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Le terme « découvertes » ne signifie pas ici « nouveaux gisements de pétrole », il signifie plutôt « se rendre compte de quelque chose ».Un peu plus haut, Environnement2100 a écrit :les USA viennent de faire plusieurs "découvertes" : ils peuvent vivre avec un pétrole cher (voir les ...
.Opep bientôt le consensus sur la réduction de la production ?
Après quelques semaines de spéculations, la confusion règne toujours au sein de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole. L'OPEP a-t-elle réduit sa production oui ou non ? Le président de l'OPEP, le nigérian Edmund Daukorou a écrit une lettre aux membres de l'OPEP pour participer à la réduction du quota officiel de production de l'OPEP qui est de 28 millions de barils par jour. Edmund Daukoru affirme que les pays membres sont d'accord. et que la réduction de la production débutera le 1er novembre. Là oú les avis divergent c'est sur la valeur de référence de cette réduction. Doit-elle s'appliquer au quota officiel de l'OPEP : 28 millions de barils par jour ou sur la production réelle qui est de 27 millions 640.000 barils quotidiens ? L'Arabie saoudite, principal producteur du cartel garde le silence. Il est probable que l'OPEP se réunira au Qatar la semaine prochaine pour régler ce différent.
L'Iran, deuxième producteur de l'OPEP et le Venezuela, le quatrième; ont du mal à atteindre leur quota officiel et préfèrent que les baisses soient appliquées sur le plafond officiel. Les membres qui pompent plus que leurs quotas sont eux favorables à une réduction basée sur la production réelle.
Boursorama le 15 Oct 2006L'Opep ne doit pas s'alarmer du prix du pétrole, selon l'AIE
Claude Mandil, directeur exécutif de l'AIE, se déclare surpris que l'Opep s'alarme du niveau des prix du pétrole et espère même que la baisse continuera "car il y a de la marge".
"Certes, ils (les prix) ont baissé significativement depuis un mois, mais ils avaient atteint un niveau complètement absurde", dit le responsable de l'Agence internationale de l'énergie dans La Tribune, datée du 16 octobre.
"Je ne fais pas de pronostic sur les prix, mais j'espère qu'ils continueront à descendre, car il y a de la marge. Il y a un an, 60 dollars le baril pour le WTI était un cours jugé beaucoup trop élevé, y compris par les responsables de l'Opep", ajoute-t-il.
Claude Mandil juge donc "excessif de s'en alarmer", et ne partage pas "l'envie apparente" de l'Opep "de vouloir défendre un tel seuil".
"Il n'y a pas de raisons majeures de s'alarmer du comportement de l'Opep qui, depuis plusieurs années, affirme en permanence : 'Nous nous sommes absolument engagés à ce que le marché soit bien approvisionné'", ajoute-t-il.
L'Opep tiendra jeudi au Qatar une réunion extraordinaire pour entériner la baisse de sa production afin d'enrayer la chute des cours pétroliers, a annoncé dimanche le ministère qatari du Pétrole.
pour une fois qu'Oléocène et l'AIE sont d'accord !!energy_isere a écrit :"Je ne fais pas de pronostic sur les prix, mais j'espère qu'ils continueront à descendre, car il y a de la marge. Il y a un an, 60 dollars le baril pour le WTI était un cours jugé beaucoup trop élevé, y compris par les responsables de l'Opep", ajoute-t-il.
Il y a quelques années, les fabricants de matériels offshore se tiraient la bourre et suivaient les prix imposés par les compagnies pétrolières.GillesH38 a écrit :"L'augmentation des des coûts de construction menace la croissance du secteur pétrolier".