C'est pas non plus comme si il en avait toujours ete autrement...the_oliver_2000 a écrit :Nos politiques raisonnent hélas à court terme à présent.

Modérateurs : Rod, Modérateurs
C'est pas non plus comme si il en avait toujours ete autrement...the_oliver_2000 a écrit :Nos politiques raisonnent hélas à court terme à présent.
Ils sont élus pour 5 ans donc ils pensent court terme. Au delà de 5 ans c'est pas leur problème. Tout ce qui les intéresse c'est de vampiriser le plus possible tout ce qu'ils peuvent vampiriser quand ils sont en haut de la pyramide.Saratoga Elensar a écrit :
Appréciez la réponse de Luc Chatel sur le site de Cochet :
http://www.yvescochet.net/wordpress/index.php
La thématique du PO a beau rentrer de manière claire dans l'arène, on ne peut que constater la légèreté de pris en considération de la problèmatique et le niveau de réponse donné.
On comprend pourquoi il n'y a rien à ésperer des gouvernements dans un traitement un minimum efficace de la transition à effectuer.
Nos économistes n'ont pas été formé pour comprendre cela.the_oliver_2000 a écrit :J'ai trouvé Cochet assez bon, notamment quand il explique l'impossibilité d'une poursuite infinie de la croissance dans un monde finie.
Mais il n'y a rien a faire, le message ne passe pas
J' ai feuilleté rapidement en librairie, c' est fait un peu comme l' anti manuel d' economie de Bernard Maris (qui est en deux tomes).Présentation par l'éditeur
Crise énergétique, changement climatique, pollutions chimiques, OGM : est-il raisonnable d'être alarmiste ? On peut choisir de s'enfouir la tête dans le sable du déni collectif. On peut choisir de s'enfouir la tête dans le sable du déni collectif. On peut aussi se poser les questions qui font mal pour mieux comprendre et réagir. Le dérèglement climatique est-il inéluctable ? Quelle est la responsabilité de l'être humain dans la disparition des espèces ? Devons-nous craindre la raréfaction du pétrole et des matières premières ? Quelles conséquences aurait la relance du nucléaire dans le monde ? Bref, que va-t-il nous arriver ?
Pour répondre à ces questions, Yves Cochet n'y va pas par quatre chemins. Avec le courage politique et le franc parler qui le caractérisent, il dresse un portrait inquiet de notre planète. Précurseur dans la pensée écologiste, il est pour l'instant le seul homme politique français à défendre la notion de "décroissance". Si l'heure est grave, la catastrophe en marche n'est pas une fatalité. Ce n'est pas la fin du monde, c'est un changement de civilisation.
Avec cet Antimanuel, il s'agit de prendre conscience des grands enjeux planétaires pour réinventer le monde. Le XXe siècle sera écologique ou ne sera pas.
Peut-être, mais pour certains kWh fossiles, on n'aura aucun intérêt à les remplacer en quantité égale. Exemple : aujourd'hui beaucoup de gens prennent la voiture pour 3 km. Ça représente beaucoup de kWh actuellement, mais on les remplacera par très peu de kWh (vélo). Et dans cet exemple, on a une grosse chute d'activité (effondrement de l'industrie automobile), ça correspond bien à la semaine de 4 jours, pour les ouvriers survivants de la filière.papy_russe a écrit :Il y a juste un point sur lequel je ne suis pas tout à fait d'accord avec ce qu'il dit : travailler moins (la semaine de 4 jours), c'est loin de ce qui devrait se passer. A mon avis, quand les "esclaves mécaniques" à coût faible chers à JMJ (i.e. les kWh fossiles) vont commencer à manquer, il va bien falloir les remplacer par de l'huile de coude et de la sueur, ce qui risque plutôt de se traduire concrètement par plus de travaux manuels, pénibles, pour une grande majorité d'entre nous.
papy_russe a écrit :Il y a juste un point sur lequel je ne suis pas tout à fait d'accord avec ce qu'il dit : travailler moins (la semaine de 4 jours), c'est loin de ce qui devrait se passer. A mon avis, quand les "esclaves mécaniques" à coût faible chers à JMJ (i.e. les kWh fossiles) vont commencer à manquer, il va bien falloir les remplacer par de l'huile de coude et de la sueur, ce qui risque plutôt de se traduire concrètement par plus de travaux manuels, pénibles, pour une grande majorité d'entre nous.