Un texte dans CharliHebdo de cette semaine. Scanné (un peu mal). Peu être à mettre dans la rubrique "humour"?
ou dans le sujet sur les vols de métal, que j'ai pas retrouvé
L'apocalypse avait commencé par une série de faits divers que les agences de presse classèrent tout d'abord dans la rubrique insolite : des gangs de voteurs de métaux dérobaient des klitomètres de tuyauxe en cuivre sur les chantiers des câbles EDFà même les poteaux électriques des panneaux de signalisation routière, ils démontaient des hélices de bateaux, déboulonnaient des
statues sur les monuments aux morts arrachaient les chaînes reliant les tombes dans des cimetières..Une nuit de juillet, ce fut même une toiture d'égtise en zinc qui disparut.
Au cours des six premiers mois de l'année du Grand Fléau, on enngistra près de 2200 ptaintes de vols de cuivre, de bronze, d'aluminium de zinc et de nickel.
Naturellement, les experts ne furent pas à court d'analyses. On pointa u doigt la croissance chinoise,qui faisait s'envoler la demande, certains accusèrent les "voleurs de poules roumains" qui, frappés par la chute des cours de la volaille due à la grippe aviaire, se seraient reconvertis en pillardsd de métaux...Et ce qui devait arriver arriva: Philippe de Villiers fut élu president de la République, à la suite d'une campagne eclusivemenat axée sur la lutte contre les réseaux de plombiers polonais.
Mais tout bascula vraiment un matin lorsque la femme de ménage du patais de Chaittot en ouvrant tes volets pour aérer, découvrit l'incroyable: la tour EiffeL s'était envotée! Ce fut comme un nouvel 11 septembre, en pire. Paris s'enflamma, entraînant la France , puis l'Europe, puis le monde, dans le chaos. Dans les supermarchés, les gens se battaient à mort pour un rouleaud de papier alu, les agression sur les personness se multiptiaient, pour s'emparer d'une paire de lunettes ou d'un piercing... Même les plus grandesc célébrités n'étaient pasà l'abri : Johnny Halyday, alors qu'il goûtaità un coma éthytique bien mérité après un concert géant, se fit voler sa prothèse de hanche. A la Bourse de New York, le cours du baril de brut atteignit les 2 mitlions de doltars. Cette fois, ce n'était pas la pénurie de pétrole ou la crisea au Moyen-0rient qui faisait s'envoter les prix du carburant, mais le coût du mètre de pipe-line...
Peu à peu, l 'on vit apparaitred des bandes de pillards organisé, écumant des villes en ruine et des routes où, désormais, plus aucun véhicule ne circulait, hormis les engins de cauchemar, énorme camions hérissés de fer forgé, de ceux que l 'on nommait "les ferrailleurs". Un homme,seul, osa pourtant les défier : Max le Dingue, un ancien policier d'élite brisé par la vie - on avait tué sa femme, sa maitresse, ses six enfantse et désosssé son 4 x4 -, qui suivait les piratesà la trace pours se venger. Quand il lesr etrouva, la terre trembla. Pas longtemps, car, comme il était à pied, il se fit écraser tout de suite. Mais sa légende lui a survécu. Et, aujourd'hui encore, on raconte de père en fils la saga de Max, qui n'était pas seulemendt dingue, mais aussi un peu con.
George Millier, pcc Gérard Biard
Edit : oui, sur le scannage, c'était bien pire que ça, avec des fins de mots déplacé, commec eci, quasi systématiquement. et les t qui deviennent l et réciproquement.. J'ai corrigé une grosse partie mais pas tout.