https://www.latribune.fr/entreprises-fi ... 12326.htmlLe prix du café flambe
Les prix de gros de l'arabica et du robusta sont à des sommets à cause d'une crainte sur la production et de craintes géopolitiques.
latribune.fr 26 Nov 2024,
Le café aura rarement coûté aussi cher : sa variété arabica a atteint lundi un prix record depuis près de trois décennies, en raison d'une offre limitée, face à des inquiétudes sur les récoltes au Brésil. La livre d'arabica côté à New York a enregistré ce lundi un plus haut depuis 1997, à 312,80 cents, en hausse de 40% depuis janvier.
Pour sa part coté à Londres, le robusta, qui s'échange désormais autour des 5.000 dollars la tonne, avait atteint mi-septembre un prix record de 5.829 dollars, du jamais vu depuis l'ouverture du contrat actuel de référence, en 2008. Ce prix serait même inédit depuis les années 1970 d'après l'agence Bloomberg qui s'appuie sur des archives de la Bourse de New York.
Mauvaises récoltes
En cause : les craintes de « mauvaises récoltes dues aux conditions météorologiques » défavorables plus tôt cette année, en particulier au Brésil, premier producteur mondial de café, et d'arabica en particulier, qui poussent les producteurs à retenir leur production, malgré la forte demande, résume Jack Scoville, analyste chez Price Futures Group.
Après une « longue période sèche et chaude », les arbres caféiers au Brésil avaient profité de « pluies significatives » en octobre, contribuant à « une floraison exceptionnelle dans la plupart des régions productrices de café arabica », selon Guilherme Morya, de Rabobank. Mais l'analyste relève une « incertitude sur le déroulement de la floraison, qui soulève des inquiétudes importantes » sur la récolte 2025/26. Si les fleurs ne se fixent pas sur les branches, elles ne seront pas en mesure de se transformer plus tard en cerises, qui contiennent les grains de café.
Une offre qui se raréfie
Cette perspective, combinée à des facteurs géopolitiques tels que les perturbations du transport maritime dans la mer Rouge, les potentiels droits de douane américains et le futur règlement de l'Union européenne sur la déforestation font présager d'une montée des prix.
« Dans ce contexte d'incertitude, les agriculteurs choisissent de ne vendre que ce qui est nécessaire, limitant ainsi l'offre de café sur le marché local », conclut Guilherme Morya.
Ces craintes sur l'offre concernent également le Vietnam, premier pays producteur de la variété robusta, meilleure marché, utilisée par exemple pour le café instantané. Face aux difficultés des pays producteurs, les torréfacteurs lorgnent dorénavant sur l'Afrique, qui pourrait augmenter ses capacités de production.
C'est dans cette optique que les ministres du développement du G7 ont donné, le 23 octobre à Pescara, leur feu vert à la création d'un Fonds mondial de soutien à la filière café. Il s'agit d'un projet de l'Organisation internationale du café (OIC), qui sera initialement testé dans cinq pays africains (Ethiopie, Ouganda, Tanzanie, Kenya et Malawi) avant d'être dupliqué en Amérique centrale et en Asie. L'initiative vise à créer un fonds public-privé et s'inscrit dans le cadre des ambitions du « plan Mattei pour l'Afrique », cher à Giorgia Meloni, cheffe du gouvernement italien, qui cherche à promouvoir un modèle vertueux de collaboration et de croissance entre l'Union européenne (UE) et les nations africaines.
(Avec AFP)
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Re: Economie agricole dans le monde
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... f7f5121a30La production mondiale de vin attendue au plus bas depuis 1961, minée par les intempéries
AFP •29/11/2024
Ici la sécheresse, là du gel tardif, ailleurs des pluies continues... La production mondiale de vin devrait tomber en 2024 à son plus bas niveau depuis 1961, sous l'effet des intempéries qui ont frappé l'hémisphère Sud comme le Nord, estime l'Organisation internationale de la vigne et du vin (OIV).
La récolte globale est attendue entre 227 et 235 millions d'hectolitres (mhl), soit le plus faible volume depuis 1961 (220 mhl), indiquent vendredi ces projections basées sur les vendanges de 29 pays représentant 85% de la production l'an dernier.
Avec une projection moyenne de 231 mhl, elle s'annonce encore en repli de 2% par rapport à la mauvaise année 2023 (237 mhl) et à 13% en deçà de la moyenne des dix précédentes années.
"Des défis climatiques à travers les deux hémisphères sont de nouveau des causes majeures de ce volume de production réduit", souligne l'OIV, qui relève que la plupart des régions ont souffert.
L'Europe attend "un bas niveau de production", seuls les Portugal et la Hongrie se maintenant à des niveaux proches de leur moyenne.
La récolte européenne est ainsi à 11% sous la moyenne des cinq dernières années. "Si elle se confirmait, ce serait la plus faible de ce siècle", a souligné vendredi Giorgio Delgrosso, le responsable de la division statistiques de l'OIV.
- L'Italie devant la France -
L'Italie, qui avec 41 millions d'hectolitres fait mieux que ses "très faibles volumes de 2023", retrouve la place de première productrice mondiale.
La France, affectée par les précipitations et les maladies, a en revanche connu en 2024 le déclin le plus marqué d'une année à l'autre parmi tous ces pays (-23%, à 36,9 mhl), et repasse en seconde position, souligne l'OIV, organisation intergouvernementale qui fête cette année ses cent ans. L'Espagne est à la 3e place, avec un bilan un peu amélioré en un an.
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Re: Economie agricole dans le monde
lire https://www.agenceecofin.com/actualites ... d-ici-2027La viande de poulet sera la plus consommée au monde d’ici 2027
29 novembre 2024
Agence Ecofin
Le poulet est l’espèce animale la plus élevée au monde pour la consommation alimentaire avec plus de 20 milliards de têtes. Si sa viande est actuellement la deuxième la plus plébiscitée après le porc, cette tendance devrait s’inverser dès 2027.
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Re: Economie agricole dans le monde
Les cochons sauvages et les ''super cochons'' (porcs croisés avec sangliers au Canada dans les années 1980) font 2.3 milliards de dollars de dégât à l' agriculture aux USA.
vidéo 22 mn : https://youtu.be/F3HPD2152w8
Ils sont traqués par les chasseurs qui ont une prime, et traqués par hélicoptère.
vidéo 22 mn : https://youtu.be/F3HPD2152w8
Ils sont traqués par les chasseurs qui ont une prime, et traqués par hélicoptère.
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Re: Economie agricole dans le monde
https://www.agenceecofin.com/actualites ... a-new-yorkNouveau sommet pour les cours du cacao à New York
Agence Ecofin 20 dec 2024
Le cacao est la matière première qui a affiché le plus de gains sur les marchés en 2024. Si elle affiche des performances à faire pâlir d’envie les autres produits agricoles, la fève brune continue de voler de record en record.
A New York, le contrat de cacao le plus actif a atteint 12 636 $ la tonne dans la journée du 18 décembre, soit le plus haut jamais enregistré. Ce nouveau record efface le précédent niveau de 12 220 $ atteint le 15 avril dernier et vient couronner plusieurs semaines de hausse des prix.
Contrairement à la saison 2023/2024 où l’impact du phénomène El Niño (cycle naturel de réchauffement des eaux du Pacifique qui tire les températures vers le haut) s’était fait fortement ressentir sur la récolte, la flambée des cours sur ce premier trimestre de la campagne 2024/2025 est d’abord liée à l’enchaînement de conditions météorologiques défavorables.
En effet, l’absence de pluies dans plusieurs régions de production en Côte d’Ivoire depuis un mois et l’arrivée du harmattan ont aggravé les inquiétudes sur la taille de la récolte durant la seconde partie de la campagne principale 2024/2025 qui se déroulera entre janvier et mars.
D’après les estimations relayées par Bloomberg, l’offre chez le premier producteur mondial de cacao devrait atteindre 1,9 million de tonnes d’ici la fin de l’année cacaoyère contre des prévisions initiales comprises entre 2,1-2,2 millions de tonnes au début de la saison en octobre. Dans le même temps, la filière ghanéenne s’attend à une production de 650 000 tonnes contre 700 000 tonnes estimées précédemment.
Si dans les deux cas, les productions révisées à la baisse sont néanmoins en amélioration par rapport aux niveaux décevants de l’année dernière, elles viennent cependant ajouter de l’incertitude sur le marché qui ne s’est pas encore remis de la campagne 2023/2024.
L’industrie mondiale a connu durant ladite saison, son 3ème déficit annuel consécutif avec selon l’Organisation internationale du cacao (Icco), un gap de 462 000 tonnes, le plus important depuis 60 ans.
Alors qu’au début de la saison, un vent d’optimisme soufflait sur le marché avec l’espoir d’une amélioration globale de la production voire un surplus, l’idée d’une 4ème année consécutive de déficit fait désormais son chemin chez certains analystes.
Au total, depuis de cette année, les prix du cacao auront grimpé de plus de 180 %. En comparaison, sur l’ensemble de 2023, les cours avaient gagné 61 % d’une année sur l’autre pour clôturer à 4 196 $ la tonne.
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Re: Economie agricole dans le monde
https://www.msn.com/fr-fr/finance/entre ... bca&ei=156Marchés agricoles : 2025 sous tension, entre aléas climatiques et politique douanière de Trump
latribune.fr 1er janv 2025
Après une année 2024 « déprimante » pour les prix du blé, maïs ou soja, 2025 s'annonce incertaine, soumise aux aléas climatiques et aux orientations de la politique douanière américaine que choisira d'imposer Donald Trump.
Après l'invasion russe de l'Ukraine et la flambée consécutive des cours des engrais, du blé ou du tournesol, les prix mondiaux ont reflué. Fin 2024, l'enjeu géopolitique s'est largement effacé au profit d'un « retour des fondamentaux » animant les marchés agricoles : la météo et les taxes, relève Gautier Le Molgat, PDG d'Argus Media France.
Position dominante du blé mer Noire
« Le marché s'est habitué au conflit russo-ukrainien, les primes de risque se sont dégonflées » et le prix de la céréale du pain « s'est détendu », souligne l'analyste.
On a vu, parallèlement, s'amorcer le retour de l'angoisse climatique comme facteur déterminant du marché : le pic des prix du blé en mai, la plus forte variation de l'année, « était essentiellement lié à des craintes pour la future récolte russe », après des épisodes de gels et de sécheresse dans les plaines de la Volga et du sud, pour Gautier Le Molgat.
La récolte 2024 de blé a marqué le repli de la production en Europe de l'Ouest et notamment en France, où la moisson a chuté de près de 30 % du fait de l'excès d'eau et du manque l'ensoleillement.
Cette baisse de la production française « a contribué au renforcement de la position dominante des blés originaires de la mer Noire (russes, ukrainiens, roumains), qui ont largement compensé la baisse de l'offre ouest-européenne sur la scène internationale », rappelle Gautier Le Molgat.
Récoltes prometteuses d'Australie et d'Argentine,
2025 va donc s'ouvrir sur une « note un peu tendue » estime-t-il, avec « des stocks de blé plus faibles chez les grands exportateurs », Russie en tête.
Le cabinet spécialiste de la Russie SovEcon voit les exportations russes de blé largement baisser dans les prochains mois, pour atteindre environ 43 millions de tonnes en 2024-2025, contre plus de 55 millions de tonnes lors de la campagne précédente.
En attendant les récoltes, prometteuses, d'Australie et d'Argentine, les prix mondiaux du blé sont lestés par l'offre russe, abondante et peu chère.
C'est aussi l'abondance de la production de maïs et de soja aux États-Unis et celle attendue au Brésil, qui a pesé sur les prix, faisant dire à Arlan Suderman, de la plateforme de courtage StoneX, que 2024 « a été une année plutôt déprimante » pour les céréales comme pour les oléagineux.
La baisse des prix est notamment nourrie par une demande restée relativement modeste. Or, concernant le maïs et surtout le soja, « nous nous trouvons face à des stocks mondiaux records », ce qui devrait peser sur les prix, selon Dewey Strickler d'Ag Watch Market Advisors.
Demande incertaine de soja américain
Au-delà des conditions de culture et des aléas climatiques, les marchés seront particulièrement attentifs à l'arrivée de l'administration Trump en janvier.
Le républicain a fait des droits de douane la pierre angulaire de sa politique commerciale, évoquant l'imposition d'une surtaxe allant de 10 à 20 % sur l'ensemble des produits étrangers entrant aux États-Unis et promettant d'aller jusqu'à 60 % pour ceux provenant de Chine - premier acheteur du soja américain.
Les opérateurs ont tous en mémoire la guerre commerciale entre Chine et États-Unis en 2018-19 : en représailles à la hausse des taxes douanières américaines sur les importations chinoises (sur les panneaux solaires, l'acier, l'aluminium, etc.), les Chinois s'étaient un temps détournés du soja américain.
Si le maïs américain pourrait être affecté par une hausse des droits douanes - et délaissé au profit du grain jaune brésilien -, c'est pour Arlan Suderman « le soja qui suscite le plus d'inquiétudes ». Il voit notamment la Chine continuer à réduire ses achats de soja américain et juge la demande pour la graine américaine « très incertaine » en 2025.
L'enjeu majeur pour le maïs, dont plus d'un tiers de production américaine est convertie en bioéthanol, sera la politique choisie par la nouvelle administration concernant les agrocarburants. Les prix du grain sont notamment soutenus par la demande en éthanol.
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Re: Economie agricole dans le monde
la productivité agricole dépend en premier lieu de l insolation et la disponibilité en eau, deux facteurs que le réchauffement climatique permet d augmenter, il n y a donc pas de raison de s inquiéter de ce point de vue la
https://youtu.be/0pK01iKwb1U
« Ne doutez jamais qu'un petit groupe de personnes bien informées et impliquées puisse changer le monde, en fait, ce n'est jamais que comme cela que le monde a changé »
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Re: Economie agricole dans le monde
L'ancien modèle de poly culture azurait permis de s'adapter plus aisément aux variations climatiques ...il permettait aussi de se passer d'assurance ....le modèle actuel est tout sauf résilient.
L'Homme succombera tué par l'excès de ce qu'il appelle la civilisation. ( Jean Henri Fabre / Souvenirs Entomologiques)
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Re: Economie agricole dans le monde
Le modèle productiviste ne survivra pas a la réduction des ressources fossiles, il est déjà en train d évoluer
On ne verra peut être pas le changement ultime mais celui ci est démarré, ce qui adviendra sera fondamentalement diffèrent que ce que l on a connu
Le changement climatique pour l instant ne pose aucun problème insurmontable et serait même favorable a une plus forte productivité pour peu que la demographie s adapte aux ressources disponibles
On ne verra peut être pas le changement ultime mais celui ci est démarré, ce qui adviendra sera fondamentalement diffèrent que ce que l on a connu
Le changement climatique pour l instant ne pose aucun problème insurmontable et serait même favorable a une plus forte productivité pour peu que la demographie s adapte aux ressources disponibles
https://youtu.be/0pK01iKwb1U
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Re: Economie agricole dans le monde
ça risque au contraire de ressembler beaucoup à ce qu'on connaissait avant, vu que sans fossile, on n'a pas beaucoup d'autre choix.
Zan, zendegi, azadi. Il parait que " je propage la haine du Hamas".
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Re: Economie agricole dans le monde
l histoire ne se répété pas, on connait aujourd hui plein de choses que l on ne connaissait pas et on sait se nourrir avec plein de choses qui n existaient pas sans parler des technologies qui pourront très bien fonctionner avec des hydrocarbures ou carburants issus des déchets ou sous produits de l agriculture
Mais comme le sans fossiles n est pas a l ordre du jour on en a encore pour quelques décennies voire quelques siècles
https://alj.com/fr/spotlight-by-fady-ja ... de-demain/
Mais comme le sans fossiles n est pas a l ordre du jour on en a encore pour quelques décennies voire quelques siècles
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Re: Economie agricole dans le monde
bah vas y montre moi un pays qui développe une industrie lourde avec des déchets agricoles et on en reparlera.
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Re: Economie agricole dans le monde
Il n y a pas eu besoin d industrie lourde pour faire de l agriculture depuis 8000 ans, comme on n a pas eu non plus besoin de fossiles
Et ce sera encore plus vrai quand il n y aura plus de fossiles ... si cela se produit un jour lointain, très lointain
Et ce sera encore plus vrai quand il n y aura plus de fossiles ... si cela se produit un jour lointain, très lointain
https://youtu.be/0pK01iKwb1U
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on est d'accord alors, d'où mon :
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Re: Economie agricole dans le monde
l agriculture d il y a 8000 ans ne ressemblait pas a celle d il y a 3000 ans ni a celle d il y a 1000 ans qui ne ressemblait pas a celle d il y a 200 ans celle de dans 200 ans ne ressemblera a rien de ce qui a été
si l histoire béguë elle ne se répète pas
L agriculture industrielle ne consomme que 1 a 2 pour cent des fossiles produits dans le monde, et comme sa production est la plus essentielle c est évident qu elle va encore drainer pendant des siècles des fossiles pour s alimenter si ceux ci sont si essentiels
Le évolutions se font progressivement comme la fin du pétrole , du gaz et du charbon seront aussi progressives les adaptations démographiques, technologiques et les pratiques le seront aussi
si l histoire béguë elle ne se répète pas
L agriculture industrielle ne consomme que 1 a 2 pour cent des fossiles produits dans le monde, et comme sa production est la plus essentielle c est évident qu elle va encore drainer pendant des siècles des fossiles pour s alimenter si ceux ci sont si essentiels
Le évolutions se font progressivement comme la fin du pétrole , du gaz et du charbon seront aussi progressives les adaptations démographiques, technologiques et les pratiques le seront aussi
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