Le Cuivre

[kercoz]

Lahausse du cuivre peut avantager les USA s'ils ont encore acces aux resources (sud amerique je pense) . Cette facilité a maintenu le réseau ricain a 110v , ce qui augmente fortement les sections de cables elec .

[energy_isere]

Rio Tinto : étude sur l'extension de la mine de cuivre de Bingham (USA)

Rio Tinto, le géant minier australo-britannique, serait prêt à mettre sur la table jusqu'à 238 millions de dollars (166 millions d'euros environ) pour que soit menée à bien une étude de faisabilité portant sur l'extension de la mine de cuivre de Bingham Canyon, située non loin de Salt Lake City, aux Etats-Unis.

Ce montant intégrerait également l'achat d'équipements miniers lourds.

L'étude permettra de déterminer si la date de fin de vie du gisement à ciel ouvert pourra être repoussée de 2019 à 2028 en réalisant une extensions vers le Sud.

Une opération qui, le cas échéant, nécessiterait l'ajout d'une cinquième ligne de broyage de minerai au concentrateur de Copperton, l'extension de la zone de stockage de la gangue et le renforcement des capacités de production électrique.

Rio Tinto prévoit d'ores et déjà de se prononcer sur ce projet d'expansion durant le 1er semestre de 2012.

Exploitée depuis 1903, à l'aube de l'année 2008, la mine avait ainsi produit près de 16 millions de tonnes de cuivre.

Avec quelque 280 000 tonnes de métal pur dégagées annuellement, le site pèse pour plus d'un cinquième de la production américaine. Mais cette quantité record ne doit pas effacer le fait que le minerai de Bingham Canyon demeure relativement pauvre, avec une proportion de cuivre de 0,6%.

Une exploitation à large échelle est donc nécessaire pour assurer la rentabilité du site.

Mais la mine a donné des signes d'épuisement, aucun gisement n'étant éternel. La fin des activités avait initialement été anticipée pour 2012, avant que le périmètre de la mine ne soit étendu de 200 mètres vers l'est.

«Nous ne pouvons tout simplement pas l'étendre davantage», observait en 2008 Jana Kettering, porte-parole de Kennecott Utah Copper, filiale de Rio Tinto.


«Nous avons réalisé des investissements dans de nouvelles technologies pour augmenter notre taux d'extraction de cuivre de 5% et pour optimiser notre production de molybdène, dont les prix grimpent. Ces investissements auraient été impossibles si le cours du cuivre était resté à un niveau semblable à celui des années 1990», précisait alors Bret Clayton, chief executive de la division cuivre du groupe Rio Tinto.

http://www.leblogfinance.com/2011/04/ri ... ngham.html

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Un bateau pour exploiter les minerais sous-marins

Le 14 avril 2011 Usine Nouvelle

Nautilus Minerals s’allie avec une compagnie maritime pour construire un navire nécessaire à l’exploitation minière de fonds sous-marins.

Nautilus Minerals, la première entreprise à s’être lancée dans l’exploration minière commerciale des fonds marins vient d’annoncer la formation d’un partenariat stratégique avec la compagnie maritime allemande Harren & Partner. Nommé Vessel JV, le nouveau joint-venture détiendra et utilisera un navire de support et de production comme base opérationnelle pour extraire du minerai de cuivre et d’or de son gisement Solwara 1, situé dans la mer de Bismarck, au large de laPapouasie Nouvelle-Guinée.



Le navire servira de plate-forme flottante pour diriger à distance les opérations des engins d’extraction sur le fonds marin à environ 1 600 mètres de profondeur. Les engins tailleront et ramasseront le minerai qui sera pompé sous forme de boue (slurry) jusqu’au bateau. Il passera dans un centre d’assèchement avant d’être transféré sur des barges qui le transporteront vers les unités de traitement.



Selon les termes de l’accord, précise un communiqué, Harren dessinera et construira le bateau pour un coût estimé de 167 millions de dollars. Il devrait être livré pour le premier semestre 2013. Le navire sera vendu à Vessel JV dont les actions seront détenues à hauteur de 50,01% par Harren, Nautilus en contrôlant les 49,99% restantes à travers un holding dont 5% appartient à Petromin, une société nationalisée de Papouasie Nouvelle-Guinée.

Outre une importante contribution financière de 120 millions de dollars, Harren, qui possède une flotte de 56 bateaux, amènera son expertise au projet, souligne le directeur général de Nautilus, Stephen Rogers. Avec une longueur de 208 m, une largeur de 40 m et un tonnage de 18 800 tonnes le navire disposera d’une vitesse maximum de 17 nœuds. Il accueillera 160 personnes dont 30 marins. L’équipement minier nécessaire, dessiné par le britannique Soil Machine Dynamics, sera construit également pour le premier semestre 2013. Le capital total investi dans le projet Solwara 1 est désormais estimé à 407 millions de dollars.

http://indices.usinenouvelle.com/matier ... arins.3683

Nodules polymétallique ou pas ?

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Le Cuivre est le champion du recyclage

02/05/2011 actualites-news-environnement.com


L’International Copper Study Group (ICSG), vient de rendre public un son rapport annuel ou il fait état d’une augmentation sans précédent du recours au cuivre recyclé en Europe (Russie incluse).

Le cuivre est de plus en plus utilisé dans le monde, selon le dernier rapport de l’International Copper Study Group (ICSG) paru cette semaine. En 2007, l’utilisation totale a atteint 23,7 millions de tonnes. Le taux de cuivre recyclé se maintient quant à lui au dessus de la moyenne de ces dernières années, avec une filière européenne particulièrement performante. Dans ce contexte de demande croissante et d’importante fluctuation des cours, le recyclage permet de garantir aux industriels la disponibilité de la matière première à des prix compétitifs.

Selon le dernier rapport, avec une hausse de +3,5 points en un an, le cuivre recyclé a couvert 45,7 % des besoins des européens en 2009, contre 42,2 % en 2008. Au niveau mondial, la part de cuivre provenant du recyclage dans l’utilisation globale est tombée de 35,3 % en 2008 à 33,7 % en 2009, du fait notamment de la forte hausse de la demande en Asie. Le secteur qui a le plus recours au cuivre recyclé est le BTP : certains produits-clés utilisés dans le bâtiment sont déjà produits à 100 % à partir de cuivre recyclé.

100% recyclable sans perte de propriété ni de performance, le cuivre recyclé est facilement réintégré dans le cycle de production, sans aucune restriction d'usage. Près de 45% du cuivre utilisé en Europe provient ainsi du recyclage. Il intervient dans la fabrication d'une large gamme de produits, des câbles électriques aux canalisations en passant par les puces d'ordinateurs, les moteurs et transformateurs et les pièces de monnaie.

Le rapport révèle qu’avec plus de 2,2 millions de tonnes de métal rouge recyclé utilisées en 2009, l’Europe (Russie incluse) a couvert 45,7 % de ses besoins en cuivre grâce au recyclage, contre 42,2 % l’année précédente, soit un bond de +3,5 points. Le recours au recyclage atteint ainsi son plus haut niveau historique, dépassant les 44,4 % atteints en 2002.

Les effets positifs du cuivre pour l'environnement ne se limitent pas à la préservation des matières premières et à la réduction des déchets. Car la production du cuivre recyclé permet aussi d'économiser 85% d'énergie par rapport à la production primaire de cuivre, ce qui réduit d'autant l'émission de gaz à effets de serre.

Selon Olivier Tissot, Directeur du Centre d’Information du Cuivre: « En recyclant le cuivre, on économise 80 % d’énergie par rapport à la production primaire, et on évite le rejet de plus de 650 000 tonnes de CO2 par an. Mais au-delà de la diminution de l’impact environnemental, le recyclage renforce la sécurité d’approvisionnement de l’Europe en cuivre, qui constitue l’un des matériaux clés de nos sociétés contemporaines. »

« Aujourd’hui, les produits en cuivre utilisés dans le secteur du bâtiment contiennent en moyenne 70 % de cuivre recyclé. Le métal rouge s’intègre parfaitement dans une approche environnementale globale des bâtiments. A l’heure où le volume de déchets collectés ne cesse d’augmente, l’industrie européenne du cuivre s’est dotée d’une filière recyclage qui est prête et capable d’en assurer le traitement », explique Olivier Tissot, Directeur du Centre d’Information du Cuivre.

Il faut savoir que face aux nouvelles exigences environnementales dans le secteur de la construction, le cuivre dispose de nombreux atouts. Matériau durable, il est recyclable à l’infini sans aucune altération de ses propriétés ni perte de performance. La plupart des produits en cuivre ou en alliage de cuivre utilisés dans le les canalisations, le chauffage et la climatisation, les installations solaires thermiques mais aussi les façades et toitures peuvent être produits à 100 % à partir de cuivre recyclé.

Durable et résistant, l'usage du cuivre concourt également à limiter, en amont, le volume des déchets. On estime ainsi que 80% du cuivre déjà extrait est toujours utilisé de nos jours.

http://www.actualites-news-environnemen ... clage.html

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Le Cuivre en forme au Chili.
15 milliards d' € de profit pour le Cuivre en 2010 au Chili.

L’extraction de métal rouge au Chili est plus coûteuse mais plus profitable.

Le Cesco, le Centre chilien d’études sur le cuivre, vient de publier sa dernière étude sur les sociétés productrices de cuivre au Chili. Dans son rapport, l’organisme indique que, malgré une augmentation des coûts évaluée à 20% sur un an, les profits combinés des onze principales sociétés cuprifères – Codelco, Escondida, Antofagasta… – actives dans le pays andin, ont atteint en 2010 15,18 milliards de dollars, contre 9,99 milliards en 2009. Une hausse qui s’explique avant tout par un puissant rebond des cours de 5 148 dollars en 2009 à 7 533 dollars en 2010.

Malgré un cours moyen supérieur en 2010 aux 7 129 dollars touchés en 2007, les profits des mineurs n’ont pas retrouvé leur niveau d’alors, quand ils culminaient à 18,65 milliards de dollars. La faute à cette forte hausse des coûts opérationnels, explique le Cesco. Malgré un nouvel effritement de 0,4% de sa production à 5,36 millions de tonnes (Mt), le Chili a maintenu sa primauté avec un tiers de l’offre mondiale, plus que les quatre suivants, le Pérou et les Etats-Unis, la Chine et l’Australie, réunis.

Cette hausse des profits ne doit pas cacher une stagnation ou une baisse de la production de métal rouge par les douze plus importants producteurs. La baisse continue des teneurs en métal du minerai extrait et une réalité sociale toujours agitée ont provoqué une baisse de 0,6% de la production à 9,39 Mt. Si cinq mineurs ont vu leur production s’apprécier en 2010, les principaux ont subi un effritement de leur offre. L’augmentation de la production de Grupo Mexico, +38,7% à 688 000 tonnes, est la conséquence d’une remise en activité de la mine mexicaine de Buenavista. Mais les deux premiers, Codelco et FreeportMcMoRan, ont vu leur production reculer de 0,8% et 4,6% à respectivement 1,68 et 1,77 Mt. Codelco est toutefois toujours le numéro un du métal rouge avec une production attribuée de 1,72 Mt contre 1,42 Mt pour Freeport.

http://indices.usinenouvelle.com/metaux ... table.3755

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La mine de Cuivre de Chuquicamata au Chili.

La plus grande exploitation miniére (à ciel ouvert) du monde.

Appartient à la compagnie nationale du Chili CODELCO.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Chuquicamata

Le wikipedia en Anglais est un peu plus fourni http://en.wikipedia.org/wiki/Chuquicamata
Cette mine est la plus grande, mais pas la plus profonde (un plus profond aux USA), ni celle qui produit le plus de Cuivre, qui est en fait celle de Escondida.
Mais en Cuivre extrait cumulé depuis son début, elle a bien le record.

des photos sur ces sites :

http://www.sports-sante.com/index.php/v ... a-au-chili

http://www.photoway.com/voyage/chili/ch ... amata.html





sur le site de Yann Arthus Bertrand :

Mine de cuivre de Chuquicamata, Chili (22°19’ S - 68°56’ O).
La mine de Chuquicamata est la plus grande mine à ciel ouvert du monde. Large de 2 km sur 3 km de long, elle s’enfonce à plus de 700 m de profondeur. Son minerai, très prisé, est le plus riche en cuivre de la planète. Malheureusement, il contient aussi une teneur élevée en sulfate. Cet élément toxique se retrouve dans les nuages de poussière libérés par le ballet incessant des camions et par les explosions servant à détacher le minerai des parois du puits. Les ouvriers respirent ces particules sulfurées à longueur de journée et, même s’ils n’ont pas le droit de travailler plus de trois ans dans la mine, ils prennent le risque d’être atteints plus tard d’un cancer des poumons. Les autres habitants de la région ne sont pas épargnés par cette pollution. On note un nombre élevé des maladies respiratoires dans la ville voisine de Chuquicamata. Dans les pays en développement, 500 000 personnes meurent chaque année du fait de la concentration élevée de particules en suspension et de dioxyde de soufre (SO2) dans l’atmosphère.


et sur ce lien : http://maps.apocalx.com/nature//660-min ... camata.php


sur mining-technology.com ( http://www.mining-technology.com/projec ... ta-copper/ ) ils disent que la mine a ciel ouvert est en fin de vie.
Fermeture pour 2013, mais qu' une extraction souterraine va prendre le relais.

L' extraction actuelle se fait sur du minerais à "seulement" 1.1 % de Cuivre (et un peu de Molybdéne)
Production en 2000 de 750000 tonnes de Cuivre soit 5.6 % de la production mondiale de 2000.
13000 tonnes de Molybdéne coproduit.
http://www.showcaves.com/english/misc/m ... amata.html

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Dans l' Usine Nouvelle du 19 Mai 2011



il y a un pdf sur ce projet de Quadra Mining : http://www.quadrafnx.com/i/pdf/Quadra-M ... -Gorda.pdf
le pourcentage de Cu dans le minerai est 0.42 %
le pourcentage de Mo dans le minerai est 0.027 %
Traces d' Or
La mine doit durer 25 ans.

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Xstrata : vers l'extension de la mine (de Cuivre) de Collahuasi.

CercleFinance.com 23 juin 2011

Xstrata indique ce matin que SCM, coentreprise exploitant la mine de cuivre chilienne de Collahuasi, a lancé une étude de pré-faisabilité en vue d'une extension. Une ou deux lignes de concassage supplémentaires pourraient être construites. La capacité de production de la mine pourrait, le cas échéant, dépasser le million de tonnes de métal par an.

Située dans la région cuprifère du nord chilien, non loin de la ville d'Antofagasta, Collahuasi est une mine détenue à 44% par le mineur généraliste Xstrata, à 44% également par le sud-africain AngloAmerican et à 12% par le nippon Mitsui. Elle est exploitée par la coentreprise Compañía Minera Doña Inés de Collahuasi (SCM).

“Ce projet [d'extension] conduirait à une augmentation significative de la capacité de traitement du concentrateur et à la construction de l'infrastructure nécessaire”, indique SCM.

Une ou deux lignes de concassage de minerai supplémentaires seraient construites, leur future capacité de traitement cumulée étant estimée entre 270.000 et 380.000 tonnes de minerai par jour. La mise en route des nouvelles infrastructures serait prévue en 2017.

La production de la mine passerait alors d'environ 500.000 tonnes à 800.000 de cuivre en moyenne annuelle avec une seule ligne. Avec deux lignes, le cap du million de tonnes serait vraisemblablement franchi. Une décision définitive sera prise durant le 2nd semestre quant la la construction d'une ou deux lignes de concassage.

La mine de Collahuasi recèle 7,1 milliards de tonnes de réserves minières cuprifères d'une teneur moyenne en métal de 0,82%, a rappelé le patron de SCM, Giancarlo Bruno.

http://www.boursorama.com/infos/actuali ... cd488e6b3a

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Glencore: d'accord pour acheter 70% du projet Mina Justa pour 475 millions USD

Baar (awp) 18 Juillet 2011

Glencore International AG a indiqué lundi avoir accepté sous conditions d'acheter à CST Mining Group Limited une part de 70% dans Marcobre S.A.C., seul propriétaire de Marcona Copper Property et du projet Mina Justa, pour un montant en cash de 475 mio USD. Le groupe minier suisse dénombre parmi les conditions une étude approfondie des comptes satisfaisante. La transaction devrait aboutir en octobre 2011, selon un communiqué.

Le projet Mina Justa est la principale exploration minière dans le Marcona Copper Property visée par Marcobre. Il contient 413,3 millions de tonnes de minerais à 0,79% de cuivre.

"Cette acquisition complètera de manière idéale les opérations de Glencore au Pérou et augmentera de manière significative les activités du groupe dans le cuivre", a indiqué Daniel Mate, vice-directeur du département Zinc/Cuivre, cité dans le communiqué

http://www.boursorama.com/infos/actuali ... ndex.phtml

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Barrick Gold : retrait de la cote d'Equinox Minerals.

CercleFinance.com 20 Juillet 2011

Barrick Gold va boucler l'acquisition d'Equinox. Le groupe canadien a indiqué hier qu'il a acquis les dernières actions Equinox Minerals qui n'avaient pas été apportées à son offre d'achat. Il détient désormais 100% de ce groupe de droit canadien coté à Toronto et à Sydney détenant d'importants gisements et mines de cuivre en Zambie surtout, et en Arabie saoudite. Les titres Equinox vont maintenant être retirés de la cote.

Cette opération marque la diversification de Barrick vers les métaux industriels, alors que le numéro 1 mondial des mines d'or était jusque-là spécialisé dans le métal précieux.

Les actions Equinox seront retirées de la cote de la Bourse torontoise ce 20 juillet, et de celle de Sydney, en Australie, le 21.

http://www.boursorama.com/infos/actuali ... 091f0adeab

Qui connait ces gisements de Cuivre en Arabie Saoudite ?

sur l'entrée BRGM de Wikipedia http://fr.wikipedia.org/wiki/BRGM#Les_g ... e_classe_B je trouve en Arabie Saoudite qu' effectivement il y a le site de Khnaiguiyah avec 0.8 % de Cuivre mais bourré de Zinc (de 7 à 15 % !) et le site de Jabal Sayid à 2.3 % de Cuivre.

Et vu dans ce pdf : http://www.nrcan.gc.ca/mms-smm/busi-ind ... 994/27.pdf

Arabie Saoudite

L’Even Resources Ltd. entreprendra une étude de
faisabilité visant le gisement de cuivre Jabal Sayid,
situé à 340 km au nord-est de Jeddah. Le gisement
contient des réserves estimées à 90 Mt titrant 1,54 %
de cuivre. La production de cuivre serait de 210 000 t/a.
Le gisement appartient à l’Even Resources Ltd. (40 %
des intérêts) et à l’Alujain Corp. (60 %).

Toujours en Arabie Saoudite, l’Arabian Shield Development
Co. a entrepris la mise en valeur de son gisement
de zinc-cuivre Al Masane, situé dans le sudouest
du pays et dans lequel elle détient 50 % des
intérêts. La mine, qui devrait entrer en production
d’ici le milieu de 1996, produira environ 30 000 t/a de
zinc et 8500 t/a de cuivre ainsi que de l’or et de
l’argent.

Il a été signalé qu’un consortium japonais et l’Alujain
Corp. auraient terminé une étude de faisabilité et le
calendrier de mise oeuvre d’une toute nouvelle usine
de fusion de 150 000 t/a à Yanbu. L’usine, qui sera
opérationnelle au début de 1998, devrait coûter
500 millions de dollars américains.

Mais ce document est trés vieux, ca a l' air de dater de 1995.

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Le projet cuprifère au Pérou de Chinalco est prévu pour octobre 2013

16 septembre Usine Nouvelle

Les projets se multiplient pour développer le cuivre péruvien, notamment celui de Toromocho qui recevra 2,2 milliards de dollars.

C’est en mai dernier que la société d’Etat chinoise Chinalco a débuté la construction de la mine de cuivre de Toromocho au Pérou. Celle-ci, qui va recevoir 2,2 milliards d’investissements, devrait entrer en production dès octobre 2013, a indiqué David Thomas, le responsable opérationnel du groupe, lors de la convention annelle du secteur Perumin qui vient de se dérouler à Arequipa.

La phase de préproduction devrait commencer en mars 2013, a précisé David Thomas. En 2010, Chinalco avait lancé la construction d’une nouvelle ville de plus de 5 000 habitants sur le site de l’agglomération existante de Morococha, dans la proximité immédiate de la mine. Les résidents seront transférés en 2012.

En 2007, Chinalco avait racheté pour 792 millions de dollars la compagnie minière basée à Toronto, Peru Mining, qui contrôlait le gisement de Toromocho, à 4 500 mètres au-dessus du niveau de la mer. Située à 140 kilomètres à l’est de Lima, la mine, qui dispose d’une réserve de 1,526 milliard de tonnes de minerais (plus de 30 années de production), devrait produire 250 000 tonnes de concentrés de cuivre par an ainsi que de petites quantités d’argent et de molybdène.

Le Pérou est devenu le deuxième producteur mondial de cuivre, loin cependant derrière le Chili. En 2010, sa production de cuivre a atteint 1,285 million de tonnes (Mt) contre 5,52 Mt pour le Chili. En termes de réserves cependant, le Pérou, 90 Mt, est plus proche du pays andin (150 Mt). L’industrie minière représente le gros des investissements étrangers du pays et les minerais et métaux 60% de ses exportations. Outre Chinalco, un mineur local Buenaventura, associé au producteur d’or états-unien Newmont, vient d’annoncer un investissement de 4,8 milliards de dollars dans la mine d’or et de cuivre de Conga qui devrait entrer en production en 2015.

http://indices.usinenouvelle.com/metaux ... -2013.3932

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en avril 2011 j' avais posté sur la mine US de Bingham viewtopic.php?p=292012#p292012

en voici un peu plus.
http://en.wikipedia.org/wiki/Bingham_Canyon_Mine

Au sud Ouest de Salt Lake City, en activité depuis 1906.
1200 m de profondeur, 4 km dans la plus grande largeur , 7.7 km2.
Selon l' opérateur c' est la plus grande excavation humaine.
C'est la plus grande mine de Cuivre du monde aprés Chuquicamata dont j' ai parlé un peu plus haut.

Cette mine coproduit également de l' Or, de l' Argent, et du Molybdéne.



http://www.infomine.com/minesite/minesi ... te=bingham

Geology
The classic copper porphyry orebody is not only huge but also enjoys a fairly uniform distribution of sulphide mineralisation, mainly chalcopyrite.

As of end of 2009, the stated reserves were 317Mt proven ore grading 0.53% copper and 207Mt probable are reserves grading 0.39% copper.

These reserves are expected to enable open pit operations to continue until 2020 with additional mineral resources potentially extending the open pit mine life to 2032.

Recent exploration at the Bingham Canyon mine has identified a new copper-molybdenum-gold porphyry system beneath the current open pit (disclosed in March 2009). The molybdenum deposit is between 450-550 million tonnes at a grade of 0.1-0.15 per cent molybdenum. The average grade of the molybdenum in the open pit reserve is 0.045 per cent molybdenum.

[energy_isere]

Comparaison dans le Blogenergie.com entre le cours du Cuivre et le cours du Brent et du WTI



extrait de cet article http://www.leblogenergie.com/2012/02/la ... res-1.html

[energy_isere]

Enorme mine de Cuivre en cours de développement en Mongolie OYU TOLGOI (Sud du pays , à 80 km de la frontiére Chinoise)
sur Wikipedia : http://en.wikipedia.org/wiki/Oyu_Tolgoi_mine

et selon ce forum, dans ce post : http://photostp.free.fr/phpbb/viewtopic ... 94#p357194

En premier lieu, quelques précisions sur le site. Il a été découvert il y a une dizaine d'années lors de campagnes géologiques. A cette occasion, il a été détecté la présence en quantités importantes de cuivre, d'or et de molybdène. Après plusieurs années de négociation avec le gouvernement Mongol, Un permis d'exploitation a été accordé à un groupement emmené par YVANHOE mine, RIO TINTO et l'état Mongol.

Le site qui s'étend sur une distance de 12Km et sur une surface équivalente à celle de Manhattan entrera en production en 2012 pour le cuivre et en 2013 pour la commercialisation. Celle de l'extraction des minerais aurifères a déjà débuté à partir du puits n°1. Le site sera exploité en open pit pour le cuivre et à partir de deux puits pour l'or.

Les productions envisagées sur les dix prochaines années seront de l'ordre de 450 000T de cuivre en moyenne annuelle, soit entre 3 et 5% de la production mondiale annuelle.
La production d'or quand à elle est estimée entre 15 et 18T en moyenne annuelle, toujours pour les dix prochaines années.

Le site, avec les trois zones d'extraction


.........
Autres précisions sur le montant des investissements, tels qu'évoqués par JPF83, ils sont gigantesques et à la démesure du projet. Ils s'élèvent aujourd'hui et ce n'est pas définitif à la somme de 6,2 milliards de dollars à titre de comparaison, c'est le même montant que les travaux de construction du nouvel East Bay Bridge (liaison Oakland/Frisco) qui ont débuté il y a 10 ans. . Ivanhoe Mines détient 66% du projet, dont il a financé les coûts de prospection. Rio Tinto, je le précise également possède désormais 49% du capital d'Ivanhoe.

voir l' ensemble du fil qui montre le chantier. C'est énorme.

Une partie sera en opent pit, et les deux autres en souterrains.

C' est le plus gros projet économique de la Mongolie.

[energy_isere]

Suite de ce post viewtopic.php?p=292013#p292013 au sujet d' un projet d' extraction miniére au large de la Papouasie nouvelle Guinée.

Eldorado sous-marin volcanique

22.12.2011  Courrier International

La mine d’or de l’avenir se trouvera à 1 600 mètres sous l’eau, annonce la revue spécialisée New Scientist. A partir de 2013, la compagnie canadienne Nautilus Minerals projette d’exploiter les dépôts métalliques des cheminées hydrothermales au large de la Papouasie - Nouvelle-Guinée, sur un site nommé Solwara 1. Ces formations sous-marines d’origine volcanique sont aussi riches en minerais de grande qualité qu’en biodiversité. Face aux inquiétudes des scientifiques, Nautilus Minerals s’est engagé à minimiser l’impact écologique de son exploitation.


Le projet de la société canadienne Nautilus Minerals sur le site Solwara 1 - Nautilus Minerals

http://vert.courrierinternational.com/a ... volcanique

localisation :


et pour l' exploitation en fond sous marin par la sociéte Nautilus:

Vue d' ensemble du processus d' extraction


machine sous marine de creusement broyage :


machine sous marine d' aspiration aprés broyage :


bateau barge de surface qui récupére les ''boues '' extraites''


voir ici : http://www.nautilusminerals.com/s/resou ... action.asp

Forte teneur en Cuivre, et appréciable en Or :
Indicated Mineral Resource: 1,030kt @ 7.2% Cu, 5.0 g/t Au, 23 g/t Ag, 0.4 % Zn
ici http://www.nautilusminerals.com/s/Projects-Solwara.asp

et encore :

.........
La prudence avant la ruée

Reste à voir si cela peut véritablement fonctionner. «Tout le monde regarde le projet de Nautilus, même si c'est un très petit projet, affirme le secrétaire général adjoint de l'Autorité internationale des fonds marins, Michael Lodge, joint au siège de l'organisme en Jamaïque. Si Nautilus peut prouver que la technologie fonctionne, les autres sociétés vont être davantage tentées de dépenser des millions pour développer des projets extracôtiers.»

La présence de grands joueurs dans l'actionnariat de Nautilus (NUS à la Bourse de Toronto) est un autre signe de l'intérêt de l'industrie. Le géant russe du fer Metalloinvest détient 21% des actions et AngloAmerican, 11,1%. Les sociétés canadiennes Teck Resources et Barrick Gold détiennent aussi des participations mineures, soutient Stephen Rogers.

Malgré l'appui de ces grands joueurs, l'entreprise est risquée. Il manque encore 75 millions pour boucler le financement, selon l'analyste Craig Miller. Le PDG de Nautilus confirme que dans le contexte économique actuel, les banques ne sont pas tentées de supporter un projet basé sur des technologies qui n'ont pas encore fait leurs preuves.
........

http://www.actualite-distincte.info/201 ... peche.html

Encore un truc qui va bien esquinter la biodiversité aux alentours.