _TF1_.html. Ce sera sûrement un bon moyen pour Bouygues de faire la promotion (...) des rames TGV.

Oui, et c'est très bien car le TGV est un mode de transport très écologique.

[Transparence]

Voici la réaction de Cochet aux conclusions du Grenelle de l'environnement :
http://www.actu-environnement.com/ae/ne ... _3782.php4
Assez réaliste le bonhomme.

Encore une fois Sharko est en train de tromper son monde ou plutôt les gogos.

(...) Il est une dernière lecture du Grenelle de l'environnement, plus idéologique et plus spéculative.

L'idéologie d'extrême gauche ? L'anti-libéralisme primaire ?

Le coup de tonnerre sarkosyste, à la suite de ceux de Al Gore et de Nicholas Stern, n'est-il pas le dernier avatar du productivisme libéral (du capitalisme, si vous voulez) pour tenter de concilier la mondialisation, le marché et la technologie avec l'impératif écologique décrit par exemple dans le récent rapport GEO4 du Programme des Nations Unies pour l'Environnement (PNUE) ?

Bien sur que oui (avec des mots moins péjoratifs bien entendu), c'est cela le développement durable. L'approche d'Al Gore, c'est celle du capitalisme vert, celle où c'est grâce aux forces du marché que l'on construit le système énergétique durable de demain. Celle où l'état oriente modérément le marché vers les énergies propres (libéralisme modéré vert). Celle où l'on sait que l'approche régressiste est infondée et qu'elle mène à une impasse.

Selon ce point de vue (« économie verte », « plan Marshall planétaire pour l'environnement»...), il serait possible de continuer la croissance et le business tout en améliorant fondamentalement l'état de santé de la Terre et de ses habitants.

Oui, et c'est effectivement possible. C'est fondé scientifiquement et techniquement.

À mes yeux, ce modèle du monde est une impasse.

Ouvrez les yeux Yves. Et larguez la moitié des pseudo verts d'extrême-gauche qui tirent le parti à terre. Ils seront mieux chez Besancenot. Vous avez vous-même proposé de dissoudre les Verts :

Yves Cochet appelle à la "dissolution" des Verts
"Nous n'avons pratiquement pas progressé depuis 33 ans, l'écologie politique n'a pas fait progresser l'état de la planète, nous avons échoué", a-t-il déploré, soulignant qu'"il faut refonder l'écologie politique, il faut vraiment changer tout, appeler tous les gens pour qui la priorité unique c'est l'écologie à cette refondation".
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0 ... 610,0.html (Trois Grenelle en un seul ? - Ou trois Cochet en un seul ?...Du Ri-Cochet au Tri-Cochet )

Si « révolution écologique » il doit y avoir, elle devra inclure un bouleversement complet de la pensée et de la pratique économique, par exemple en réfléchissant sur le terme de « décroissance ». À suivre, donc.

L'approche croissance contre décroissance mène à une impasse. Il serait temps, en effet, que les Verts bouleversent completement leur manière de penser et leurs pratiques politiques. Cohn Bendit à initié ce mouvement : suivez-le. Daniel Cohn-Bendit veut refonder l'écologie politique et les Verts
http://lesvertssouslaloupe.over-blog.co ... 99104.html

Site de l'Association de Cohn Bendit :

Horizons Ecologie.net :

Discours introductif de la réunion de Tours par David MARTIN http://horizonsecologie.net/index.php?p ... cologistes

Bienvenue à Tours, bienvenue à ce que certains ont appelé le congrès de Tours des écologistes. J'en accepte bien volontiers l'augure et souhaite que ce mois de juin 2007 soit aussi important pour l'écologie politique que ce mois de décembre 1920 le fut dans l'histoire de la gauche non autoritaire.

Il me revient de vous présenter en quelques mots le programme de cette journée, vous donner les quelques informations pratiques, et vous dire en quelques mots comment et pourquoi nous avons pris l'initiative de ce manifeste de la refondation de l'écologie politique et de cette journée à Tours.

Avant de vous présenter en détail le programme de cette journée, permettez-moi de vous dire quelques mots sur les objectifs généraux de cette journée. Il s'agit pour nous de déclencher une dynamique, d'engager un processus de refondation de l'écologie politique. Cette journée est donc avant tout un point de départ et en aucun cas le point d'arrivée. Je veux dire par là que nous n'ambitionnons pas de traiter aujourd'hui tous les aspects d'une telle refondation : la ligne politique, le projet, la stratégie, les alliances, les moyens, ...

Nous souhaitons plutôt voir si ensemble nous partageons un diagnostic, si nous pouvons partager un cap, une ambition, et se doter d'une méthode et d'un calendrier pour arriver à nos fins : la refondation de l'écologie politique. Cette journée n'est donc pas un colloque, cette réunion n'est pas non plus une séance de psychothérapie collective -même si nous en aurions certainement besoin- cette réunion n'est pas une réunion des Verts.

Cette réunion est une tentative –je l'espère réussie- de passage du discours sur la nécessaire refondation de l'écologie politique à un processus véritablement opérationnel. Nous souhaitons donc que cette journée -et donc l'ensemble des interventions que ce soit en tribune ou dans la salle- garde à l'esprit ces aspects : attitude constructive et visée opérationnelle, sans jamais esquiver les questions qui font débat !

Comment est née l'idée du manifeste de la refondation de l'écologie politique et de cette réunion de Tours ?
Tout simplement en constatant le formidable paradoxe de cette campagne présidentielle : jamais les questions liées à l'écologie n'ont autant été au coeur du débat politique et porté par les citoyens, et jamais les Verts – censés être l'incarnation de cette écologie politique- n'ont fait de si mauvais résultats électoraux. Certes on peut incriminer les médias, le syndrome du 21 avril, le pertubant Nicolas Hulot, ... et j'en passe mais nous savons tous que ces arguments -même s'ils ont certainement pesés- ne résistent pas à un examen honnête de la situation.

Alors fait-il penser comme certains en paraphrasant Clémenceau : l'écologie est peut-être devenue une chose trop sérieuse pour la confier aux écologistes !

Ce n'est pas notre point de vue, mais nous sommes par contre convaincus qu'un autre Parti Vert est possible et plus que nécessaire !!! D'où notre volonté d'engager un processus de refondation de l'écologie politique. Refondation et non rénovation !!!

Il nous faut re-visiter notre projet, notre stratégie, le périmètre de nos alliances, notre organisation, notre communication, mais aussi notre posture. La radicalité du projet n'entraine pas nécessairement la radicalité de la posture, avons-nous écrit dans le manifeste.

Ainsi, peut-on imaginer une nouvelle écologie ?

Une écologie qui prenne acte de l'économie de marché pour mieux la réguler.
Une écologie qui ne voit pas dans la mondialisation nécessairement plus de dangers qu'elle n'y voit d'opportunités.
Une écologie qui pense l'Europe comme un horizon désirable, comme la conquête politique majeure du 21ème siècle.
Une écologie décomplexée, qui repense son corpus d'idées en cherchant la cohérence, l'efficacité et la lisibilité.
Une écologie qui appréhende la complexité des réalités pour mieux les transformer.
Une écologie de l'innovation, de l'excellence, de la précision, qui renonce à la paresse intellectuelle de la pensée dogmatique et rompt avec l'approximation. Une écologie de la majorité qui cherche à rassembler.
Une écologie qui préfère la réalité à la pureté, ce qui ne l'empêche pas de rêver et de faire rêver.
Une écologie de l'envie et de l'enthousiasme, qui -sans pour autant être naïve- tourne le dos au catastophisme, à l'écologie de la privation, de la peur, de l'urgence et de la menace !
Une écologie de l'action, et non pas une écologie donneuse de leçons que ce soit aux citoyens ou aux autres formations politiques.
Une écologie qui accepte d'être incarnée par des leaders élus et soutenus, plutôt que contrôlés et combattus.
Une écologie qui assume une ligne politique claire, qui revendique le périmètre de ses alliances, préférant des coalitions durables fondées sur une plate-forme politique sérieusement et sereinement négociée.
Une écologie exigeante mais loyale avec ses partenaires.
Une écologie du compromis, refusant la loi du tout ou rien.
Une écologie qui assume sa part d'utopie, sans jamais renoncer à l'exigence démocratique et au pragmatisme de l'action publique.
Une écologie libérale aux plans politique, culturel et sociétal.
Une écologie laïque.
Une écologie moderne résolument tournée vers l'avenir, un mouvement du développement durable qui assume pleinement le mot développement.
Enfin, une écologie de la convivialité où il fait « bon » d'être ensemble, où notre façon d'être ensemble est déjà un projet !


Je vous souhaite, je nous souhaite une excellente journée en espérant que celle-ci porte déjà en elle les germes de la refondation de l'écologie politique.

Si les Verts sont capables d'effectuer ce changement, je redeviendrai vert. S'ils continuent leur flirt malsain avec l'extrême-gauche, qu'ils aillent se faire voir.

L'écologie n'appartient pas à la gauche de la gauche
Par Corinne LEPAGE
http://www.liberation.fr/rebonds/198647.FR.php

[braskc78]

Une fois de plus j'ai l'impression d'être pris pour un con, pardon, gros con.

Je regarde comme tout bon français de base le journal de 13 heures sur TF1.
Qu'est ce j'apprends :
La SNCF va fermer plus de 262 gares de FRET pas suffisamment rentables.
Des milliers de camions vont se retrouver sur la route !

Merci le Grenelle, merci Borlo, Merci Sarko.

C'est pas gagné !

[Transparence]

Une fois de plus j'ai l'impression d'être pris pour un con, pardon, gros con.

Je regarde comme tout bon français de base le journal de 13 heures sur TF1.
Qu'est ce j'apprends :
La SNCF va fermer plus de 262 gares de FRET pas suffisamment rentables.
Des milliers de camions vont se retrouver sur la route !

Merci le Grenelle, merci Borlo, Merci Sarko.

C'est pas gagné !

Effectivement, manque total de cohérence.

[Transparence]

Nicolas Sarkozy reçoit une "standing ovation" au Congrès américain
LEMONDE.FR avec AFP | 07.11.07

"NOUS AVONS BESOIN DE L'AMÉRIQUE POUR PROTÉGER LA PLANÈTE"

Le président français a par ailleurs demandé aux Etats-Unis de se joindre au combat contre le réchauffement climatique."Ceux qui aiment le pays des grands espaces, des parcs nationaux, de la nature protégée, attendent de l'Amérique qu'elle prenne, aux côtés de l'Europe, la tête du combat contre le réchauffement climatique qui menace de destruction notre planète", a-t-il déclaré. "Je sais que le peuple américain, à travers ses villes et ses Etats, est chaque jour plus conscient des enjeux et déterminé à agir (...). Nous avons besoin de l'Amérique pour protéger la planète dans son environnement"

http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0 ... 176,0.html

George Bush : Nicolas Sarkozy est «comme moi» [ La honte... ]

Le président américain George W. Bush assure considérer Nicolas Sarkozy comme un homme aux «valeurs profondes», qui veut comme lui «résoudre les problèmes», dans un entretien à la chaîne TF1 diffusé mercredi alors que le président français était en visite aux États-Unis.

«Vous avez un nouveau président qui apporte un niveau d'énergie qui est passionnant, excitant. (...) Il est comme moi, il veut résoudre les problèmes. Il dit : voici un problème, allons le résoudre», a déclaré M. Bush dans cet entretien avec le présentateur vedette Patrick Poivre d'Arvor.

http://www.cyberpresse.ca/article/20071 ... 44/CPMONDE

[Alter Egaux]

En 2006, on a dépensé 50 MILLIARDS D'EURO (pétrole, gaz, charbon, uranium), et 50 milliards d'euros équivalent de la rémunétation 1,3 millions salariés, suivant Pierre Radanne.
Analyse des rapports de synthèse des groupes de travail du Grenelle de l’Environnement

[Alter Egaux]

Je vous conseille l'émission (en MP3) citée ci dessus :

3 oppositions :
- la remise en cause de la société de consommation et la diminution de nos émission de Gaz à Effet de Serre (GES) va nous faire aller vers une société de décroissance,
- On va économiser et réduire les polluants et ainsi améliorer l'efficacité de notre société, se qui sera bénéfique pour l'économie,
- les questions d'environnement sont des gisements d'emplois.

Crise grave sur Energie : le transport va décroitre physiquement et mécaniquement.

4 Scénarios :
- le néolibéralisme continue (continuité des privatisations), croissance maximale et maitrise écologique insupportable,
- le keynésianisme revient (interventionnisme étatique vers une transition énergétique en marche forcée), limitation des dégâts environnementaux et sociaux,
- Dépense militaire et policière exponentielle à cause des inégalités sociales et environnementaux engendrés par le PO/RC, situation explosive avec négligence de l'environnement,
- révolution pacifique de la durabilité de la société : prise en compte du social et environnemental accompagnée d'une démocratie participative. scénario idéal.

Je rappelle que les budgets militaires explosent avec le prix du baril (kérozène, diesiel, fuel).
Je pense effectivement que se qui est le plus sous estimer dans les conséquences du PO/RC dans le contexte économique libéral, c'est l'explosion sociale que la poussée du PO/RC va engendré.

[sylva]

Les scénarios 1 et 3 reviennent au même, en fait...

[Alter Egaux]

Les scénarios 1 et 3 reviennent au même, en fait...

Le nuance mérite cependant d'être énoncée :
- je pense que le libéralisme a pour conséquence d'augmenter les crises financières et donc d'engendrer un contexte propice de montée du fascisme, d'autant plus que le libéralisme est non interventionniste par définition; il n'anticipe pas les crises (sociales, environnementales et énergétiques entre autres). Mais ce point de vue n'est pas forcément partager.
- le scénario 3 est plus impérialiste, il se différencie philosophiquement du libéralisme pur jus puisque la guerre est le summum de l'interventionnisme d'Etat, à condition de se voiler la face en imaginant que le néolibéralisme est une économie libérale (« concurrence libre et non faussée »), ce qui est un mensonge dans la réalité. Notion elle aussi non partager par les libéraux du forum.

Bref, en distinguant le scénario 1 et 3, l'émission ainsi que mon message préserve les susceptibilités de tous.
Bien entendu, je suis d'accord que le contexte actuel (géopolitique + économie néolibérale) font que les scénarios 1 et 3 se chevauchent et se complètent, voire fussionnent leurs intérêts dans une stratégie convergente (voir théorie du complot abondamment discuté sur ce forum : fusion néoconservateur avec les stratégies néolibérale de puissants lobbies).

Mais écrit ainsi, la porte reste encore ouverte aux idéalistes du libéralisme, sans aucune hypocrisie.

[sylva]

merci pour cette réponse nuancée et diplomate

[energy_isere]

Jean-Louis Borloo fixe les premiers rendez-vous

LE MONDE | 26.11.07

Il tient l'agenda : un mois après la table ronde du Grenelle de l'environnement, Jean-Louis Borloo veut dissiper le sentiment de flottement qui commence à poindre sur la mise en route des grands objectifs validés par le président de la République.

Dans un entretien à l'AFP, vendredi 23 novembre, le ministre de l'écologie a assuré que le décret créant la Haute Autorité sur les OGM et celui imposant aux cantines publiques d'introduire 20 % d'aliments "bio" d'ici à 2010 étaient prêts et seraient publiés avant Noël.

Les parlementaires devraient dans les prochains jours se pencher sur le projet de bonus-malus imaginé pour inciter les automobilistes à acquérir des véhicules moins polluants. Le principe s'appliquerait aussi, à titre expérimental, à quelques produits de consommation courante afin d'avantager les articles dont la fabrication engendre relativement moins de CO2.

Le ministère souhaite voir le texte adopté avant le 9 février, jour où le Parlement suspendra ses travaux pour cause d'élections municipales. Le projet de loi sur les OGM et celui instituant de nouvelles normes de construction dans le bâtiment devraient aussi faire partie des premiers textes adoptés. La grande loi-cadre annoncée pour ramasser tous les volets du Grenelle et en organiser le financement n'est cependant plus explicitement évoquée.

Les comités de suivis promis pour décliner les engagements pris le 25 octobre se mettent lentement en place. Sur la trentaine prévue, seuls quelques-uns sont opérationnels comme celui sur les pesticides ou le bâtiment. Un groupe de travail sur la taxe carbone est annoncé pour les prochains jours.

Jean-Louis Borloo estime cependant que le processus de consultation qui se poursuit avec les différents acteurs ne doit pas se transformer en Grenelle permanent. "Il est normal que, dans cette phase, le gouvernement reprenne la main et que les ministères aient un peu de temps pour plancher sur les modalités pratiques des mesures", estime Arnaud Gossement, porte-parole de France Nature Environnement (FNE). Après avoir mobilisé toutes leurs forces au moment de la négociation, les associations manquent aussi souvent de moyens pour suivre de front tous les dossiers.


ARBITRAGES MINISTÉRIELS

Elles savent pourtant que cette seconde étape est tout aussi cruciale pour que le Grenelle soit, au final, à la hauteur des ambitions affichées. En dévoilant, le 21 novembre, sa conception de la taxe kilométrique sur les poids lourds, adoptée dans son principe par le Grenelle, le secrétariat d'Etat au transport a montré que cela n'était pas gagné d'avance.

Cette taxe n'aurait, selon les services de Dominique Bussereau, vocation à s'appliquer qu'aux routes nationales, contrairement aux conclusions du Grenelle qui englobait l'ensemble du réseau routier, hors autoroutes. Ce détail n'aura évidemment échappé à personne.

Après avoir gagné la bataille sur les grands principes, les associations écologistes ont maintenant devant elles celles des arbitrages ministériels.

[rico]

Quand je vois que la taxe poids lourds ne sera pas appliquée avant 2011 (pourquoi pas 2031 ou tiens même 2111!!!) moi le Grenelle ça me fait bien rigoler!

[Muad'Dib 1.2]

Quand je vois que la taxe poids lourds ne sera pas appliquée avant 2011 (pourquoi pas 2031 ou tiens même 2111!!!) moi le Grenelle ça me fait bien rigoler!

Moi ce qui me rends triste c'est Nicolas Hulot...Qu'est-ce qu'ils ont bien pu lui dire pour qu'il se déclare satisfait à la sortie de ses grenelles ?

C'est louche tout ça.

[rico]

J'ai foi en Nicolas : je sais qu'il va réagir dès qu'il va constater la supercherie dans laquelle on a voulu le trainer.