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Modérateurs : Rod, Modérateurs
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Observons la dette totale américaine, interne et externe, hors banques. C’est une habitude de calculer ainsi car les banques se couvrent les unes les autres, se protègent, et leurs comptes sont toujours imbriqués, donc on sort les institutions financières, et l’on fait le calcul de tout ce que doivent les ménages, les entreprises, les Etats américains et la Fédération. Cette dette totale vient d’atteindre - c’est la Fed qui l’annonce - 39 trillions de dollars. 39 000 milliards de dollars.
Il est évident qu’à ce niveau là elle ne sera jamais remboursée. A la limite ces chiffres n’ont plus aucun sens, mais ils ont pour effet de grever beaucoup la vie quotidienne. C’est là que l’on retrouve l’incidence avec les subprimes. Le système fonctionne à la condition que les USA puissent trouver, pour continuer à financer leur développement dans ces conditions étranges, deux milliards de dollars par jour, qui sont principalement souscrits, qui sont prêtés par l’Asie.
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Bush annonce 145 milliards de réductions d'impôts
Le président américain George W. Bush a proposé vendredi des réductions d'impôts d'un montant global de 145 milliards de dollars (99 milliards d'euros) pour stimuler une économie américaine ébranlée par la crise des "subprimes" et éloigner les craintes de récession.
Cette enveloppe représente un point du produit intérieur brut (PIB) américain.
Le chef de la Maison Blanche a expliqué que ces baisses d'impôts comprendraient à la fois des incitations fiscales pour encourager les investissements et des allégements d'impôts "directs et rapides" pour les particuliers.
Jeudi, le patron de la Réserve fédérale Ben Bernanke n'avait pas caché qu'il était favorable à l'idée d'un plan de sauvetage pour l'économie américaine, qui pourrait être selon lui rapidement mis en application et être temporaire pour ne pas perturber les politiques fiscales à long terme.
Boursoram^
La situation économique aux Etats-Unis est "potentiellement vraiment grave"
Selon Robert Reich, professeur d'économie à l'université de Californie, à Berkeley. Ancien secrétaire au travail de l'administration Clinton, il est aujourd'hui l'un des conseillers économiques de Barack Obama, candidat à l'investiture démocrate à la présidentielle américaine.
USA - L'ISM révise ses indices d'activité
NEW YORK, 18 janvier (Reuters) - L'Institute for Supply Management (ISM) a annoncé vendredi la révision de la formule de calcul de ses deux indices d'activité dans le secteur manufacturier et dans les services, avec pour objectif de mieux anticiper l'évolution économique.
Les nouveaux indices seront diffusés début février pour rendre compte de l'activité de janvier.
Dans la nouvelle formule de l'indice manufacturier les cinq composantes prises de commande, production, emploi, livraisons des fournisseurs et stocks auront chacune une pondération de 20%.
Dans la formule actuelle, les prises de commandes représentent 30% de l'indice, la production 25%, l'emploi 20%, les livraisons des fournisseurs 15% et les stocks 10%. "Une pondération égalitaire donne une meilleure production du PIB", explique Andra Wass, vice-président de l'ISM.
Pour le secteur des services, l'activité, les prises de commande, l'emploi et les livraisons des fournisseurs auront chacune une pondération de 25%.
la suite : http://www.boursorama.com/infos/actuali ... ws=5066153USA: le Congrès révise à la hausse sa prévision de déficit budgétaire 2008
Le déficit budgétaire des Etats-Unis devrait atteindre 219 milliards de dollars au cours de l'année fiscale 2008, a estimé mercredi le bureau du budget du Congrès américain (CBO), qui a ainsi revu à la hausse ses estimations antérieures.
Dans sa précédente projection faite en août, le CBO tablait sur un déficit de 155 milliards de dollars au cours de l'année budgétaire 2008 (close le 30 septembre), soit 64 milliards de moins que dans sa prévision actualisée.
Ces chiffres ne tiennent pas compte cependant du plan de relance proposé la semaine dernière par le président George W. Bush, ni d'une éventuelle prolongation des baisses d'impôts existantes, ni d'une possible hausse des dépenses en Irak et en Afghanistan.
La Maison Blanche a tâché de minimiser cette mauvaise nouvelle, la porte-parole Dana Perino faisant valoir que l'administration avait déjà prévu il y a plusieurs mois une "petite" augmentation du déficit.
"Les détails de ce que nous pensons en termes de prévisions de déficit seront entièrement publics le 4 février quand sortira notre budget", a dit Mme Perino.
Pour rappel, la Maison Blanche table pour l'ensemble de l'exercice 2008 sur un déficit budgétaire de 258 milliards de dollars contre 163 milliards en 2007.
Mme Perino a indiqué que le plan de relance d'environ 140 à 150 milliards de dollars sur lequel le gouvernement et le parlement essaient de s'entendre rapidement pour épargner la récession à la première économie mondiale serait pris en compte dans le déficit inscrit au budget le 4 février.
Elle n'a pas dit si l'administration allait réviser pour son budget ses prévisions économiques antérieures qui risquent de se révéler optimistes, en ce qui concerne la croissance par exemple.
Selon les prévisions du CBO, le déficit devrait représenter 1,5% du Produit intérieur brut (PIB) en 2008 contre 1,2% en 2007.
Le bureau a souligné que cette détérioration s'expliquait par l'assombrissement des perspectives économiques. "La croissance a ralenti en 2007, et il semble qu'elle va encore décélérer en 2008", note le document.
Mais "même si les derniers chiffres suggèrent que la probabilité d'une récession en 2008 a augmenté, le CBO ne prévoit pas que le ralentissement économique sera assez important pour provoquer une récession", ajoute-t-il.
Boursoram^
Déficit du commerce extérieur... pas budgétaireGillesH38 a écrit :Les Etats-Unis importent autour de 4 milliards de barils par an, 10 $ de plus que prévu, ça creuse le déficit de 40 milliards de $....
en détail : http://www.latribune.fr/info/Les-Etats- ... ernationalLes Etats-Unis adoptent leur plan de relance de 150 milliards de dollars
La Maison blanche et le Congrès à majorité démocrate se sont entendus sur le plan de relance d'un montant total de 150 milliards de dollars destiné à prévenir une récession de la première économie mondiale. Ce plan, qui repose sur des allègements d'impôts pour les ménages et des incitations à l'investissement pour les entreprises, devrait bénéficier à quelque 117 millions de foyers