Le génocide à bas bruit est juste un outil utilisé pour "nettoyer" le territoire des autochtones
ça a bien fonctionné dans les états américains et ça a pris plus de 2 siècles, pourquoi changer de méthode il suffit de l'adapter à l'époque, de la faire soutenir par les vassaux européens et le tour est joué. C'est ce à quoi on assiste depuis 70 ans!
Israël est le 51eme état américain, pas étonnant que l'empire et ses supplétifs y pratiquent les mêmes méthodes qui ont fait leurs preuves en Amérique du nord
L'épuisement de l'empire et la géographie sauvera les palestiniens, ça aurait pu prendre des siècles mais cette guerre sera finalement perdue par l'empire et probablement plus vite que ce que l'on pense!
https://lavamedia.be/fr/israel-51e-etat-des-etats-unis/
Un chien de garde local
Exactement 11 minutes après la déclaration d’indépendance de l’État hébreu, le 14 mai 1948, le président des États-Unis, Harry S. Truman, fut le premier à lui accorder sa reconnaissance. L’anecdote peut sembler banale, et pourtant le président en exercice, Joseph Biden, n’a pas manqué de l’évoquer lors de son discours à Tel-Aviv le 18 octobre 2023. « Depuis lors, nous avons toujours été à vos côtés », a-t-il ajouté.
Dès 1949, Israël se voit accorder un prêt de 100 millions USD par les États-Unis par l’intermédiaire de l’Export-Import Bank, une agence gouvernementale
Les États-Unis avaient cependant plusieurs fers au feu dans la période d’après-guerre. En tant que principale superpuissance de l’après-guerre, ils cherchent à se substituer à la domination des puissances coloniales européennes en déclin au Moyen-Orient. Pour ce faire, ils comptent avant tout sur l’Arabie saoudite.
Un état de guerre permanent
Israël est le principal bénéficiaire de l’aide financière des États-Unis. Entre 1946 et 2023, le montant total de l’aide accordée par les États-Unis à Israël s’élevait à 263 milliards USD, soit 1,7 fois plus que le pays voisin, l’Égypte, qui occupe la deuxième place sur la liste. Depuis 1967, il s’agit principalement d’aide militaire
Ce qui n’est pas une coïncidence. L’impérialisme a toujours utilisé des colonies lourdement armées en territoire ennemi pour gouverner à distance.
En manœuvrant aux confins de la stabilité et de la déstabilisation, c’est toute une région qui devient manipulable. Ce qui rend d’autant plus pertinente la comparaison faite avec l’Afrique du Sud du vingtième siècle. À l’origine, l’Afrique du Sud était aussi un pays de colons venus d’Europe qui ont établi leur pouvoir aux dépens des populations originelles. Pendant la Guerre froide, le pays était en état de guerre quasi ininterrompu avec ses voisins l’Angola et la Namibie. Pour les puissances impérialistes européennes, et plus tard les États-Unis, il s’agissait d’un moyen de dominer la partie méridionale du continent africain. Le tout sans avoir à se salir les mains.