La Russie

Impact de la déplétion sur la géopolitique présente, passée et à venir.

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Message par franck1968 » 20 avr. 2006, 19:16

Les grosses compagnies énergétiques doivent participer au développement des gazoducs russes 15:47 | 20/ 04/ 2006

MOSCOU, 20 avril - RIA Novosti. Les grosses compagnies gazières et pétrolières doivent participer au développement du réseau de gazoducs russes, a déclaré le vice-président de Gazprom, Alexandre Riazanov, à l'assemblée générale de la Société russe du gaz.

En automne 2005 et en hiver 2006, a-t-il rappelé, les conduites de transport de gaz ont été chargées à plus de 100% et même aujourd'hui, en prévision de l'été, elles le sont à 96%, a indiqué le responsable de Gazprom.

"Cela signifie que le système de transport de gaz n'a plus de capacités disponibles. Et nous sommes dans l'impossibilité de transporter les quantités supplémentaires fournies par les producteurs indépendants", a expliqué Alexandre Riazanov.

Le vice-président de Gazprom a exprimé sa certitude que des compagnies telles que TNK-BP, NOVATEK et LUKOIL participeront à cet effort.

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Sylvain
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Alliance Russie Algérie pour la fourniture de gaz à l'europe

Message par Sylvain » 21 avr. 2006, 10:22

---- Message d'Olduvai ----

Alliance Russie Algérie pour la fourniture de gaz à l'europe
6 avril 2006

http://www.rfi.fr/actufr/articles/076/article_42918.asp
Energi e
Soumettre l’Europe
Installations pétrolières et gazières dans le Sahara algérien.(Photo: AFP)
Installations pétrolières et gazières dans le Sahara algérien.
(Photo: AFP)
Des contacts au plus haut niveau ont eu lieu entre la Russie et l’Algérie concernant le marché du gaz et notamment l’approvisionnement de l’Europe. Les Européens regardent de près cette alliance en gestation entre deux des plus grands producteurs mondiaux de gaz. Echaudés par la crise de janvier dernier entre la Russie et l’Ukraine, les pays membres de l’UE cherchent dans le même temps à sécuriser leur approvisionnement en participant à la construction de nouveaux gazoducs.

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Sergueï Lavrov, ministre russe des Affaires étrangères, cherche à dissiper les craintes des pays européens concernant leur approvisionnement en gaz russe. En visite à Bratislava, en Slovaquie, le chef de la diplomatie russe a déclaré que « les craintes sur la fiabilité des livraisons énergétiques russes en Europe n’ont absolument aucune justification économique, toutes les tentatives de spéculation dans ce domaine sont injustifiées ».

Preuve supplémentaire, la Russie est en train de diversifier les routes pour atteindre directement ses clients en Europe de l’Ouest. Un consortium a été créé avec l’Allemagne pour construire un nouveau gazoduc. Le gazoduc nord-européen (GNE) va commencer dans le port russe de Vyborg et finira à Greiswald, au nord de l’Allemagne. Ce nouveau tuyau évite les pays situés à proximité de son tracé, ce qui fait polémique dans les pays baltes, eux aussi dépendants de la Russie. L’ouvrage passera sous la mer Baltique. Il est bien loin de l’Ukraine. Elle reste encore le pays de transit pour transporter le gaz russe vers les pays européens. Mais Kiev n’est plus un partenaire sûr. L’hiver dernier, au moment de la crise entre la Russie et son voisin qui refusait les nouveaux tarifs, l’approvisionnement des pays européens a été momentanément diminué.

Un partenariat Russie/Algérie

Malgré les déclarations rassurantes en provenance l’Est, les Européens peuvent également s’inquiéter de ce qui se passe au sud, de l’autre côté de la Méditerranée. Echaudée par le bras de fer de janvier entre l’Ukraine et la Russie, où se trouve la moitié de l’approvisionnement de l’Europe en gaz, cette dernière a décidé de sécuriser ses approvisionnements en provenance d’Algérie. Et surprise, un rapprochement est en gestation entre Gazprom, le géant russe appartenant à l’Etat, et la Sonatrach, l’entreprise publique algérienne spécialisée dans les hydrocarbures.

Vladimir Poutine a fait une courte visite à Alger le mois dernier où on a surtout parlé annulation de dette et ventes d’armes. Mais les présidents russe et algérien ont également parlé de la signature d’un mémorandum d’entente entre Gazprom, dont le patron avait fait le voyage à Alger, et la Sonatrach. Selon des informations publiées au moment du voyage de Vladimir Poutine en Algérie, le mémorandum en gestation concerne la prospection et l’extraction de gaz en Algérie, ainsi que la modernisation du réseau de gazoducs algérien.

Ce partenariat entre les deux grandes sociétés d’Etat devrait être signé dans le courant du mois d’avril. Selon le PDG de Gazprom, Alexei Miller, la coopération portera en particulier sur la liquéfaction de gaz algérien, ce qui permettra son transport par voie maritime. Une autre entreprise russe, Lukoil, entrera dans ce projet industriel avec la Sonatrach. A l’occasion de la visite de Poutine, un entretien a eu lieu entre le ministre algérien des Affaires étrangères, Mohammed Bedjaoui et Serguéï Lavrov, son homologue russe. Ce dernier a déclaré que la Russie et l’Algérie, qui exportent la majeure partie de leur gaz vers l’Europe, ont « un intérêt mutuel à agir ensemble et à coordonner leurs efforts sur le marché mondial ».

Représentant la septième réserve mondiale de gaz, l’Algérie intéresse également la France, mais aussi d’autres pays plus lointains comme les Etats-Unis : Donald Rumsfeld a séjourné cet hiver à Alger. Le président sud-coréen a, lui aussi, tout récemment effectué une visite officielle en Algérie. La Chine est également sur les rangs.

C’est dans ce contexte de négociations internationales intenses menées par le gouvernement algérien que la découverte de nouveaux gisements de gaz algérien a été annoncée. D’un côté le groupe italien Edison indiquait avoir trouvé un énorme gisement de gaz dans le désert algérien. « Il s’agit d’un gisement de 100 à 120 milliards de mètres cubes, soit un tiers de plus que le gisement égyptien, qui est un des plus importants de la Méditerranée », avait précisé l’administrateur délégué du groupe, Umberto Quatrino, au quotidien italien Corriere della Sera.

D’un autre côté, le groupe pétrolier espagnol Repsol YPF faisait savoir, vingt-quatre heures plus tard, avoir lui aussi découvert du gaz dans le Sahara algérien, suite à des tests dans le bassin de Reggane. Le groupe espagnol avançait le chiffre d’une production de départ de 736 000 mètres cubes par jour.

Quelques jours plus tard, les deux compagnies européennes se sont vues reprocher, par le ministre algérien de l’Energie et des Mines, d’avoir annoncé ces découvertes. « Les sociétés n’ont pas le droit d’annoncer quoi que ce soit sans se coordonner avec la Sonatrach et sans l’accord du ministère », a déclaré Chakib Khelil. « Nous avons réagi très sévèrement à l’encontre de ces sociétés qui annoncent des données incorrectes et qui portent préjudice à la crédibilité de Sonatrach et à celle de tout le pays », a encore insisté le ministre.

L’Europe s’organise

Comme dans n’importe quel pays, les données concernant les ressources énergétiques sont stratégiques. Et le gouvernement algérien n’a peut-être pas envie de s’engager trop vite avec les deux compagnies européennes qui ont découvert ces gisements. Car si la Russie a la possibilité de faire pression sur l’Europe en livrant plus de gaz à la Chine et moins à ses clients traditionnels de l’UE, l’Algérie, elle aussi, peut regarder ailleurs que vers la vieille Europe. Dans une réunion qui vient de se tenir en Algérie sur le thème « négoce et financement des hydrocarbures en Afrique », le PDG de la Sonatrach, Mohamed Meziane, a d’abord répété que l’initiative toute récente des deux sociétés européennes avait déplu. Mohamed Meziane a par ailleurs fait le panorama des investissements de sa compagnie en Amérique latine, en Europe et en Asie. Mais il a surtout annoncé que désormais la Sonatrach « fait de l’Afrique une zone d’intérêt prioritaire avec l’objectif d’acquérir de nouveaux blocs d’exploration et des projets de développement de gisements en Libye, en Tunisie, en Egypte, au Niger, au Mali ». Le responsable algérien a souligné que l’Afrique représente 9% des réserves mondiales d’hydrocarbures, largement sous utilisées. En plus, la majorité de la population africaine n’a pas encore accès à d’autre ressource énergétique que la biomasse et le bois.

Le président Bouteflika pourrait donc lui aussi regarder vers le Sud. En aidant les pays africains à accéder au gaz et au pétrole, facteurs de développement, l’Algérie, comme la Russie, ferait peser l’arme énergétique sur l’Europe. Pour l’éviter, le secteur européen de l’énergie cherche à investir en Algérie. L’espagnol Repsol YPF, qui vient donc de découvrir un gisement de gaz, a signé, courant mars, un accord avec une autre entreprise espagnole, Gas Natural, et la Sonatrach. Il s’agit de construire une usine de gaz liquéfié dans l’est algérien. Le projet de Gassi Touil est « le plus important jamais réalisé » en Algérie, précise le communiqué de l’entreprise espagnole. On le sait, Gazprom entame également un partenariat de même nature avec l’entreprise publique algérienne.

Depuis la crise entre l’Ukraine et la Russie, la France cherche, elle aussi, à dépendre moins du gaz russe. Gaz de France s’est déclaré prêt à investir dans deux projets de gazoducs. L’un, Medgaz, reliera dès 2007 l’Espagne à l’Algérie. L’entreprise publique française financera sa construction à hauteur de 12%, pour que l’Algérie devienne, d’ici 2010, « son deuxième fournisseur à égalité avec la Russie ». La Sonatrach fait bien sûr partie du consortium du projet Medgaz. La France s’intéresse également à un projet plus ambitieux et plus coûteux, le gazoduc Nabucco. Long de 3 300 kilomètres, il devrait acheminer jusqu’à l’Autriche du gaz iranien en provenance de la mer Caspienne. La mise en service est prévue pour 2020. Même si l’Algérie et la Russie parviennent à mettre en place, comme l’exprimait un journal algérien, « un puissant lobby du gaz à même de faire fléchir l’Europe », cette Europe est en train de s’organiser pour ne pas risquer de rupture dans son approvisionnement en énergie.

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Message par franck1968 » 21 avr. 2006, 19:14

Le dollar jugé trop instable pour être l'unique monnaie de réserve de la Russie
21:10 | 21/ 04/ 2006

WASHINGTON, 21 avril - RIA Novosti. Le dollar est assez instable, et la Russie ne peut pas en faire son unique monnaie de réserve, a déclaré le ministre russe des Finances, Alexeï Koudrine, lors d'une conférence de presse vendredi à Washington.

"Pour une monnaie de réserve, le dollar devrait être plus stable, c'est ce que le monde entier demande aux Etats-Unis. Mais cette monnaie reste assez instable et s'est dévaluée de 40% par rapport à l'euro au cours des dernières années", a-t-il estimé.

Fin 2005, les dollars constituaient 70% des réserves de change de la Banque centrale de Russie, contre 25% pour l'euro et 5% pour le reste des actifs. Au 14 avril 2006, la valeur globale des réserves de change s'élevait à 212 milliards de dollars.

Selon M. Koudrine, la Russie, comme tout autre pays du monde, souhaite que son économie soit plus résistante face aux risques extérieurs. "L'économie russe n'est pas suffisamment résistante face aux risques extérieurs, et si l'appréciation du rouble semble une chose positive pour l'économie mondiale, elle constitue une lourde épreuve pour l'économie intérieure", a-t-il expliqué.

L'appréciation du rouble réduit les prix des produits importés et met à mal les entreprises russes. "C'est la raison pour laquelle quand je prône une politique financière plus austère, je suggère la mise en place d'instruments permettant de résister aux facteurs extérieurs qui aggravent la situation de l'industrie russe", a résumé M. Koudrine.

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Message par franck1968 » 21 avr. 2006, 20:05

Gazprom reconnaît un déficit de gaz
12:59 | 21/ 04/ 2006

MOSCOU, 21 avril - RIA Novosti. Gazprom a reconnu publiquement jeudi qu'il n'avait pas suffisamment de gaz et que, dans quelques années, la Russie ne pourrait pas satisfaire la demande croissante de tous les pays qu'elle approvisionne. Selon Alexandre Riazanov, chef adjoint du consortium, il faudra probablement restreindre les livraisons à ceux qui ne paient pas le gaz au prix du marché, c'est-à-dire aux consommateurs russes, écrit le journal Vremia novostei.
Avant le début de l'extraction industrielle du gaz dans la presqu'île de Yamal (cela peut avoir lieu, au plus tôt, en 2012-2013), le monopole du gaz n'aura pas de ressources importantes pour compenser la diminution de l'extraction dans les gisements géants qui fonctionnent depuis l'époque soviétique. Alexandre Riazanov a même fait part de l'intention inouïe de Gazprom de recourir aux ressources des producteurs indépendants - Lukoil, TNK-BP, Novatek, et même Ioukos - pour remplir le tube. Vers 2010, ces compagnies pourront accroître l'extraction de 45 à 55 milliards de mètres cubes dans le district Nadym-Pourtazovski, secteur principal de mise en service de nouveaux gisements. Mais de la place ne sera libérée dans le tube que dans trois ans.
En 2008, Gazprom mettra en service le gisement Youjno-Rousskoié, le plus riche, selon Alexandre Riazanov (d'un rendement de plus de 25 à 30 milliards de mètres cubes de gaz par an) dans le district Nadym-Pourtazovski. Ensuite, le monopole n'aura plus que des réserves d'accès difficile (les gisements d'Ourengoï et Zapoliarnoié contiennent du gaz humide avec une grande quantité d'hydrocarbures lourds) qui nécessitent des technologies spéciales et des frais immenses, ainsi que les réserves de Yamal, dont le programme de mise en valeur est à l'étude depuis des années et qui demande un investissement d'au moins 80 milliards de dollars.

Vladimir Milov, président de l'Institut de politique énergétique, estime que le déficit du combustible s'accroîtra. Les dirigeants de Gazprom n'ont pas avoué jusque-là l'insuffisance du gaz, bien que les experts aient annoncé le déficit il y a trois ans. A présent, des problèmes ardus se posent à la Russie: le déficit s'accroîtra, ce qui sera ressenti surtout en hiver, au moment de la consommation maximale, lorsque les livraisons commenceront à diminuer".
La Russie ne sera pas la seule à éprouver des difficultés, prévient Vladimir Milov, expliquant que "depuis 15 ans, Gazprom n'a pas commencé à mettre en valeur Yamal et n'a pas fait d'investissements".

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Message par MadMax » 21 avr. 2006, 20:46

Ce genre de déclaration tombe à point nommé pour Gazprom qui cherche à faire main basse sur des réseaux de distribution en Europe (GDF, Centrica...).


"Ah bah oui, mais vous comprenez, le gaz passera en priorité dans NOS tuyaux. Et puis s'il en reste..."

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Message par franck1968 » 21 avr. 2006, 21:13

Eh oui

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Message par franck1968 » 22 avr. 2006, 15:31

L'aviation stratégique russe est prête à faire face à toute évolution dangereuse dans le monde
14:38 | 22/ 04/ 2006


MOSCOU, 22 avril - RIA Novosti. S'il le fallait, l'aviation stratégique russe pourrait réaliser n'importe quelle mission militaire, par exemple en cas de détérioration de la situation au Proche-Orient, a déclaré le commandant de l'aviation stratégique russe, Igor Khvorov, qui s'entretenait samedi avec des journalistes..
"Je déclare en toute connaissance de cause que nous disposons des armements nécessaires et, chose essentielle, de personnels bien préparés", a souligné le général interrogé par RIA Novosti. La chose a été démontrée par les exercices divisionnaires de commandement et d'état-major qui se sont déroulés en Extrême-Orient russe au mois d'avril dernier.

"Des avions Tu-160 et Tu-95 ont procédé à quatre tirs réussis de missiles tandis qu'un Tu-22 a réalisé un bombardement efficace", a indiqué Igor Khvorov.

"Ces exercices n'ont rien à voir avec la situation au Proche-Orient, mais ils nous permettent d'affirmer que le cas échéant nous pourrions utiliser nos armements", a souligné le commandant de l'aviation stratégique russe en annonçant par ailleurs que d'ici à la fin de l'année cette dernière prendrait livraison de deux bombardiers stratégiques Tu-160
.

"Le premier exemplaire sera livré au lendemain des fêtes de mai", a indiqué le général en précisant que ces deux appareils avaient été soumis à une modernisation substantielle. Ils peuvent emporter des missiles de croisière et des bombes et sont devenus vraiment polyvalents et beaucoup plus performants".



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Message par MadMax » 23 avr. 2006, 12:23

La Russie réussit un tir d'essai de son missile K65M-R

2006-04-23 14:04:39

MOSCOU, 22 avril (XINHUA) -- La Russie a testé avec succès samedi un missile K65M-R, a annoncé le commandant des Troupes de missiles stratégiques russes, le général Nikolaï Solovtsov.

Le missile a été tiré à 19H40 heures locales (16H40 GMT) depuis une base d'essai à Kapustin Yar, dans la région d'Astrakhan (sud de la Russie), a précisé le général Solovtsov.

L'objectif principal du lancement est de tester une ogive uniforme devant équiper des missiles balistiques de stationnement terrestre et maritime, ainsi que les éléments récemment développés d'un système conçu pour franchir les boucliers antimissile, a expliqué le commandant.

Depuis son établissement en 1946, 140 lancements ont été effectués sur la base d'essai de Kapustin Yar.


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Message par dr.watson » 23 avr. 2006, 13:36

Russian warplanes entered Canadian radar zone unnoticed
MOSCOW. April 22 (Interfax) - Russian Tu-160 strategic bombers managed to penetrate a radar zone near the Canadian coast during recent exercises, said Igor Khvorov, the commander of the Russian 37th air force army (strategic aviation).

"Our command-post exercises were planned, but they caused a kind of commotion in a number of countries. In particular, our planes managed to pass through a radar zone near Canadian coasts unnoticed," Khvorov said at a press conference in Moscow on Saturday.

The exercises reverberated in the Middle East, Khvorov said. "Of course, our exercises did not have anything to do with the situation in Iran, but their organization indirectly echoed in that region," he said.

The exercises involved 53 sorties and four guided missile launches, and the planes dropped about 200 heavy bombs, he said.
bonjour tout le monde c'est mon premier message :D je visite votre forum en "invité" depuis 2 mois je connais beaucoup de membres et personne me connais :-)

les russes se vantent d'avoir violé l'espace aerien canadien avec un tu-160 bombardier strategique a geometrie variable vui vole a mach 2.05
aussi vite que le concorde

je croit que sa va pas faire plaisir au canadien surtout en sachant ce que porte ce genre de bombardier
Image [img]

[scroll]http://www.fulcrumaaf.skyblog.com[/scroll]

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Message par franck1968 » 23 avr. 2006, 13:52

bonjour Dr watson
Un centre international de stockage de combustible nucléaire usé pourrait être implanté en Sibérie orientale
14:19 | 22/ 04/ 2006

MOSCOU, 22 avril - RIA Novosti. Un centre international de stockage de combustible nucléaire usé pourrait être implanté à Krasnokamensk, une ville de la région de Tchita (Sibérie orientale), a annoncé Valentin Ivanov, membre du comité de la Douma pour l'énergie, les transports et les communications.
"Un site extrêmement propice existe pour la création de ce centre, avec une infrastructure appropriée et des puits pouvant être approfondis", a dit Valentin Ivanov pour qui Krasnokamensk est commode aussi parce que territorialement la ville se trouve à proximité de pays comme la République de Corée, Taiwan et le Japon susceptibles d'y déposer leur combustible nucléaire brûlé. Le député russe a fait remarquer que les services en matière de stockage garantiront le bouclage du cycle nucléaire.

"Si dans l'avenir nous avions à fournir du combustible nucléaire à ces pays, nous devrions en assurer la réception une fois qu'il serait brûlé. Ce que nous ne sommes pas en mesure de faire maintenant. En effet, n'ayant pas signé avec les Etats-Unis d'accord sur l'utilisation pacifique de l'énergie nucléaire, nous ne pouvons pas réceptionner le combustible qui a été utilisé dans les réacteurs de type américain. Nous le pourrons dès que le document sera signé", a expliqué Valentin Ivanov en indiquant que sur le plan législatif et technologique, la Russie était prête à créer un centre international de stockage de combustible nucléaire usé.



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Message par matthieu25 » 23 avr. 2006, 15:29

Bonjour dr Watson et bienvenue parmi nous.Alors Sherlock a-t-il réussi son enquête sur le peak oil? :-)
La religion est la maladie honteuse de l' humanité.la politique en est le cancer(Millon de Montherlant)

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Message par franck1968 » 24 avr. 2006, 18:42

Des ogives uniques pour les missiles balistiques terrestres et navals russes (ministre)
19:21 | 24/ 04/ 2006

MOSCOU, 24 avril - RIA Novosti. Les missiles balistiques terrestres et navals russes qui seront livrés à l'armée à partir de la fin de 2006 seront dotés d'ogives uniques, a déclaré lundi le vice-premier ministre et ministre russe de la Défense Sergueï Ivanov.

La réussite du premier tir d'essai d'un missile K65M-R équipé d'une nouvelle ogive "permet d'affirmer que tous les missiles prometteurs qui seront mis en service à partir de la fin de 2006 seront dotés de ces ogives", a noté le ministre au cours d'une rencontre des membres du gouvernement avec le président russe.

Il s'agit d'ogives à tête unique et mirvées. Le tir d'essai a été effectué le 22 avril dernier sur le polygone de Kapoustin Iar, dans la région d'Astrakhan. Le missile a atteint sa cible située à plus de 2.000 km de distance sur le polygone kazakh de Balkhach, a annoncé le ministre.

Les ogives interchangeables seront livrées tant aux Troupes balistiques stratégiques qu'à la Marine de guerre, selon M.Ivanov.



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Message par franck1968 » 24 avr. 2006, 18:48

Quand les dirigeants de la planéte discutent de la sécurité énergétique sont, pour ceux qui en doute encore, trés concients du PO.


Energie: la Russie prône le dialogue entre pays producteurs et pays consommateurs (ministre)
19:05 | 24/ 04/ 2006

MOSCOU, 24 avril - RIA Novosti. Le dialogue entre pays producteurs d'hydrocarbures et pays de transit et l'efficacité du marché sont les facteurs clés de la sécurité énergétique, a estimé lundi le ministre russe de l'Energie, Viktor Khristenko, lors d'une rencontre avec son homologue britannique Malcolm Wicks.

M. Khristenko a notamment regretté que la sécurité énergétique soit souvent interprétée du point de vue des consommateurs, avant d'appeler à assurer la sécurité de la demande, et non seulement celle de la consommation.

Le ministre russe a par ailleurs souligné la nécessité d'améliorer l'efficacité du marché qui se fonde, d'après lui, sur le partage des risques entre tous les acteurs de la chaîne de production, une meilleure efficacité énergétique et la transparence des échanges d'information.

"L'époque des hydrocarbures bon marché est révolue", d'où la multiplication des risques, a estimé M. Khristenko.

"Si la Russie est connue pour son conservatisme quant à l'accès des investisseurs aux réserves naturelles, elle développe néanmoins le projet de Chtokman en conformité avec le concept de partage des risques", a fait remarquer le ministre.

Pour sa part, Malcolm Wicks a constaté que son pays était confronté à la nécessité de modifier radicalement sa politique énergétique en raison de l'épuisement des réserves de la mer du Nord et de la fermeture des vieux réacteurs nucléaires. La Grande-Bretagne a intérêt à étudier l'expérience d'autres Etats en matière d'élaboration de stratégies énergétiques et à coordonner ses efforts avec des acteurs clés du marché énergétique, dont la Russie, a-t-il dit.


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Message par franck1968 » 24 avr. 2006, 19:45

Russie à l'OMC: accord peu probable avant le sommet du G8
21:14 | 24/ 04/ 2006

LONDRES, 24 avril - RIA Novosti. La Russie a peu de chances d'achever les négociations bilatérales avec les Etats-Unis sur son adhésion à l'Organisation mondiale du commerce (OMC) avant le sommet du G8 programmé pour juillet prochain, a déclaré lundi à Londres le conseiller du Kremlin et "sherpa" russe au G8, Igor Chouvalov.

"Nous ne ferons rien à tout prix: nous continuerons les négociations jusqu'à ce que l'adhésion soit conforme à nos intérêts", a souligné M. Chouvalov, qui participe au Forum économique russe de Londres.

Les négociations russo-américaines sur l'adhésion à l'OMC sont "dans une mauvaise passe", a-t-il constaté, avant de rappeler que les principaux points de discorde concernaient les services financiers et bancaires, les avions gros porteurs et l'agriculture.

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Message par franck1968 » 24 avr. 2006, 21:12

Pas de probléme les russes sont juste en train de faire prendre l'air à leur matériel militaire pour enlever la poussiére :-D
Moscou a intérêt à augmenter les ressources de sa base militaire de Kant (Poutine)
17:24 | 24/ 04/ 2006

MOSCOU, 24 avril - RIA Novosti. La Russie a intérêt à augmenter les ressources de sa base militaire de Kant, a indiqué le président russe, Vladimir Poutine, au terme de sa rencontre lundi avec son homologue kirghiz, Kourmanbek Bakiev.

La base de Kant constitue une composante opérationnelle et mobile des forces collectives de déploiement rapide de l'Organisation du Traité de sécurité collective (OTSC) en Asie centrale, selon M. Poutine.
La base aérienne de Kant contribue à assurer la stabilité non seulement dans la République kirghize, mais aussi dans l'ensemble de la région centrasiatique, a pour sa part confirmé Kourmanbek Bakiev, en soulignant que Bichkek était un allié sûr de Moscou.

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