Et nos vaillants militaires ?

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Airbus grand gagnant pour succéder aux avions de patrouille maritime ATL2 de la Marine nationale
Airbus avait misé sur une solution qui utilise un avion de ligne A321XLR modifié, avec une bonne partie des capteurs fournis par Thales, pour succéder aux avions de patrouille maritime ATL2 de la Marine nationale. Le ministère des Armées devrait annoncer la victoire officiellement sous peu.


L’A321MPA reprend la formule éprouvée de l’A321XLR civil, avec des modifications structurales limitées. | AIRBUS DS

Jean-Marc TANGUY. Le marin le 08/11/2024

Comme son concurrent Dassault aviation (qui utilise son avion d’affaires Falcon 10X encore en développement), Airbus a mobilisé sa gamme civile pour trouver un successeur à l’avion de patrouille maritime ATL2 de la marine, qui doit quitter le service dans la prochaine décennie.

L’A321MPA présenté au salon Euronaval cette semaine, à Paris, reprend un avion éprouvé, l’A321XLR, et disposant de stations de réparation et de pièces de rechange dans le monde entier. Le ministère des Armées... .... abonnés

https://lemarin.ouest-france.fr/defense ... 47559018ee

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Le porte-avions de nouvelle génération devrait bien être doté de trois catapultes électromagnétiques

par Laurent Lagneau · 5 novembre 2024

Selon le projet de loi de finances en cours d’examen au Parlement, le ministère des Armées notifiera la commande du porte-avions de nouvelle génération [PA NG] à MO-Porte-avions [c’est-à-dire la coentreprise de Naval Group et des Chantiers de l’Atlantique] ainsi qu’à TechnicAtome en 2025. Ce qui suggère que les études conceptuelles relatives à ce futur navire sont pratiquement terminées et que les choix technologiques ont été arrêtés.

Selon les derniers détails révélés par Cols Bleus, le magazine officiel de la Marine nationale, le PA NG devrait afficher un déplacement de 80 000 tonnes [soit 5 000 de plus par rapport à ce qui avait initialement été envisagé] pour une longueur de 310 mètres.

Pour autant, cette masse supplémentaire ne devrait avoir aucune incidence sur la puissance que devront développer les deux chaufferies nucléaires K22 de son système de propulsion. Celle-ci devra être suffisante pour lui permettre de naviguer à la vitesse maximale de 30 nœuds et de mettre en œuvre des armes à énergie dirigée, des brouilleurs à forte puissance et, surtout, des catapultes électromagnétiques [EMALS] associées à l’AAG [Advanced Arresting Gear], c’est-à-dire le dispositif de récupération des aéronefs.

A priori, selon les dernières images du PA NG diffusées par la Direction générale de l’armement [DGA] et les industriels concernés à l’occasion de l’édition 2024 du salon Euronaval, le PA NG devrait bel et bien être doté de trois catapultes EMALS. Suggérée il y a deux ans, cette option n’avait pas encore été formellement confirmée.

En décembre 2021, la Defense Security Cooperation Agency [DSCA], chargé des exportations d’équipements militaires américains, avait donné son feu vert à la vente de deux EMALS et d’un dispositif AAG à la France pour un montant estimé à 1,2 milliard d’euros.

Puis, un an plus tard, le Pentagone fit savoir qu’il avait notifié à General Atomics un contrat de 9 millions de dollars pour développer un « sous-système comprenant deux ou trois moteurs de lancement et un dispositif AAG » pour le futur porte-avions de la Marine nationale. Ce qui laissait donc la porte ouverte à une éventuelle configuration à trois catapultes électromagnétiques.

Actuellement, le porte-avions Charles de Gaulle, avec ses deux catapultes à vapeur, peut théoriquement lancer une vague de vingt Rafale M armés en quinze minutes puis la récupérer et la relancer quatre heures plus tard. Or, comme l’explique Cols Bleus, le PA NG « devra être en mesure de délivrer une puissance aérienne offensive sans précédent, grâce à un doublement du nombre de sorties aériennes et à une amélioration de la létalité des armements qu’il embarquera ». En clair, il est question d’une soixantaine de sorties aériennes par jour dans un « scénario de haute intensité ».

Aussi, en plus d’augmenter significativement le rythme des opérations aériennes, une troisième EMALS donnerait plus de flexibilité tout en permettant de pallier éventuellement une déficience technique de l’une des deux autres catapultes.

Pour rappel, une catapulte de type EMALS utilise un moteur linéaire à induction électromagnétique [LIM], dont l’alimentation dépend de la masse de l’appareil à catapulter. Le champ magnétique généré de part et d’autre d’un rail de catapultage va ensuite mettre en mouvement un chariot mobile sur lequel est fixé l’avion à lancer. Étant donné l’importante quantité d’énergie à libérer en quelques secondes, elle utilise des volants d’inertie pouvant stocker jusqu’à 100 mégajoules et être rechargés en moins d’une minute.

Par rapport à la catapultes à vapeur, une EMALS offre plusieurs avantages : les contraintes mécaniques sur les cellules des aéronefs sont atténuées, le rendement énergétique est optimisé et la maintenance est plus aisée.

https://www.opex360.com/2024/11/05/le-p ... gnetiques/

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L’armée de l’Air veut que Dassault accélère ses livraisons de Rafale

L’Armée de l’air veut compenser la cession des Mirage 2000-5 promis à l’Ukraine en accélérant les livraisons des Rafale commandés initialement pour 2027. L'institution souhaiterait pouvoir prélever des appareils en cours d’assemblage pour les clients à l'export de Dassault Aviation.

Hassan Meddah 20 novembre 2024


Pour servir tous ses clients, Dassault Aviation ambitionne de produire jusqu'à 3 Rafale par mois.

Dassault Aviation va-t-il devoir livrer plus vite ses Rafale aux armées françaises à cause de la guerre en Ukraine ? Sûrement. En tout cas, c’est ce que souhaite l’armée de l’Air et de l’Espace. La raison est simple : elle veut compenser avec des Rafale les avions Mirage 2000- 5 de sa flotte que le gouvernement français a promis de livrer à Kiev dès le premier semestre 2025. «Forcément, cela percute un peu le format de l’aviation de chasse. Le ministère l’a très bien compris et on a regardé comment on pouvait pallier cette cession», a indiqué Jérôme Bellanger, le chef d'état-major de l'armée de l'Air (CEMAAE). Le général d'armée aérienne s’exprimait à l’occasion d’une rencontre avec les journalistes de l’AJD (association des journalistes de défense) le 20 novembre à Paris.
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https://www.usinenouvelle.com/article/l ... e.N2222906

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Le bâtiment ravitailleur de forces « Jacques Chevallier » admis au service actif
Livré en juillet 2023, le premier bâtiment ravitailleur de forces de la Marine nationale de cette nouvelle classe a été admis au service actif mercredi 20 novembre. Il sera rejoint en 2026 par le « Jacques Stosskopf », puis par deux autres unités à l’horizon 2028 et 2033.


Le ravitailleur « Jacques Chevallier » a effectué 193 jours hors de son port d’attache, dont 153 en mer. | X/MARINE NATIONALE

Publié le 21/11/2024 Le marin

Déjà déployé plusieurs fois depuis sa livraison à la Marine nationale par la direction générale de l’armement le 18 juillet 2023, le bâtiment ravitailleur de forces (BRF) Jacques Chevallier, premier d’une série de quatre, a été admis au service actif mercredi 20 novembre par le chef d’état-major de la marine, l’amiral Nicolas Vaujour, a annoncé le ministère des Armées.

Le BRF compte déjà plus de 193 jours hors de son port base de Toulon, dont 153 jours en mer. Dans le cadre de son déploiement de longue durée, le Jacques Chevallier a pris part à des entraînements interarmées et des exercices de préparation à la haute intensité avec des marines partenaires, par exemple lors de la mission Akila en Méditerranée avec le groupe aéronaval. Le navire a également participé le 24 juin à une manœuvre de ravitaillement d’un missile Aster en autonomie avec la frégate multimissions (Fremm) Lorraine.

Quatre bâtiments ravitailleurs

Ce premier BRF sera rejoint en 2026 par le Jacques Stosskopf, mis à l’eau en août aux Chantiers de l’Atlantique à Saint-Nazaire, puis par deux autres unités d’ici 2028 et 2033. Les BRF remplacent progressivement des bâtiments de commandement et de ravitaillement (BCR) pour les missions de ravitaillement en combustibles naval et aéronautique, munitions, mais aussi en soutien technique et humain (vivres et pièces de rechange) du groupe aéronaval et d’autres unités de premier rang.

https://lemarin.ouest-france.fr/defense ... aa8444a877

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Le « Charles de Gaulle » et son groupe aéronaval ont appareillé de Toulon pour cinq mois de mission
Le groupe aéronaval (Gan) déployé autour du porte-avions « Charles de Gaulle » assurera une mission au profit de l’Otan avant de basculer en mer Rouge, face à une menace de tirs des houthistes, au large du Yémen.

Jean-Marc TANGUY. le 28/11/2024 Le marin

https://lemarin.ouest-france.fr/defense ... d6acfb270c

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On visite le cœur nucléaire du porte-avions Charles de Gaulle vidéo 36 mn https://www.youtube.com/watch?v=w_5fD3lYFVQ

Le Point Genius
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51 115 vues 7 avr. 2024 #nucléaire #marine #porteavions
Aujourd'hui, avec la Marine Nationale ‪@lamarinerecruteoff‬ on plonge dans le cœur nucléaire du porte-avions Charles de Gaulle pour comprendre la comment on propulse un engin pareil. Puissance, technologie, autonomie, on va voir comment fonctionne un navire à propulsion nucléaire avec les hommes à bord qui le pilote.

Chapitrage :
0:00 • Intro
0:24 • romanatic suite preview
1:28 • Générique
1:33 • C'est quoi un Porte-avions et pourquoi Nucléaire ?
4:28 • Poste de commandes
5:22 • Les hommes à bord
11:43 • Et si ça merde ? Le simulateur
16:52 • La machine, gestion de la vapeur
18:32 • L'électricité
20:12 • Au coeur du réacteur nucléaire
24:29 • Comment on fait avancer le bateau ?
25:15 • Catapulte, CATAPUUULTE !!
26:08 • L'acensceur
26:37 • Collaborations entre les services
26:51 • Eau douce
29:38 • Interviews
33:52 • Conclusion
35:47 • Closing credits

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Un sous-marin français coule le patrouilleur « PM L’Her » avec une torpille nouvelle génération F21
Remplaçant officiellement depuis 2024 la F17, la torpille F21 a été testée pour la première fois sur une « cible réaliste » samedi 14 décembre : le patrouilleur « Premier-Maître L’Her », retiré du service actif en juillet.


La torpille lourde F21 a été testée pour la première fois sur une cible dite réaliste le 14 décembre. | CAPTURE D’ÉCRAN X/MARINE NATIONALE


Publié le 17/12/2024 Le marin

Le patrouilleur Premier-Maître L’Her, retiré du service actif par la Marine nationale en juillet après plus de quarante ans de bons et loyaux services, a servi de cible réaliste à la torpille lourde F21. Une première pour cette arme de nouvelle génération. Un sous-marin nucléaire d’attaque (SNA) a effectué le tir samedi 14 décembre sur la coque du patrouilleur préalablement dépolluée, a révélé la marine mardi 17 décembre.

Cette expérimentation a été menée afin d’éprouver les capacités de la F21, une torpille de nouvelle génération issue du programme Artémis, capable de détruire les menaces de surface ou sous-marine, rappelle la Marine nationale. Prévue pour équiper les SNA de classe Rubis et Suffren ainsi que les sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE), la F21 apporte un niveau de discrétion, un rayon d’action, une vitesse de frappe et une capacité de détection sensiblement supérieurs aux armes précédentes comme la F17, retirée du service cette année.

Le ministère des Armées juge que, compte tenu du durcissement du contexte international, de la mise en service de munitions complexes de dernière génération, il apparaît aujourd’hui pertinent et possible de recourir de nouveau, de manière ponctuelle, à de telles expérimentations d’armes en mer. Ce tir a été effectué en conformité avec les engagements internationaux de la France, grâce aux progrès réalisés en matière de traitement des vieilles coques.

courte vidéo dans le lien https://lemarin.ouest-france.fr/defense ... 70d96100f5

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Quelques instants aprés :



https://www.msn.com/fr-fr/finance/econo ... b757&ei=13#

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Le ravitailleur « Jacques Chevallier » fait le plein en mer, une première pour la Marine nationale
Le bâtiment ravitailleur de forces « Jacques Chevallier » a effectué, le 24 décembre, le plein de ses soutes en mer grâce au pétrolier américain « Stena Polaris ». Une première pour un ravitailleur français, affirme la Marine nationale.


Le pétrolier américain « Stena Polaris » a transféré, en pleine mer, 450 m³ de gasoil dans les soutes du bâtiment ravitailleur de forces français « Jacques Chevallier », le 24 décembre. | MARINE HERLEDAN/MARINE NATIONALE

Publié le 06/01/2025 Le marin


La Marine nationale a annoncé, lundi 6 janvier avoir réussi une manœuvre de ravitaillement un peu particulière. Le 24 décembre, alors qu’il est déployé dans le cadre de la mission Clemenceau avec le porte-avions Charles de Gaulle, le bâtiment ravitailleur de forces (BRF) Jacques Chevallier a pu charger 450 m³ de gasoil en pleine mer, via le processus dit Consol (consolidation between oilers). C’est le pétrolier américain Stena Polaris, affrété par le Military sealift command (MSC), qui gère une flotte de navires civils au service de l’armée des États-Unis, qui a assuré le ravitaillement.

La Marine nationale s’est réjouie, dans un communiqué, de l’acquisition de cette nouvelle compétence qui permettra d’accroître la capacité du groupe aéronaval (Gan) et généralement des unités françaises et alliées déployées en zone d’opération à durer sans même toucher terre . En effet, grâce à la capacité Consol, qui permet donc de ravitailler en mer le ravitailleur, il n’y a pas besoin de détacher du Gan le BRF et un escorteur pour qu’ils rejoignent un port en mesure de fournir le bon type de carburant. Ce qui peut prendre plusieurs heures à plusieurs jours selon la zone de mission.

Une compétence rare

Peu de marines disposent de cette compétence (États-Unis, Australie et Nouvelle-Zélande) qui demande un équipement et un savoir-faire spécifiques, souligne la Marine nationale. Cela renforce également l’interopérabilité entre la marine française et l’US Navy.

Des premiers essais avaient été réalisés à quai, à Toulon le 19 novembre, entre les deux mêmes bâtiments. Une équipe du MSC de la marine américaine avait été spécialement dépêchée sur la base navale afin de tester le passage du gréement et la compatibilité des équipements.

Le Jacques Chevallier, long de 194 mètres et admis au service actif en novembre, est le premier d’une série de quatre ravitailleurs qui seront tous dotés de cette capacité, ce qui leur permettra de bénéficier de points d’appui mobiles en mer. Son sistership Jacques Stosskopf , en cours de finitions aux Chantiers de l’Atlantique à Saint-Nazaire, doit rejoindre Toulon cet été.

https://lemarin.ouest-france.fr/defense ... 91756062b6

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suite de ce post du 09 nov 2024 viewtopic.php?p=2402028#p2402028

Pour le futur avion de patrouille maritime, Airbus mise sur le concept de frégate volante

La DGA a confié à Airbus en chef de file et Thales en cotraitance un contrat d’étude de levée des risques du programme Patmar Futur, le futur appareil patrouilleur maritime français. Version militarisée d’un A321 civil, l’appareil sera doté de capacités de lutte anti sous-marine, anti-navire et capable de réaliser des missions de renseignement.

Hassan Meddah 04 février 2025


Pour le futur avion de patrouille maritime, Airbus mise sur le concept de frégate volante© Airbus Defence & Space

La Marine nationale espère disposer de ses futurs patrouilleurs maritimes à partir de 2030. (vue d'artiste)
La fin des avions patrouilleurs Atlantique 2 de la Marine nationale approche et il faut déjà songer à les remplacer. La Direction générale de l’Armement (DGA) a ainsi confié une étude à Airbus et Thales pour lever les risques liés au programme PatMar, le futur appareil de patrouille maritime, selon un communiqué d’Airbus diffusé le 4 février.
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https://www.usinenouvelle.com/article/p ... e.N2226967

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Défense : l'armée française signe un contrat d'étude avec Airbus pour un nouvel avion de patrouille maritime français

Boursorama avec Media Services •04/02/2025

Le contrat d'étude et de levée de risque vise à préparer le lancement du développement de l'appareil fin 2026, qui devrait aboutir dix ans plus tard.

Le ministère des Armées a signé avec Airbus un contrat d'étude pour un nouvel avion de patrouille maritime, destiné à remplacer les actuels Atlantique 2, a annoncé mardi 4 février l'avionneur européen.

"La Direction générale de l'Armement vient de signer avec Airbus Defence and Space en tant que mandataire, en co-traitance avec Thales , un contrat pour une étude de levée de risques du futur programme d'avion de patrouille maritime (Patmar futur)", a précisé Airbus dans un communiqué.

Cette annonce intervient deux ans après que le ministère des Armées a lancé les études en vue de ce futur avion maritime, un temps envisagé de concert avec l'Allemagne, avant que Berlin opte finalement pour des Boeing P-8A Poseidon . Airbus et Dassault avaient alors été sollicités, ce dernier constructeur pour une version issue de son gros avion d'affaires Falcon 10X.

"Ce nouveau contrat d'étude de définition et de levée de risques vise à préparer le lancement fin 2026 du développement et de la réalisation du programme d'avion de patrouille maritime", selon Airbus, qui propose pour ce programme censé aboutir d'ici dix ans une version militarisée de son monocouloir à très long rayon d'action A321 XLR.

Vingt-deux Atlantique 2 à remplacer

Baptisé A321 MPA, cet appareil "permet de couvrir l'ensemble des besoins opérationnels de la Marine nationale, principalement dans la lutte anti-sous-marine et antinavire , de la basse à la haute intensité, ainsi qu'au recueil de renseignements", a argumenté Airbus.

De même source, "cette étude va permettre d'approfondir les premiers résultats de l'étude d'architecture, afin d'affiner les conditions économiques et industrielles d'exécution du programme, d'orienter les choix techniques des systèmes devant être intégrés sur l'avion , et de réaliser les premiers essais en soufflerie".

La France dispose actuellement de 22 avions Atlantique 2 pour la mission de patrouille maritime, essentielle notamment pour sécuriser les sorties à la mer des sous-marins français.

Dix-huit de ces appareils sont en cours de modernisation pour prolonger leur exploitation jusqu'aux années 2030 . Dotés d'une autonomie pouvant aller jusqu'à 14 heures de vol, l'architecture des Atlantique 2 s'avère toutefois très ancienne puisqu'ils sont issus des Bréguet Atlantic entrés en service il y a près de 60 ans.

L'A321 XLR, appareil certifié en juillet 2024, est capable de voler 11 heures sur plus de 8.500 km, surclassant les autres monocouloirs. Il a déjà été commandé à plus de 500 exemplaires depuis son lancement.

https://www.boursorama.com/bourse/actua ... 665a6ae5de

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La France commande 530 blindés légers Serval

Boursorama avec AFP •10/02/2025


Un blindé Serval à Caylus, le 23 mai 2023. ( AFP / CHARLY TRIBALLEAU )

La France a commandé 530 blindés légers Serval destinés à moderniser les équipements de son armée de terre, pour plus d'un milliard d'euros, a annoncé le ministère des Armées.

"La Direction générale de l'armement (DGA) a commandé 530 véhicules blindés Serval Appui SCORPION au profit de l'armée de Terre. Les livraisons de ces véhicules s'échelonneront de fin 2025 à 2031", indique-t-il dans un communiqué.

"D'un montant de plus d'un milliard d'euros, cette commande soutient majoritairement les activités des industriels de défense KNDS France (sites de Satory, Bourges et Roanne)", soit des implantations hexagonales du groupe franco-allemand KNDS, héritières de l'ex-entreprise Nexter.

Le contrat concerne "également Texelis (site de Limoges), MBDA (sites du Plessis Robinson et Bourges) et CS Group (sites du Plessis Robinson et Toulon)", précise samedi 10 février le ministère.

Le Serval est un blindé multi-rôles léger, à roues, qui vise à moderniser des capacités vieillissantes de l'armée de terre et notamment à remplacer le véhicule de l'avant-blindé (VAB).

Les engins commandés permettront par exemple d'embarquer des missiles sol-air, pourront être équipés pour la lutte anti-drones ou destinés à la communication tactique.

https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 445c51a455

[phyvette]

L'entreprise publique ukrainienne de défense Ukroboronprom et la société française Thales International ont signé un mémorandum en vue de la création d’une coentreprise.

« Nous commençons une nouvelle journée de la Conférence de Munich sur la sécurité avec la signature d’un document important. Ukroboronprom et Thales International sont convenues de créer une entreprise commune et ont consigné cet accord par écrit », a fait savoir le ministre ukrainien des Industries stratégiques, Guerman Smetanine, sur Telegram.

Selon lui, cette entreprise se concentrera sur le développement de solutions technologiques avancées pour renforcer la défense aérienne, les radars, les moyens de guerre électronique, de communication tactique et les systèmes optoélectroniques.

https://www.ukrinform.fr/rubric-ato/396 ... prise.html

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Après un exercice en mer de Chine, le porte-avions Charles de Gaulle a fait une escale inédite aux Philippines

par Laurent Lagneau · 24 février 2025 opex 360

https://www.opex360.com/2025/02/24/apre ... ilippines/

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Rheinmetall Air Defence – Skynex truck-mounted engaging drone swarm
2 min'
https://www.youtube.com/watch?v=pb5_F4_Eod8