Isn't it amazing !


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https://www.rigzone.com/news/oil_gas/a/ ... Export_LNGUS Energy Dept Approves Oregon Project To Export LNG
July 31, 2014 Rigzone + Reuters
The U.S. Energy Department on Thursday approved Oregon LNG to export liquefied natural gas, as the Obama administration works through applications to export fuel from the domestic drilling boom to markets in Asia and Europe.
Oregon LNG, which is controlled by Leucadia National Corp , has been authorized by the department to export up to 1.25 billion cubic feet per day of the fuel for 20 years. It hopes to begin exporting LNG in 2017.
The Astoria, Oregon-based project still needs approval from the Federal Energy Regulatory Commission (FERC), which will review its environmental impact.
The DOE's review of the Oregon project was initiated before the Obama administration shook up its LNG review process in May. Under its proposed revamp, the DOE will no longer issue conditional approvals of LNG projects.
Instead, the DOE would decide whether a project is in the national interest only after the FERC issues a final environmental review. The change is expected to benefit companies that have strong financial backing for their projects.
The DOE has given the green light to three LNG projects this year, and Oregon LNG could be one of last to get initial approval from the department under the old system.
In March, as the Obama administration was under pressure to approve projects amid Russia's aggression toward Ukraine, the DOE approved Veresen Inc's Jordan Cove plant. Weeks earlier it approved Sempra's Cameron project.
On Wednesday, the FERC approved construction of the Freeport LNG Development LP's LNG project in Texas, the third project gaining full U.S. approval to ship the fuel to countries with which Washington does not have a free trade agreement.
The first of those, Cheniere's Sabine Pass plant in Louisiana, is expected to begin shipping LNG next year.
https://www.energylivenews.com/2014/09/ ... -projects/US approves two LNG export projects
Sep 11, 2014
The US Department of Energy (DOE) has given final approval to two Liquefied Natural Gas (LNG) facilities to begin exporting.
The permits were given to Sempra Energy’s Cameron LNG facility in Louisiana and Carib Energy’s small-scale export project in Florida.
The former facility is authorised to export LNG up to the equivalent of 1.7 billion standard cubic feet per day (bcf/d) of natural gas for a period of 20 years and the latter up to 0.04 bcf/d for the same period.
Under the new approval process in the US, companies complete environmental reviews before submitting an application to the US DOE.
It said: “The Department considered the economic, energy security and environmental impacts and determined that exports was not inconsistent with the public interest.”
The US Energy Information Administration (EIA) expects domestic natural gas production to increase, forecasting a record production rate of 74.56 bcf/d this year.
Cameron LNG
http://www.leblogenergie.com/2014/10/03 ... -dessence/Feu Vert de l’Administration américaine pour une nouvelle usine de production d’essence
Raymond Bonnaterre leblogenergie
Les immenses réserves de gaz américaines constituent une ressource qui va permettre à l’avenir de synthétiser à moindres coûts, de grands volumes de carburants liquides pour les transports.
Aujourd’hui, au Texas, c’est un futur ensemble de production de méthanol (1,75 million de tonnes par an) à partir de gaz naturel et de production d’essence (plus de 8 millions de barils par an ou 22000 barils par jour, soit le dixième d’une raffinerie classique) à partir de ce méthanol (MTG) qui vient d’obtenir une nécessaire autorisation de la part de l’EPA.
Un nouvel exemple sans ambition de substituabilité compétitive des ressources d’énergie. Le gaz américain, abondant et peu onéreux, permet d’accéder de façon rentable à des carburants de synthèse.
LIRE le communiqué de l’EPA américaine.
http://www.lemonde.fr/energies/article/ ... 53054.htmlGaz de schiste, feu de paille ?
Le Monde | 08.12.2014 Par Stéphane Foucart
En ces temps d’abondance pétrolière retrouvée – le baril d’or noir était passé, vendredi 5 décembre, sous la barre des 70 dollars (57 euros) –, qui se soucie encore de savoir combien d’hydrocarbures non conventionnels nous avons sous les pieds ? La question pourrait ne valoir plus guère qu’un haussement d’épaules : le gaz semble jaillir d’à peu près partout où on le cherche, le pétrole coule de nouveau à flots.
La revue Nature lui consacre pourtant, dans son édition du 4 décembre, son éditorial ainsi qu’une longue enquête – le tout risquant de doucher quelque peu l’enthousiasme des tenants du gaz de schiste.
La prestigieuse publication scientifique estime en effet que les projections de la production américaine de gaz de schiste pourraient être « considérablement surestimées » par l’US Energy Information Administration (EIA), l’agence fédérale chargée de la prospective énergétique. « Ces prévisions sont importantes, car elles nourrissent des décisions politiques sur l’énergie, prises au plus haut niveau », explique Nature dans son éditorial.
Sur la foi des estimations de l’EIA, note en substance la revue, ce sont des dizaines de milliards de dollars d’investissements qui sont prévus outre-Atlantique dans le développement d’infrastructures lourdes de liquéfaction et d’exportation, de production électrique, etc.
De fait, le gaz de schiste fait baisser la pression sur le pétrole, alors même que la demande d’or noir tend à ralentir en même temps que la croissance mondiale. Pour Goldman Sachs, un « nouvel ordre ...
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http://www.usinenouvelle.com/article/ga ... ue.N304434Gaz de schiste : l'état de New York interdit la fracturation hydraulique
18 dec 2014 Usine Nouvelle
La fracturation hydraulique n'a plus droit de cité dans l'Etat de New York aux Etats-Unis : suite à un rapport du département de santé de l'Etat, le gouverneur Andrew N. Cuomo a jugé que cette pratique destinée à extraire du sous-sol du pétrole et du gaz présentait des risques pour la santé publique et pour l'environnement. Les autorisations de forages sur place étaient déjà suspendues depuis 2008.
Les écologistes américains ont gagné la partie dans l'Etat de New York : le gouverneur Andrew N. Cuomo a interdit le 17 décembre la fracturation hydraulique pour extraire du sous-sol du gaz et du pétrole de schiste. Il a pris cette décision après avoir consulté un rapport réalisé par le département de la santé de son Etat . Un moratoire sur les autorisations de forage était en cours depuis 2008 dans cette région des USA.
La fracturation hydraulique implique d'injecter d'importantes quantités d'eau, de sable et de produits chimiques dans la croûte terrestre à une pression très forte, pour libérer le gaz naturel et le pétrole emprisonnés dans le sous-sol. Le commissaire à la santé chargé de présenter l'étude au gouverneur, le docteur Howard A. Zucker, a expliqué que cette pratique présentait des risques significatifs pour la santé publique. Elle conduirait notamment à une pollution de l'eau et de l'air avec des composés organiques volatils toxiques, que le corps humain ne parvient pas à éliminer.
peu d'impact sur la production nationale d'énergie
C'est la première fois qu'un Etat interdit cette pratique aux Etats-Unis. Mais, bien que la région de New York soit assise sur d'importantes réserves de schistes contenant du gaz naturel, "elle n'est pas considérée comme une importante productrice d'énergie", explique Michael Webber, directeur adjoint de l'Institut de l'énergie de l'université de Texas-Austin au quotidien USA Today.
Cette interdiction n'aura que peu d'impact sur la production nationale d'énergie. Pour Michael Webber il est peu probable que les états produisant beaucoup d'énergie, comme le Texas, imitent New York, car leurs dirigeants politiques ont des liens plus étroits avec les entreprises pétrolières.
http://www.usinenouvelle.com/article/au ... le.N305453Aux USA, le gaz naturel liquéfié souffre de la chute du pétrole
Publié le 30 décembre 2014, Usine Nouvelle
MILAN (Reuters)
L'effondrement des cours du pétrole a fait une première victime dans le secteur de l'exportation de gaz naturel liquéfié (GNL) aux Etats-Unis avec la mise entre parenthèses d'un projet de terminal au Texas par le groupe Excelerate Energy.
Les exportateurs américains de GNL imaginaient réussir une percée sur les marchés asiatiques avec leur hydrocarbure moins cher que le pétrole, mais ce scénario se fondait sur un cours de pétrole élevé. Or ce dernier a perdu la moitié de sa valeur depuis juin.
En février, quand les cours du GNL et du pétrole évoluaient à des niveaux élevés, Excelerate, une firme basée à Houston, avait déposé une demande d'autorisation pour construire un terminal d'exportation à Lavaca Bay, d'une capacité de huit millions de tonnes par an.
Onze mois plus tard, les documents qu'elle a soumis le 23 décembre à la commission fédérale de régulation de l'énergie aux Etats-Unis soulignent que l'incertitude générée par la chute prononcée des cours du pétrole l'a contrainte à "un réexamen stratégique de la valeur économique du projet" et à le suspendre complètement jusqu'au 1er avril 2015.
"Au regard des récentes conditions internationales de marché, l'entreprise a jugé que, à l'heure actuelle, le projet ne répond plus aux critères financiers nécessaires pour que nous poursuivions l'investissement en capital", a dit un porte-parole d'Excelerate, fondée par George Kaiser, un milliardaire de l'Oklahoma.
Le terminal de Lavaca Bay était censé commencer à exporter du GNL en 2018.
Les projets liés au gaz naturel liquéfié aux Etats-Unis pâtissent aussi de l'afflux de nouveaux producteurs sur le marché. Ce phénomène aggrave l'excès d'offre lié au ralentissement de la demande et à la hausse de production, qui ont entraîné une diminution de moitié des tarifs du GNL en Asie cette année.
Dans ce contexte, de grands consommateurs comme le Japon, la Corée du Sud ou la Chine tentent de renégocier à la baisse leurs contrats d'approvisionnement à long terme en GNL.