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les electeurs étaient satisfaits du boulot précédent et ne l'ont donc pas réelu quand il s'est présenté en 2020.
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... bb7675f3afÉtats-Unis: L'administration Trump gèle $2,2 milliards de subventions de l'université Harvard
Reuters •15/04/2025
https://www.mediapart.fr/journal/intern ... nald-trumpHarvard, première université à dire non aux oukases de Donald Trump.
https://www.francetvinfo.fr/monde/usa/a ... 91483.htmlAux Etats-Unis, Donald Trump menace de priver l'université Harvard de ses avantages fiscaux.
https://www.bfmtv.com/economie/internat ... 50523.htmlDroits de douane: les entreprises américaines pas prêtes à relocaliser leur production (ou alors avec… des machines)
Paul Louis 16 avril 2025
Selon un sondage de CNBC, six entreprises sur 10 préféreraient relocaliser leur production dans des pays moins touchés par les droits de douane plutôt qu'aux États-Unis où les coûts sont jugés trop élevés.
Les entreprises américaines qui fabriquent à l'étranger, et en particulier en Chine, vont-elles massivement relocaliser leur production aux États-Unis pour éviter l'augmentation des droits de douane décidée par Donald Trump? C'est en tout cas l'objectif de l'offensive protectionniste lancée par le locataire de la Maison Blanche.
Mais à en croire un sondage* de CNBC, ce scénario demeure peu probable. Plus de six entreprises interrogées sur 10 (61%) déclarent en effet qu'elles préféreraient relocaliser leur production dans des pays frappés par les surtaxes les plus faibles plutôt que sur le territoire américain.
Principal obstacle: le coût de la relocalisation aux États-Unis cité par 57% des entreprises sondées, devant la difficulté à y trouver de la main-d'oeuvre qualifiée (21%).
L'automatisation plutôt que le recours à la main-d'oeuvre
Selon la majorité des répondants, un rapatriement de leur chaîne de production outre-Atlantique pourrait conduire à un doublement de leurs coûts (18%) voire davantage (47%). Sans compter le temps que cela prendra: entre trois et cinq ans pour 41% des entreprises interrogées et plus de cinq ans pour 33% d'entre elles.
Et quand bien même les entreprises de l'industrie manufacturière reviendraient aux États-Unis, celles-ci opteraient majoritairement (81%) pour l'automatisation de leur production plutôt que pour le recours à des travailleurs.
D'une manière générale, les entreprises mettent en garde contre les effets néfastes des droits de douane pour leur activité. 89% anticipent une réduction des commandes et 75% une baisse des dépenses des consommateurs. 61% affirment en outre que les surtaxes conduiront à une augmentation des prix finaux.
*Sondage mené auprès de 380 entreprises membres de la Chambre de commerce des États-Unis, de la National Association of Manufacturers, de la National Retail Federation, de l’American Apparel and Footwear Association, de Footwear Distributors and Retailers of America, du Council of Supply Chain Management Professionals, d’OL USA, de SEKO Logistics et d’ITS Logistics.
https://www.lefigaro.fr/flash-actu/harv ... s-20250416Harvard : Trump qualifie l’université de «blague» qui ne mérite pas de subventions fédérales.
Le président américain attaque une nouvelle fois la prestigieuse université de Harvard, en l’accusant de recruter essentiellement «des gauchistes radicaux, des idiots et des cervelles de moineau».
«Harvard est une BLAGUE qui enseigne la haine et l'imbécillité, et qui ne devrait plus recevoir de fonds fédéraux», a déclaré Trump.
Reste plus à Trump qu'a convaincre ses électeur de travailler pour le salaire d'un Vietnamien ou d'un philippin!energy_isere a écrit : ↑16 avr. 2025, 10:04Droits de douane: les entreprises américaines pas prêtes à relocaliser leur production (ou alors avec… des machines)
https://www.msn.com/fr-fr/finance/autre ... 2ecc&ei=23Relocaliser la fabrication de l’iPhone aux États-Unis ? Voici pourquoi ce pari est quasi irréaliste
Article de Chloé RÉBILLARD. 18 avril 2025
Alors que Donald Trump fait le yoyo sur les droits de douane, difficile de s’y retrouver. Une chose est sûre : les chaînes de valeurs ultra-mondialisées de nombreux produits technologiques, comme l’iPhone, sont au cœur de la guerre commerciale menée par le président des États-Unis.
Où en sommes nous sur les taxes douanières ? Les retournements et annonces incessants de Donald Trump rendent la réponse compliquée. Le président américain poursuit sa stratégie de vouloir relocaliser l’industrie sur le sol américain à coups de barrières douanières. En particulier vis à vis de la Chine.
Pourtant, le président américain a discrètement reculé sur les produits électroniques. Car les géants américains du secteur comme Apple ont un modèle basé sur une mondialisation à tous crins, avec des ramifications multiples. Un modèle dans lequel la Chine joue un rôle central.
IPhone, ordinateur Dell et autres objets technologiques américains: vendredi 11 avril au soir, une note des douanes américaines a ainsi annoncé l’exemption pour une série de produits des 145 % de droits de douane désormais imposés aux autres importations venues de Chine. Ils sont néanmoins encore taxés à 20 %. Howard Lutnick, secrétaire au Commerce, a assuré deux jours plus tard que ces produits auront tout de même droit à une surtaxe… sans être précis ni sur l’échéance, ni le montant : « ils sont inclus dans les droits de douane des semi-conducteurs, qui arriveront probablement dans un mois ou deux ».
L’iPhone fait le tour du monde avant d’atterrir dans votre poche
La marque Apple est un cas d’école de la mondialisation, à tel point que c’est même imprimé dans la coque de ses IPhone : « Conçu en Californie, assemblé en Chine ». Dans une liste publiée en 2024 portant sur l’année fiscale 2023, Apple énumère ses principaux fournisseurs (« Supplier List ») : 448 entreprises différentes, sans préciser leur rôle. Ensemble, elles représentent « 98 % de nos dépenses directes en matériaux, fabrication et assemblage de nos produits dans le monde entier pour l’exercice 2023. » MacBook, IPhone et autres Air Pods font ainsi le tour du monde avant d’atterrir dans la poche du consommateur.
Dans le cas de l’iPhone, les ramifications peuvent être très complexes. Par exemple, l’entreprise Cirrus Logic, dont le siège social est au Texas, conçoit des circuits acoustiques. Mais ce sous-traitant d’Apple n’a pas d’usine, il vend à la marque des droits sur ses brevets pour qu’elle fasse ensuite fabriquer les composants en Asie. Autre curiosité de la chaîne de valeur : c’est Samsung, basé en Corée du Sud, grand concurrent d’Apple sur le marché des smartphones, qui fabrique la plupart des écrans de l’iPhone.
Parmi les multiples fournisseurs d’Apple, la Chine est un carrefour central. Tim Cook, le patron d’Apple déclarait en 2017 : « Le coût de production n’est pas la raison pour se fournir en Chine. C’est la qualité des compétences industrielles et leur concentration à un seul endroit. C’est une vraie expertise que nous aurions du mal à trouver aux États-Unis. » Le temps où l’attractivité des pays asiatiques se limité à une main-d’œuvre bon marché a vécu. Les puces qui se logent dans nos téléphones sont désormais fabriquées à travers le continent asiatique, certaines entre la France et l’Italie (avec STMicroelectronics), rarement aux États-Unis même si les investissements s’y sont multipliés ces dernières années dans les usines de semi-conducteurs.
Selon le Financial Times , sur les 187 principaux fournisseurs d’Apple, 169 sont soit en Chine, soit à Taïwan. Certains sont des géants à l’image de TSMC, basé à Taïwan, qui est le principal fabricant de semi-conducteurs pour la marque. Ou encore de Foxconn, l’assembleur taïwanais historique de l’iPhone, qui opère notamment dans les villes chinoises de Shenzhen et Zhengzhou. À côté fourmillent de multiples « petits » fournisseurs qui conçoivent, fabriquent ou assemblent, des câbles, batteries, emballages et autres parties de la chaîne de fabrication du téléphone.
Quel serait le prix en bout de chaîne d’un IPhone ?
Depuis plusieurs années, dans un contexte de montée en puissance des tensions entre la Chine et les États-Unis, le géant américain tente de se départir de sa dépendance à la Chine en diversifiant son approvisionnement auprès d’autres pays. Ainsi, les principaux assembleurs d’Apple s’implantent de plus en plus au Vietnam et en Inde, deux pays qui étaient également frappés par les droits de douane réciproques de Donald Trump mais bénéficient actuellement de la suspension de 90 jours actée par le gouvernement américain (qui impose leurs importations à hauteur de 10% en attendant). Luxshare, l’un des assembleurs des IPhone 16, est le premier fournisseur d’Apple à avoir annoncé réfléchir à une relocalisation aux États-Unis après les annonces du président américain. L’entreprise chinoise est déjà implantée au Vietnam mais aussi en Malaisie, ou encore au Mexique. Cependant son déménagement est loin d’être acté: lancer une chaîne de production lui demanderait plus d’un an et les revirements incessants de Donald Trump n’offrent pas un climat suffisamment apaisé pour investir.
En attendant, l’immense majorité des iPhones est toujours assemblée en Chine. Si des droits de douane lui étaient appliqués à hauteur de 145 % à leur arrivée aux Etats-Unis, le prix final de ces téléphones risquerait donc de s’envoler.
Schématiquement, le prix d’un IPhone, comme de tout autre produit, se construit autour de trois axes majeurs : le coût de fabrication, le transport et la logistique, et la marge de l’entreprise (qui a aussi eu des frais de recherche et développement, et de marketing). Le spécialiste TD Cowen évaluait le coût de fabrication de l’iPhone de 16 à 485 dollars, quand un journal japonais Nikkei l’estimait lui à 568 dollars… Apple le vend en bout de chaîne autour de 1 000 dollars. La marque américaine est réputée pour se ménager une marge confortable. Mais avec des droits de douane à 145 %, réduire sa marge ne suffirait pas à absorber l’entièreté du différentiel de prix.
Si les droits de douane s’appliquaient aux IPhone, l’augmentation du coût serait faramineuse, remettant en question, le modèle même de la marque. « Le coût total d’un IPhone augmenterait de plus de 90 % », signalait dans une note Wamsi Mohan, analyste pour la Bank of America.
L’efficience de la stratégie trumpiste est plus que contestée. Dresser un mur douanier autour des États-Unis dans l’espoir de revenir en arrière sur plusieurs décennies de mondialisation intégrée apparaît comme un pari fou pour nombre d’économistes et d’analystes. Et dans le cas de l’iPhone, il semble quasi impossible.
https://www.mining.com/web/trump-to-fas ... across-us/Trump to fast-track permitting for 10 mining projects across US
Reuters | April 18, 2025
The White House on Friday said it will fast-track permitting for 10 mining projects across the United States as part of President Donald Trump’s push to expand critical minerals production.
The projects – which would supply copper, antimony and other minerals – have been granted FAST-41 status, a federal initiative launched in 2015 to streamline approvals of critical infrastructure.
The White House said it will add more projects.
The initial 10 are listed on a US federal website where their permitting progress can be publicly tracked, part of what the Trump administration calls a push for greater transparency and faster permitting.
“This transparency leads to greater accountability, ensuring a more efficient process,” the White House said in a statement.
The move boosts a proposed Idaho antimony and gold mine from Perpetua Resources, a proposed Arizona copper mine from Rio Tinto, a proposed Montana copper and silver mine from Hecla Mining, expansion of Albemarle’s Nevada lithium mine, an Arkansas direct lithium extraction project from Standard Lithium, and an Alabama metallurgical coal project from Warrior Met Coal, among others. Metallurgical coal is used to make steel.
Perpetua said it was “honored by this selection … which validates the urgency and importance of our project for America’s economic and national security.”
Rio said it believes its Resolution copper project in Arizona “is vital to securing America’s energy future and infrastructure needs with a domestic supply of copper.”
Albemarle said it looks “forward to further engaging with the administration as it seeks to advance a US lithium supply chain.”
Standard Lithium and Warrior were not immediately available to comment.
South32’s Hermosa zinc-manganese project in Arizona was fast-tracked by former President Joe Biden, the first mine to receive the FAST-41 treatment.
Trump earlier this week ordered a probe into potential new tariffs on all US critical minerals imports, a major escalation in his dispute with global trade partners and an attempt to pressure industry leader China.
energy_isere a écrit : ↑19 avr. 2025, 00:11
L’efficience de la stratégie trumpiste est plus que contestée. Dresser un mur douanier autour des États-Unis dans l’espoir de revenir en arrière sur plusieurs décennies de mondialisation intégrée apparaît comme un pari fou pour nombre d’économistes et d’analystes. Et dans le cas de l’iPhone, il semble quasi impossible.
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 93095da1efConsommation, embauches, tourisme... : la guerre commerciale de Donald Trump se fait sentir aux États-Unis, selon une enquête de la Fed
Boursorama avec Media Services •24/04/2025
"Les perspectives se sont considérablement dégradées en raison de l'accroissement de l'incertitude économique", a souligné la banque centrale américaine.
Les Américains dépensent et se déplacent moins, les entreprises embauchent moins, les touristes se font plus rares... La guerre commerciale initiée par Donald Trump se fait ressentir de plus en plus nettement aux États-Unis, selon une enquête de la Fed publiée mercredi 23 avril.
"Dans plusieurs régions, les perspectives se sont considérablement dégradées en raison de l'accroissement de l'incertitude économique , en particulier autour des droits de douane", rapporte la Réserve fédérale (Fed) dans son "Livre beige", une enquête régulière sous forme de consultation d'acteurs économiques et d'experts.
Selon le gouvernement, la forte augmentation des droits de douane sur les produits entrant aux États-Unis depuis le retour à la Maison Blanche va permettre de relocaliser des activités et des emplois dans le pays, mais aussi générer des recettes publiques pour financer des baisses d'impôts. À court terme, cette politique protectionniste fait vaciller la première économie mondiale, qui carbure en grande partie grâce au fort niveau de consommation de ses habitants.
Pendant la période d'enquête, close le 14 avril, "les dépenses de consommation hors automobile ont été plus basses dans l'ensemble".
"Posture d'attente"
"La plupart des régions ont constaté des ventes modérées à robustes d'automobiles et de certains biens durables" (comme des meubles) mais celles-ci, est-il noté, "ont généralement été attribuées à une ruée pour acheter" avant que les droits de douane ne fassent grimper les prix. "Les voyages d'agrément et d'affaires ont tous deux diminué, dans l'ensemble, et plusieurs régions ont observé une baisse du nombre de visiteurs internationaux", rapporte la Fed.
Il est par ailleurs souligné que "la plupart des entreprises" consultées prévoyaient de répercuter leurs surcoûts dus aux droits de douane sur leurs prix de vente.
Quant à la situation de l'emploi, "plusieurs régions ont rapporté que les entreprises adoptaient une posture d'attente, en suspendant ou ralentissant les embauches jusqu'à ce qu'il y ait plus de clarté sur les conditions économiques".
"En outre, il y a eu des remontées d'informations éparses selon lesquelles des entreprises se préparent à licencier. "
Alors que le gouvernement s'est employé à réduire à marche forcée les dépenses et la taille de l'appareil fédéral, il est relevé que "les coupes dans les subventions fédérales, ainsi qu'une diminution des dons philanthropiques, ont entraîné des lacunes dans les services fournis par de nombreuses organisations".
Presque tout les indicateurs d'une saine décroissance globale. Quel pied.-perspectives dégradées
-Les Américains dépensent et se déplacent moins,
-les entreprises embauchent moins,
-les touristes se font plus rares.
-cette politique protectionniste fait vaciller la première économie mondiale
-"les dépenses de consommation hors automobile ont été plus basses dans l'ensemble".
-"Posture d'attente"
-Les voyages d'agrément et d'affaires ont tous deux diminué,
-plusieurs régions ont observé une baisse du nombre de visiteurs internationaux"
-les entreprises en suspendant ou ralentissant les embauches
-des entreprises se préparent à licencier.
bah oui quand je vous dis que Trump est une taupe infiltrée d'Extinction Rebellion ....phyvette a écrit : ↑24 avr. 2025, 09:32Article jouissif qui a sa place dans le fil pro-Trump.![]()
Presque tout les indicateurs d'une saine décroissance globale. Quel pied.-perspectives dégradées
-Les Américains dépensent et se déplacent moins,
-les entreprises embauchent moins,
-les touristes se font plus rares.
-cette politique protectionniste fait vaciller la première économie mondiale
-"les dépenses de consommation hors automobile ont été plus basses dans l'ensemble".
-"Posture d'attente"
-Les voyages d'agrément et d'affaires ont tous deux diminué,
-plusieurs régions ont observé une baisse du nombre de visiteurs internationaux"
-les entreprises en suspendant ou ralentissant les embauches
-des entreprises se préparent à licencier.