
maintenant 35%de ...

c'est sûr le peak oil n'est pas une extrapolation optimiste ! Sénèque ne s'y serait pas trompé :
http://www.theoildrum.com/node/8317
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http://www.boursorama.com/international ... 3a754dcb46Libye/pétrole : le CNT dément l'existence d'un accord avec la France
AFP le 01/09/2011
Le représentant à Paris du Conseil national de transition, instance dirigeante de la rébellion libyenne, a nié jeudi que le CNT ait signé avec la France un document lui promettant 35% du pétrole libyen, dans une déclaration à l'AFP.
Libye : "désastre humain" lié au bombardement de la "Grande rivière artificielle" comme le prédisait Kadhafi ?
Kadhafi aurait-il dit juste en mettant en garde en avril dernier contre "un désastre humain" si son projet pharaonique de "Grande rivière artificielle" était touché par les bombardements aériens de l'Otan.
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Information démentie et j'ai eu confirmation du pipeau depuis l'intérieur des concernésle Figaro d'aujourd'hui a écrit :Des ingénieurs de la société Bull et des militaires français ont formé, en 2008, les services de renseignement libyens pour placer la totalité du pays sur écoute.
http://fr.rian.ru/energetics/20110916/191093036.htmlGazprom rejoint un projet énergétique en Libye
MOSCOU, 16 septembre - RIA Novosti
Le russe Gazprom et l'italien Eni ont signé un accord consacrant le rachat par le groupe russe d'une part dans le projet libyen Elephant, indique un communiqué d'Eni.
Aux termes de l'accord, la compagnie énergétique italienne transmettra au géant russe la moitié de sa part dans le gisement pétrolier Elephant (33% de tout le projet).
Découvert en 1997, ce gisement a été mis en valeur par Eni avec la participation de la compagnie nationale libyenne NOC. Les réserves prouvées d'Elephant se chiffrent à 68 millions de tonnes de pétrole.
Gazprom a en outre signé avec SeverEnergia (dont Eni est un actionnaire) un accord autorisant le géant russe à acheter le gaz fourni par cette coentreprise russo-italienne.
http://fr.rian.ru/world/20110921/191158567.htmlLibye: opération de l'Otan prolongée
MOSCOU, 21 septembre – RIA Novosti
Les représentants des 28 pays-membres de l'Otan ont décidé lors d'une réunion mercredi à Bruxelles de prolonger de trois mois l'opération militaire en Libye, rapportent les médias internationaux citant une source diplomatique.
L'aviation de l'Alliance poursuivra les frappes contre les forces loyales à l'ex-leader libyen Mouammar Kadhafi, tandis que les navires otaniens continueront à assurer l'embargo sur les ventes des armes au pays.
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http://www.boursorama.com/actualites/to ... 2f830b91d4Total a annoncé qu'il avait repris "ce vendredi" la production de pétrole sur une plateforme au large de la Libye, ce qui fait de lui la première compagnie étrangère à rouvrir le robinet d'or noir libyen depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi.
Un porte-parole du groupe a déclaré à l'AFP que la production avait repris dès ce vendredi. Auparavant, le groupe avait déclaré qu'il allait "reprendre la production sur (la plateforme d')Al Jurf ce week-end".
La plateforme intacte d'Al Jurf (ouest), à l'arrêt depuis mars en raison de la révolte contre le régime déchu de Mouammar Kadhafi, est opérée par la compagnie libyenne Mabruk Oil et située sur un champ pétrolier détenu à 50% par la compagnie nationale libyenne, la National Oil Corporation (NOC), à 37,5% par Total et à 12,5% par l'allemand Wintershall.
Située à environ 100 km au large des côtes libyennes, elle avait avant la guerre une production de 40.000 barils par jour. Le retour à la normale prendra "quelques semaines", selon un porte-parole de Total.
L'Union européenne vient de lever des sanctions visant la très puissante NOC, ce qui va faciliter les opérations pétrolières en Libye.
Dans un entretien au journal allemand Handelsblatt publié lundi, le patron de Total, Christophe de Margerie, avait indiqué que la production du groupe en Libye devrait reprendre "rapidement", le groupe ayant "de bonnes raisons de penser que (ses) sites de productions sont en bon état en dépit du conflit".
Total, présent sur quatre sites libyens (Al Jurf et trois champs à terre), produisait avant la guerre environ 55.000 barils par jour en Libye, dont la production pétrolière quotidienne d'environ 1,6 million de barils s'est réduite à peau de chagrin à cause de la guerre.
La compagnie libyenne Arabian Gulf Oil, basée dans le fief de l'insurrection à Benghazi, avait déjà repris il y a dix jours la production dans l'est du pays.
http://www.boursorama.com/actualites/l- ... cdac0aa301L'italien ENI redémarre sa production de pétrole en Libye :
Le géant pétrolier italien ENI a annoncé lundi avoir redémarré sa production de pétrole en Libye, en relançant les puits du gisement d'Abu-Attifel, situé à 300 kilomètres au sud de Benghazi.
"ENI redémarre la production en Libye sur le gisement Abu-Attifel", a indiqué dans un communiqué le groupe, qui est le premier producteur étranger d'hydrocarbures en Libye, pays dont l'Italie est l'ancienne puissance coloniale
En collaboration avec la compagnie nationale libyenne NOC, ENI a relancé quinze puits sur ce gisement, dont la production s'élève pour le moment à 31.900 barils par jour.
"Au cours des prochains jours, d'autres puits de production seront réactivés avec pour objectif d'atteindre les volumes minimums nécessaires pour redémarrer l'oléoduc qui transportera le pétrole du gisement au terminal de Zuetina", a ajouté le groupe.
ENI, qui rappelle qu'il "est présent en Libye depuis 1959 et est le premier opérateur international", a signé fin août un accord avec les nouvelles autorités libyennes afin de reprendre ses activités dans le pays.
A l'exception d'un gisement gazier dont la production était destinée aux centrales électriques locales, toutes les activités d'ENI avaient été suspendues en Libye en raison du conflit et sa production nette avait chuté à environ 50.000 barils par jour contre une production estimée en temps normal de 280.000 barils par jour.
D'ici qu'on s'en prenne rien que 10% sur la gueule, pour cause de petit nerveux en fin de règne...Raminagrobis a écrit :lien on a perdu la trace de plus de 10000 missiles sol air de l'ancienne armée libyenne, ce qui suicite des inquiétudes vu leur utilisatio terroriste possible.
Les "concernés" ont toutes les raison de la fermermahiahi a écrit :Information démentie et j'ai eu confirmation du pipeau depuis l'intérieur des concernésle Figaro d'aujourd'hui a écrit :Des ingénieurs de la société Bull et des militaires français ont formé, en 2008, les services de renseignement libyens pour placer la totalité du pays sur écoute.
Mediaaprt aujourd'hui a écrit :La société française Amesys, filiale du groupe Bull, a bien vendu aux Libyens un vaste système d'espionnage du net. L'intégralité du contrat, aujourd'hui dévoilée par Mediapart, présente même des traces d'interceptions de mails au sein d'un laboratoire de l'université Paris-VI. Pour tenter d'étouffer le scandale, Amesys menace de poursuites judiciaires ses anciens salariés qui parleraient à la presse.
le Figaro d'aujourd'hui a écrit :Des ingénieurs de la société Bull et des militaires français ont formé, en 2008, les services de renseignement libyens pour placer la totalité du pays sur écoute.
mahiahi a écrit :Information démentie et j'ai eu confirmation du pipeau depuis l'intérieur des concernés
Il y a bien eu un mécanisme d'espionnage mais pas de flicage du pays ou même généralisé.Lansing a écrit :Les "concernés" ont toutes les raison de la fermer
Mediaaprt aujourd'hui a écrit :La société française Amesys, filiale du groupe Bull, a bien vendu aux Libyens un vaste système d'espionnage du net. L'intégralité du contrat, aujourd'hui dévoilée par Mediapart, présente même des traces d'interceptions de mails au sein d'un laboratoire de l'université Paris-VI. Pour tenter d'étouffer le scandale, Amesys menace de poursuites judiciaires ses anciens salariés qui parleraient à la presse.
http://www.romandie.com/news/n/_Libye_p ... 111710.aspLibye: pas de contrats pétroliers avant la tenue d'élections
TRIPOLI - Aucun nouveau contrat pétrolier ne sera conclu en Libye tant qu'un gouvernement n'aura pas été formé à l'issue d'élections, a déclaré mercredi à Tripoli le ministre des Finances et du Pétrole du Conseil national de transition (CNT), Ali Tarhouni.
Il n'y a pas de nouveaux contrats pendant cette période transitoire, ni pour Total, ni pour aucune autre compagnie, a déclaré M. Tarhouni à la presse à l'occasion de la visite en Libye d'une délégation de 80 entreprises françaises.
Le seul gouvernement qui puisse accorder de nouvelles concessions pétrolières est un gouvernement élu et cela interviendra une fois que nous aurons une Constitution, a-t-il ajouté.
Le CNT, l'ex-rébellion qui a renversé le régime Kadhafi, attend désormais la chute de Syrte, bastion pro-Kadhafi symbolique, pour proclamer la libération totale du pays et reprendre ses discussions en vue de former un gouvernement chargé de gérer la transition jusqu'à des élections générales.
La production pétrolière de la Libye, actuellement remontée à 400.000 barils par jour après être tombée presque à l'arrêt du fait des violences, devrait atteindre environ 600.000 b/j d'ici à la fin de l'année et approcher le million à la fin du premier trimestre 2012, a précisé le président de la NOC (National Oil Corporation), Nouri Berruien.
Nous visons un retour à nos niveaux précédents de 1,6/1,7 million de b/j d'ici, nous l'espérons, fin 2012, a-t-il ajouté.
Si certaines installations ont été endommagées pendant l'insurrection, les pires dégâts ont été commis au cours des 42 ans de pouvoir de Mouammar Kadhafi, a-t-il estimé, déplorant qu'un pays comme la Libye importe 60% de son essence.
Les deux prochaines années verront d'intenses activités d'exploration nécessitant de très grands investissements mais avec des retours très importants, a déclaré M. Berruien devant les industriels français du pétrole.
Le critère de toute négociation commerciale (...) sera le principe de l'intérêt du peuple libyen, aucun autre critère n'est plus important, a ajouté M. Tahrouni, après avoir remercié la France pour son soutien face à M. Kadhafi.
Le deuxième critère sera la transparence, a-t-il aussi prévenu. Nous avons eu assez de corruption et de dilapidation des biens publics, a-t-il lancé.
Parmi les 80 entreprises présentes mercredi à Tripoli, les secteurs de l'énergie, du BTP et des transports, étaient largement représentés avec également l'agroalimentaire, les télécommunications, la sécurité, l'urbanisme et l'aménagement du territoire, la santé, la banque, l'eau et l'environnement.
Onze entreprises pétrolières et gazières dont Total, Technip, GDF Suez Exploration et Production ont participé aux rencontres.