La position de Tovi se défend ......epe a écrit :Tovi a écrit : savoir QUAND on fera défaut.
Le plus tôt étant le mieux, selon moi.Où l'on constate que même parmi les "décroissants" il y a deux écoles. Pour ma part je préfère la méthode lente. Je crois que les partisans du défaut sous-estiment énormément la brutalité des conséquences.sceptique a écrit :Il n'y a pas d'espoir de jours meilleurs : on peut descendre relativement lentement comme maintenant ou beaucoup plus brutalement avec par exemple un défaut de dette. On a le choix.
L' effet de "collage" sur le modèle anterieur , retient la dépletion economique et les modifications comportementales qui devraient se mettre en place a "attendre" .......ce retard ne peut qu'augmenter les traumatismes qui auront inévitablement lieu .
On peut comparer le modèle a un point d' inflexion ...qui du point de vue societal ne peut DEJA qu' etre traumatisant....forcer sur cette inflexion c'est amener la "tengeante " qui coupe la courbe ....vers la verticale ...( Pas sur d' etre compris)
La position individuelle sera , a mon avis de se rapprocher du modèle terminal ( attracteur) en bénéficiant des rémanents sociétaux utilitaire et en recherchant de vrai valeurs ......puisque de toute évidence , il est utopique d' infléchir le modèle de façon global.
En fait mon développement contredit mon affirmation premiere .....si pour la société , un effondrement rapide est souhaitable , pour un individu lucide ( qui ce souhait vain), un effondrement tardif est espéré ...mais peut etre pas pour sa descendance