

Modérateurs : Rod, Modérateurs
http://forums.oleocene.org/viewtopic.ph ... &start=270j'ai eu une idée bizarre .....
et si la crise serait tout simplement :
et si tout simplement l'homme en a marre de ce putain de confort(excusez moi du terme) marre de la technologie (bombe h et Cie )
il cherche désespérément un sens a sa vie entre le virtualisme de la télévision dont il a conscience que on tente de le manipuler pour engraisser des couillons, des jeux vidéos ect.... marre de travailler pour des couillons( encore excuses pour ce terme) il sent que son cerveau s'atrophie.....
il sait que il ne peut continuer comme ça a détruire son environnement ! il a aussi conscience que on n'aura jamais assez d'énergie pour faire l'épopée spatiale (colonisation de mars)
et subitement il décide de redevenir un animal tout simplement ? afin de protéger sa bonne vielle terre
les dauphins il sont bien retourné a la mer apres une aventure terrestre ? non
Einstein disait (dont j'ai adoré )
EINSTEIN A DIT UN JOUR " JE NE SAIS PAS COMMENT SE PASSERA LA 3EME GUERRE MONDIALE . MAIS JE SAIS QUE LA 4EME SE FERA A COUP DE PIERRES ET DE BÂTONS "
je délire peut être
toutes mes excuses
Sympa Mr energy de l'isère, lolc'est la faute de mr energy_isere il a fusionné la file qui etait dans le hors sujet
oui, un seul dossier pour les entreprises ou organisations telles que Leap, EIA , AIE, AREVA, TOTAL, ASPO France ......mrlargo a écrit :Pour les sujets un peu "éloignés" de la thématique du forum, on les tolère (parfois) mais on évite avant tout de les multiplier même si ils ont plusieurs branches...
Après la crise financière, la guerre civile ? Préparez-vous à "quitter votre région"...
LE MONDE | 26.02.09
La crise économique et financière va-t-elle dégénérer en violentes explosions sociales ? En Europe, aux Etats-Unis ou au Japon, la guerre civile est-elle pour demain ? C'est le pronostic quelque peu affolant que dressent les experts du LEAP/Europe 2020, un groupe de réflexion européen, dans leur dernier bulletin daté de mi-février.
Dans cette édition où il est question que la crise entre, au quatrième trimestre 2009, dans une phase de "dislocation géopolitique mondiale", les experts prévoient un "sauve-qui-peut généralisé" dans les pays frappés par la crise. Cette débandade se conclurait ensuite par des logiques d'affrontements, autrement dit, par des semi-guerres civiles. "Si votre pays ou région est une zone où circulent massivement des armes à feu (parmi les grands pays, seuls les Etats-Unis sont dans ce cas), indique le LEAP, alors le meilleur moyen de faire face à la dislocation est de quitter votre région, si cela est possible."
Selon cette association, formée de contributeurs indépendants issus des milieux politiques et économiques et de professionnels européens de différents secteurs, les zones les plus dangereuses sont celles où le système de protection sociale est le plus faible.
La crise serait ainsi à même de susciter de violentes révoltes populaires dont l'intensité serait aggravée par une libre circulation des armes à feu. L'Amérique latine, mais aussi les Etats-Unis sont les zones les plus à risques. "Il y a 200 millions d'armes à feu en circulation aux Etats-Unis, et la violence sociale s'est déjà manifestée via les gangs", rappelle Franck Biancheri, à la tête de l'association. Les experts du LEAP décèlent d'ailleurs déjà des fuites de populations des Etats-Unis vers l'Europe, "où la dangerosité physique directe restera marginale", selon eux.
FAIRE DES RÉSERVES
Au-delà de ces conflits armés, le LEAP alerte sur les risques de pénuries possibles d'énergie, de nourriture, d'eau, dans les régions dépendantes de l'extérieur pour leur approvisionnement et conseille de faire des réserves. Cette perspective apocalyptique pourrait faire sourire si ce groupe de réflexion n'avait, dès février 2006, prédit avec une exactitude troublante le déclenchement et l'enchaînement de la crise. Il y a trois ans, l'association décrivait ainsi la venue d'une "crise systémique mondiale", initiée par une infection financière globale liée au surendettement américain, suivie de l'effondrement boursier, en particulier en Asie et aux Etats-Unis (de - 50 % à - 20 % en un an), puis de l'éclatement de l'ensemble des bulles immobilières mondiales au Royaume-Uni, en Espagne, en France et dans les pays émergents. Tout cela provoquant une récession en Europe et une "très Grande Dépression" aux Etats-Unis.
Doit-on en conclure que la crise mondiale peut se transformer en guerre mondiale ? "Les pronostics de LEAP sont extrêmes, mais la violence sociale pointe", admet Laurence Boone, économiste chez Barclays.
Reste un espoir, une "dernière chance" selon le LEAP, qui résiderait dans la capacité du G20, qui se réunira le 2 avril à Londres, à arrêter un plan d'action "convaincant et audacieux". Dans ce cas, le monde ne serait toutefois pas tiré d'affaire, puisque les experts ne manquent de rappeler que se profile aussi une sévère crise climatique...
Voilà qui ne manquera pas de relancer le débat sur les réservesLa crise économique et financière va-t-elle dégénérer en violentes explosions sociales ? En Europe, aux Etats-Unis ou au Japon, la guerre civile est-elle pour demain ? C'est le pronostic quelque peu affolant que dressent les experts du LEAP/Europe 2020, un groupe de réflexion européen, dans leur dernier bulletin daté de mi-février.
Dans cette édition où il est question que la crise entre, au quatrième trimestre 2009, dans une phase de "dislocation géopolitique mondiale", les experts prévoient un "sauve-qui-peut généralisé" dans les pays frappés par la crise. Cette débandade se conclurait ensuite par des logiques d'affrontements, autrement dit, par des semi-guerres civiles. "Si votre pays ou région est une zone où circulent massivement des armes à feu (parmi les grands pays, seuls les Etats-Unis sont dans ce cas), indique le LEAP, alors le meilleur moyen de faire face à la dislocation est de quitter votre région, si cela est possible."
Selon cette association, formée de contributeurs indépendants issus des milieux politiques et économiques et de professionnels européens de différents secteurs, les zones les plus dangereuses sont celles où le système de protection sociale est le plus faible.
La crise serait ainsi à même de susciter de violentes révoltes populaires dont l'intensité serait aggravée par une libre circulation des armes à feu. L'Amérique latine, mais aussi les Etats-Unis sont les zones les plus à risques. "Il y a 200 millions d'armes à feu en circulation aux Etats-Unis, et la violence sociale s'est déjà manifestée via les gangs", rappelle Franck Biancheri, à la tête de l'association. Les experts du LEAP décèlent d'ailleurs déjà des fuites de populations des Etats-Unis vers l'Europe, "où la dangerosité physique directe restera marginale", selon eux.
FAIRE DES RÉSERVES
Au-delà de ces conflits armés, le LEAP alerte sur les risques de pénuries possibles d'énergie, de nourriture, d'eau, dans les régions dépendantes de l'extérieur pour leur approvisionnement et conseille de faire des réserves. Cette perspective apocalyptique pourrait faire sourire si ce groupe de réflexion n'avait, dès février 2006, prédit avec une exactitude troublante le déclenchement et l'enchaînement de la crise. Il y a trois ans, l'association décrivait ainsi la venue d'une "crise systémique mondiale", initiée par une infection financière globale liée au surendettement américain, suivie de l'effondrement boursier, en particulier en Asie et aux Etats-Unis (de - 50 % à - 20 % en un an), puis de l'éclatement de l'ensemble des bulles immobilières mondiales au Royaume-Uni, en Espagne, en France et dans les pays émergents. Tout cela provoquant une récession en Europe et une "très Grande Dépression" aux Etats-Unis.
Doit-on en conclure que la crise mondiale peut se transformer en guerre mondiale ? "Les pronostics de LEAP sont extrêmes, mais la violence sociale pointe", admet Laurence Boone, économiste chez Barclays.
Reste un espoir, une "dernière chance" selon le LEAP, qui résiderait dans la capacité du G20, qui se réunira le 2 avril à Londres, à arrêter un plan d'action "convaincant et audacieux". Dans ce cas, le monde ne serait toutefois pas tiré d'affaire, puisque les experts ne manquent de rappeler que se profile aussi une sévère crise climatique...
attention quand même, le pessimisme ambiant se renforçant on penche naturellement vers le catastrophisme ... surtout nouso ccidentaux qui avons le plus à perdre; notre confort de vie...Théorème a écrit :Quand on commence à tenter de discréditer les personnes plutôt que les idées, c'est que l'on est à court d'argumentaire. D'ailleurs les commentaires de l'article ne s'y trompe pas et fustige l'article, et plus généralement les médias, plutôt que LEAP. Je n'aime pas trop leur ton FinDuMondiste, mais je dois avouer que à par pour leur prévision sur le dollar ils ont plutôt vu juste jusqu'à présent et leur changement de ton encore plus négatif sur leur lettre de février a de quoi inquiéter.